Description
Référence : 31336
CLEMENT-BAYER René, NICOL Alain, THIBIEROZ – SAMOREAU
1980, format : 160×240, 86 pages, 34 ill. broché avec carte dépliante 60x40cm
PREFACE
Quand en octobre 1930 je suis arrivé à SAMOREAU pour y apprendre le métier de céramiste chez Maître GANDAIS, j’étais loin de penser que cinquante ans plus tard je serais appelé à écrire une introduction pour une plaquette rappelant les principaux événements de notre commune.
N’est-ce pas d’ailleurs une idée un peu folle que de vouloir écrire l’histoire d’un village qui ne comptait que deux cents habitants en 1800 lorsqu’on possède si peu de documentation ?
Pourtant cette idée a suscité un bel élan et puis, Samois, le Mée, Héricy, ont récemment montré le chemin, alors pourquoi pas SAMOREAU. Si certains fouillent le sol pour y retrouver les traces du passé, nos amis ont fouillé bien des vieux documents pour découvrir les origines de notre SAMOREAU.
Le huitième centenaire que nous fêtons en ces années 1978-1979, était, il est vrai, une occasion exceptionnelle, une occasion qui s’ajoutait à d’autres circonstances et notamment à la volonté de vouloir réhabiliter notre Grange dite « de la Ferme du Bas-SAMOREAU » ou encore « Ferme de la Grande Cour », peut-être pour mieux faire oublier la « Dîme », si pénible aux serfs de cette époque…
Quand en octobre 1930 je suis arrivé à SAMOREAU pour y apprendre le métier de céramiste chez Maître GANDAIS, j’étais loin de penser que cinquante ans plus tard je serais appelé à écrire une introduction pour une plaquette rappelant les principaux événements de notre commune.
N’est-ce pas d’ailleurs une idée un peu folle que de vouloir écrire l’histoire d’un village qui ne comptait que deux cents habitants en 1800 lorsqu’on possède si peu de documentation ?
Pourtant cette idée a suscité un bel élan et puis, Samois, le Mée, Héricy, ont récemment montré le chemin, alors pourquoi pas SAMOREAU. Si certains fouillent le sol pour y retrouver les traces du passé, nos amis ont fouillé bien des vieux documents pour découvrir les origines de notre SAMOREAU.
Le huitième centenaire que nous fêtons en ces années 1978-1979, était, il est vrai, une occasion exceptionnelle, une occasion qui s’ajoutait à d’autres circonstances et notamment à la volonté de vouloir réhabiliter notre Grange dite « de la Ferme du Bas-SAMOREAU » ou encore « Ferme de la Grande Cour », peut-être pour mieux faire oublier la « Dîme », si pénible aux serfs de cette époque…
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