Référence : 30301
BOURGES Ernest – Recherches sur Fontainebleau
précédées d’un portrait de l’auteur et la reproduction d’un manuscrit inédit de N. De Fer (1699)
1896, format : 200×260, 555 pages, 10 ill. cartonné
Nous avons considéré comme un devoir étroit de piété filiale de réunir en un volume, afin de les sauver de l’oubli, la plupart des articles historiques et archéologiques relatifs à notre ville, publiés dans l’Abeille de Fontainebleau par notre père regretté.
Par ses trente-quatre ans de séjour ininterrompu, il avait fait de Fontainebleau sa ville d’adoption, et il l’aimait passionnément.
Désireux de mettre au jour et de fixer les nombreux souvenirs historiques qui s’y rattachent, il a occupé ses trop rares loisirs à fouiller le passé pour y découvrir quelques détails peu connus ou ignorés.
Ce travail ardu était pour lui un agréable délassement à ses occupations professionnelles.
Les mille faits recueillis par lui ne seront peut-être pas tout à fait inutiles aux futurs historiens de Fontainebleau; nous comptons au contraire que ces recherches pourront leur rendre quelques services.
Si ce volume n’avait atteint déjà un développement aussi important, nous y aurions ajouté bien d’autres renseignements. Nous conservons les documents recueillis et non utilisés ; ils trouveront place dans un tome second, si l’accueil fait à cette première tentative répond à notre espoir.
Plusieurs personnes nous ont aidé avec une extrême bonne volonté à mener à bien ce travail ; qu’elles reçoivent ici l’expression sincère de toute notre gratitude.
Des remerciements tout particuliers sont dus au baron Tristan Lambert et à M. Paul Quesvers, qui ont bien voulu écrire les préfaces; à M. Goujat, bibliothécaire de la ville, qui nous a aidé dans nos recherches, et enfin à M. Thoison, auteur de la table si consciencieuse et si claire qui termine et complète ce volume.
Encore un mot : nous avons cru devoir — scrupule peut-être exagéré — reproduire les articles ci-après sous la forme où ils ont paru d’abord, sans en faire disparaître même les quelques erreurs échappées à la plume toujours un peu hâtive du journaliste ; le rédacteur de la table a rectifié en notes les plus saillantes de ces erreurs.
MAURICE BOURGES.
Fontainebleau, novembre 1895.
Par ses trente-quatre ans de séjour ininterrompu, il avait fait de Fontainebleau sa ville d’adoption, et il l’aimait passionnément.
Désireux de mettre au jour et de fixer les nombreux souvenirs historiques qui s’y rattachent, il a occupé ses trop rares loisirs à fouiller le passé pour y découvrir quelques détails peu connus ou ignorés.
Ce travail ardu était pour lui un agréable délassement à ses occupations professionnelles.
Les mille faits recueillis par lui ne seront peut-être pas tout à fait inutiles aux futurs historiens de Fontainebleau; nous comptons au contraire que ces recherches pourront leur rendre quelques services.
Si ce volume n’avait atteint déjà un développement aussi important, nous y aurions ajouté bien d’autres renseignements. Nous conservons les documents recueillis et non utilisés ; ils trouveront place dans un tome second, si l’accueil fait à cette première tentative répond à notre espoir.
Plusieurs personnes nous ont aidé avec une extrême bonne volonté à mener à bien ce travail ; qu’elles reçoivent ici l’expression sincère de toute notre gratitude.
Des remerciements tout particuliers sont dus au baron Tristan Lambert et à M. Paul Quesvers, qui ont bien voulu écrire les préfaces; à M. Goujat, bibliothécaire de la ville, qui nous a aidé dans nos recherches, et enfin à M. Thoison, auteur de la table si consciencieuse et si claire qui termine et complète ce volume.
Encore un mot : nous avons cru devoir — scrupule peut-être exagéré — reproduire les articles ci-après sous la forme où ils ont paru d’abord, sans en faire disparaître même les quelques erreurs échappées à la plume toujours un peu hâtive du journaliste ; le rédacteur de la table a rectifié en notes les plus saillantes de ces erreurs.
MAURICE BOURGES.
Fontainebleau, novembre 1895.
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