Description
Référence : 31227
CHERBULIEZ Victor – L’Art et la Nature
1892, format : 120×190, 322 pages, sans ill. broché un coin de la couverture absent, en l’état.
Sommaire : PREMIÈRE PARTIE : l’œuvre d’art et le plaisir esthétique
I- — Ce que doit être une théorie de l’art et ce qu’elle ne doit pas être
II — Premier caractère commun à tous les arts : ils sont destinés à satisfaire le goût que nous avons pour les apparences…
III. — Deuxième caractère commun à tous les arts :les apparences y sont des signes et ils empruntent tous à la nature les modèles dont ils nous offrent l’image. La part de l’imitation dans les arts dits symboliques.
IV. — Tout n’est pas imitation dans les arts dits imitatifs
V. — Dans tous les arts les imitations sont des traductions qui nous révèlent et le caractère des choses et celui de l’artiste
VI. — Troisième caractère commun à tous les arts : le plaisir esthétique s’adressant à l’homme tout entier, ils doivent parler à la fois à nos sens, à notre âme et à notre raison. — L’élément décoratif dans l’art. — Les sentiments de reflet et les ombres de passions. — La raison se révélant dans l’harmonie.
VII. — Définition de l’œuvre d’art et question qui se pose : notre imagination ne pourrait-elle trouver dans son commerce direct avec la nature les jouissances qu’elle demande à l’art?….
DEUXIÈME PARTIE : l’imagination, ses lois, ses méthodes, ses joies DANS SON COMMERCE AVEC LA NATURE
VIII. — Le double travail de l’imagination réduisant les objets sensibles à leur forme pure et donnant une forme sensible aux idées abstraites. Vérité relative des images ; leurs variations, leurs associations passagères ou durables — L’imagination opérant sous les ordres de nos passions ou de notre pensée et l’imagination libre ou esthétique. Penchant de l’imagination esthétique à nous assimiler aux choses ou à les transformer à notre ressemblance. Scs procédés, sa logique, sa façon de travailler qui est un jeu
VII. — Les trois sortes de jeux et les trois variétés d’imagination esthétique : i » l’imagination contemplative. Le beau; la grâce; le sublime; l’informe; le difforme
XI — 2° L’imagination sympathique ou affective. Le tragique, le comique
XII. — 3° L’imagination rêveuse. Scs chimères et scs extases. Les joies que notre imagination esthétique sous ses trois formes éprouve en jouant avec les réalités ou avec elle-méme sont-elles sans mélange ?
TROISIÈME PARTIE : LES CHAGRINS, LES TOURMENTS DE IMAGINATION ET SA DÉLIVRANCE PAR LES ARTS
XIII. — Les ressources de la nature et les impuissances de l’art.
XIV. — Les revanches de l’art sur la nature. L’éducation esthétique que l’art seul peut donner
XV. — L’art nous délivre des chagrins que causent à notre imagination le peu de durée de la beauté naturelle et les hasards perturbateurs. L’accident et scs eflets dans la nature et dans l’art.
XVI. — L’art étant la nature débrouillée et concentrée nous délivre de ce qu’elle a d’obscur et d’accablant pour nous. — L’amour et la génération dans la beauté — Architecture, statuaire, peinture, musique et poésie, chaque art a sa façon particulière de travailler à la délivrance de notre imagination et à la glorification de l’homme
QUATRIÈME PARTIE : LES DOCTRINES, LES ÉCOLES ET LA PERSONNALITÉ DE L’ARTISTE
XVIII. — L’art étant une protestation contre la nature qu’il imite a obéi dès ses origines à deux tendances opposées et également légitimes
XIX. — Le faux et le vrai réalisme. Le choix des sujets et la manière de les traiter; la méthode naturelle; les conventions nécessaires et le convenu.
XX. — Les fausses définitions de l’idéal et le véritable idéalisme. L’extraordinaire ; l’économie du détail; la simplicité qui agrandit les objets….
I- — Ce que doit être une théorie de l’art et ce qu’elle ne doit pas être
II — Premier caractère commun à tous les arts : ils sont destinés à satisfaire le goût que nous avons pour les apparences…
III. — Deuxième caractère commun à tous les arts :les apparences y sont des signes et ils empruntent tous à la nature les modèles dont ils nous offrent l’image. La part de l’imitation dans les arts dits symboliques.
IV. — Tout n’est pas imitation dans les arts dits imitatifs
V. — Dans tous les arts les imitations sont des traductions qui nous révèlent et le caractère des choses et celui de l’artiste
VI. — Troisième caractère commun à tous les arts : le plaisir esthétique s’adressant à l’homme tout entier, ils doivent parler à la fois à nos sens, à notre âme et à notre raison. — L’élément décoratif dans l’art. — Les sentiments de reflet et les ombres de passions. — La raison se révélant dans l’harmonie.
VII. — Définition de l’œuvre d’art et question qui se pose : notre imagination ne pourrait-elle trouver dans son commerce direct avec la nature les jouissances qu’elle demande à l’art?….
DEUXIÈME PARTIE : l’imagination, ses lois, ses méthodes, ses joies DANS SON COMMERCE AVEC LA NATURE
VIII. — Le double travail de l’imagination réduisant les objets sensibles à leur forme pure et donnant une forme sensible aux idées abstraites. Vérité relative des images ; leurs variations, leurs associations passagères ou durables — L’imagination opérant sous les ordres de nos passions ou de notre pensée et l’imagination libre ou esthétique. Penchant de l’imagination esthétique à nous assimiler aux choses ou à les transformer à notre ressemblance. Scs procédés, sa logique, sa façon de travailler qui est un jeu
VII. — Les trois sortes de jeux et les trois variétés d’imagination esthétique : i » l’imagination contemplative. Le beau; la grâce; le sublime; l’informe; le difforme
XI — 2° L’imagination sympathique ou affective. Le tragique, le comique
XII. — 3° L’imagination rêveuse. Scs chimères et scs extases. Les joies que notre imagination esthétique sous ses trois formes éprouve en jouant avec les réalités ou avec elle-méme sont-elles sans mélange ?
TROISIÈME PARTIE : LES CHAGRINS, LES TOURMENTS DE IMAGINATION ET SA DÉLIVRANCE PAR LES ARTS
XIII. — Les ressources de la nature et les impuissances de l’art.
XIV. — Les revanches de l’art sur la nature. L’éducation esthétique que l’art seul peut donner
XV. — L’art nous délivre des chagrins que causent à notre imagination le peu de durée de la beauté naturelle et les hasards perturbateurs. L’accident et scs eflets dans la nature et dans l’art.
XVI. — L’art étant la nature débrouillée et concentrée nous délivre de ce qu’elle a d’obscur et d’accablant pour nous. — L’amour et la génération dans la beauté — Architecture, statuaire, peinture, musique et poésie, chaque art a sa façon particulière de travailler à la délivrance de notre imagination et à la glorification de l’homme
QUATRIÈME PARTIE : LES DOCTRINES, LES ÉCOLES ET LA PERSONNALITÉ DE L’ARTISTE
XVIII. — L’art étant une protestation contre la nature qu’il imite a obéi dès ses origines à deux tendances opposées et également légitimes
XIX. — Le faux et le vrai réalisme. Le choix des sujets et la manière de les traiter; la méthode naturelle; les conventions nécessaires et le convenu.
XX. — Les fausses définitions de l’idéal et le véritable idéalisme. L’extraordinaire ; l’économie du détail; la simplicité qui agrandit les objets….
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