Description
Référence : 31500
BRU Paul – LA RINETTE
Les Refrains d’cheux nous
1927, format : 120×190, 288 pages, nb gravures ill. broché,
Roman – illustrations de Pierre STEPHEN
Dédicace de l’auteur, tirage numéroté
nombreuses notes de musique
PRÉFACE DE XAVIER PRIVAS, Prince des Chansonniers
PRÉFACE
Le bon poète, Charles Grandmougin, qui préfaça les premiers essais poétiques de Paul Bru, estime que ce dernier se mêle à la nature pour y chercher un écho à ses douleurs et à ses épanouisements, mais ne se laisse pas dominer par elle.
J’ajoute qu’il a fait sien le credo de Stello, et que, pareil au héros douloureux d’Alfred de Vigny, il peut s’écrier :
« Je crois en moi, parce qu’il n’est dans la nature aucune beauté, aucune grandeur, aucune harmonie qui ne cause un frisson prophétique, qui ne porte l’émotion profonde dans mes entrailles, et ne gonfle mes paupières par des larmes toutes divines et inexplicables.
« Je crois fermement en une vocation qui m’est donnée, et j’y crois à cause de la pitié sans bornes que m’inspirent les hommes, mes compagnons en misère, et aussi à cause du désir que je me sens de leur tendre la main et de les élever sans cesse par des paroles de commisération et d’amour. »
Ces paroles de compassion et de tendresse, Paul Bru les prononce et les répète, dans ses poèmes comme dans ses romans, qui sont, ainsi que le dé- clare Brieux, non seulement d’excellentes œuvres mais encore de bonnes actions, car ils forment d’harmonieux accords, où s’amalgament toutes les voix de la sensibilité humaine : la souffrance, la plainte, la bienveillance, le dévouement et la charité.
Dédicace de l’auteur, tirage numéroté
nombreuses notes de musique
PRÉFACE DE XAVIER PRIVAS, Prince des Chansonniers
PRÉFACE
Le bon poète, Charles Grandmougin, qui préfaça les premiers essais poétiques de Paul Bru, estime que ce dernier se mêle à la nature pour y chercher un écho à ses douleurs et à ses épanouisements, mais ne se laisse pas dominer par elle.
J’ajoute qu’il a fait sien le credo de Stello, et que, pareil au héros douloureux d’Alfred de Vigny, il peut s’écrier :
« Je crois en moi, parce qu’il n’est dans la nature aucune beauté, aucune grandeur, aucune harmonie qui ne cause un frisson prophétique, qui ne porte l’émotion profonde dans mes entrailles, et ne gonfle mes paupières par des larmes toutes divines et inexplicables.
« Je crois fermement en une vocation qui m’est donnée, et j’y crois à cause de la pitié sans bornes que m’inspirent les hommes, mes compagnons en misère, et aussi à cause du désir que je me sens de leur tendre la main et de les élever sans cesse par des paroles de commisération et d’amour. »
Ces paroles de compassion et de tendresse, Paul Bru les prononce et les répète, dans ses poèmes comme dans ses romans, qui sont, ainsi que le dé- clare Brieux, non seulement d’excellentes œuvres mais encore de bonnes actions, car ils forment d’harmonieux accords, où s’amalgament toutes les voix de la sensibilité humaine : la souffrance, la plainte, la bienveillance, le dévouement et la charité.
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