Description
Référence : 31492
FILDIER André – CATALOGUE DES CHROMOS IMAGERIE des MAGASINS AU BON MARCHE
CALENDRIERS ET CATALOGUES ETRENNES-JOUETS
1984, format : 15×210, 120 pages, nb repro n&b. ill. broché,
des MAGASINS AU BON MARCHE
PAR ANDRE FILDIER, Expert agréé de la Compagnie Nationale des Experts, Expert assesseur aux Douanes françaises
EDITORIAL
La petite ville de Bellême, dans l’Orne, voit en 1810, la naissance d’Aristide Boucicaut, fils d’un chapelier. Après son apprentissage, il monte à Paris et exerce dans le commerce de la nouveauté.
En 1852, le propriétaire d’un petit magasin de nouveauté lui propose de devenir son associé.
Il impose sa règle de travail : «vendre tout à petit bénéfice et entièrement de confiance».
Après avoir racheté tout l’emplacement situé entre les rues de Sèvres, Velpeau, du Bac et de Babylone, la première pierre du futur «Au Bon Marché» est posée le 9 septembre 1869 par Madame Boucicaut. Les nouveaux magasins sont définitivement terminés en 1887. Entre temps, Aristide Boucicaut découvre l’importance de la publicité. Elle comprend des insertions dans les journaux, les affiches, les catalogues, les agendas, et aussi les images publicitaires.
Cette idée des chromos-images publicitaires fut géniale. Les enfants imploraient, entraînaient la maman «Au Bon Marché» pour obtenir l’image de la semaine. Semaine après semaine, ils complétaient leurs collections. Elles sont très belles les images du «Bon Marché».
Aristide Boucicaut a en effet fait appel aux plus grands spécialistes, tels: Appel, Baster et Vieillemard, Champenois, Hutinet, Kimel, Minot, Sicard, Sirven, Testu et Massin, Vallet et Minot.
Bien que le tirage de ces images soit relativement important, entre 100 000 et 400 000 exemplaires, celles-ci sont aujourd’hui rares, la plupart d’entre elles ayant été détruites, au fils des ans, par les enfants. Les amateurs de chromos-images du Bon Marché ont bien du mal à compléter aujourd’hui leurs collections.
Je remercie, d’ailleurs, les amateurs et collectionneurs qui m’ont aidé à établir cet argus, ainsi que le responsable des archives des grands magasins «Au Bon Marché» qui a bien voulu me recevoir.
Mais je n’ai pas la prétention d’avoir découvert toutes les images de cette remarquable collection. Et je suis persuadé que nous ferons, ensemble, de nouvelles découvertes.
LES COTES
Les cotes indiquées en-dessous de chaque série ne sont pas celles de la série complète mais d’une seule image, à l’état neuf, de cette série.
PAR ANDRE FILDIER, Expert agréé de la Compagnie Nationale des Experts, Expert assesseur aux Douanes françaises
EDITORIAL
La petite ville de Bellême, dans l’Orne, voit en 1810, la naissance d’Aristide Boucicaut, fils d’un chapelier. Après son apprentissage, il monte à Paris et exerce dans le commerce de la nouveauté.
En 1852, le propriétaire d’un petit magasin de nouveauté lui propose de devenir son associé.
Il impose sa règle de travail : «vendre tout à petit bénéfice et entièrement de confiance».
Après avoir racheté tout l’emplacement situé entre les rues de Sèvres, Velpeau, du Bac et de Babylone, la première pierre du futur «Au Bon Marché» est posée le 9 septembre 1869 par Madame Boucicaut. Les nouveaux magasins sont définitivement terminés en 1887. Entre temps, Aristide Boucicaut découvre l’importance de la publicité. Elle comprend des insertions dans les journaux, les affiches, les catalogues, les agendas, et aussi les images publicitaires.
Cette idée des chromos-images publicitaires fut géniale. Les enfants imploraient, entraînaient la maman «Au Bon Marché» pour obtenir l’image de la semaine. Semaine après semaine, ils complétaient leurs collections. Elles sont très belles les images du «Bon Marché».
Aristide Boucicaut a en effet fait appel aux plus grands spécialistes, tels: Appel, Baster et Vieillemard, Champenois, Hutinet, Kimel, Minot, Sicard, Sirven, Testu et Massin, Vallet et Minot.
Bien que le tirage de ces images soit relativement important, entre 100 000 et 400 000 exemplaires, celles-ci sont aujourd’hui rares, la plupart d’entre elles ayant été détruites, au fils des ans, par les enfants. Les amateurs de chromos-images du Bon Marché ont bien du mal à compléter aujourd’hui leurs collections.
Je remercie, d’ailleurs, les amateurs et collectionneurs qui m’ont aidé à établir cet argus, ainsi que le responsable des archives des grands magasins «Au Bon Marché» qui a bien voulu me recevoir.
Mais je n’ai pas la prétention d’avoir découvert toutes les images de cette remarquable collection. Et je suis persuadé que nous ferons, ensemble, de nouvelles découvertes.
LES COTES
Les cotes indiquées en-dessous de chaque série ne sont pas celles de la série complète mais d’une seule image, à l’état neuf, de cette série.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.