Description
Référence : 31603
RIBIER Maurice – SAINT-CYR-SUR-MORIN Un petit village si bien caché
Un village si bien caché
1983, format : 160×240, 382 pages, très nb ill. broché,
Par l’anecdote tantôt cocasse tantôt émouvante, le témoignage vécu, et le document authentique ; par la vieille photo jaunie exhumée de l’oubli, et l’image de l’œuvre enviée ou qui le deviendra ; par le poème et la prose du lettré célèbre ou de celui encore sur le chemin, je raconte ma découverte, émerveillé du prestigieux passé et du doux présent d’un village d’Ile-de-France : Saint-Cyr-sur-Morin.
Pris par le bout du cœur, je fus entraîné par Pierrot, fils du chasseur à pied Guibert, patron de La Moderne à la rencontre des floriculteurs « ovoduriens » qui s’approvisionnaient en graines du côté de la Butte. Ils cultivaient l’Humour aux rieuses pétales ; l’Art et ses variétés, le pictural aux riches couleurs, le sculptural à la plénitude des formes ; et la Poésie au parfum vif et profond.
Guidé par le martin-pêcheur, habitant les berges du Petit Morin, qui colporta, pendant un demi-siècle, les bruits de la petite suisse briarde au père du fantastique social, je fis claquer la main de bronze pour entrer dans l’univers de Pierre Mac Orlan Là, j’y retrouvai Pierrot, ami de l’écrivain, toujours présent pour parler de cette amitié.
Bonheur, étonnement, ravissement, firent naître le regret et la nostalgie d’une époque disparue. Mais de nouveau Pierre Guibert fut là avec La Moderne, son musée d’outils d’objets et d’instruments du passé briard, et ma mélancolie s’estompa. Frédé avec son Lapin A. Gilí contamina Julien Callé, Pierre Mac Orlan anoblit Saint-Cyr, Pierrot la tendresse veille sur le souvenir.
Et je suis devenu un disciple. .
■ Préface
Eh oui, un petit village si bien caché, entre bois et collines : Saint-Cyr, dans la jolie vallée du Petit Morin ; à l’un des points de rencontre, jadis, entre Armagnacs et Bourguignons, qu’attestent les noms de lieux-dits du pays, les Armenats ou Archet. Point tellement caché, en vérité : les peintres avaient découvert sa verdure somptueuse, et il en est qui y gîtent toujours ; de plus, voilà des décennies qu’un destin quelque peu fabuleux a tracé, à l’ombre du petit clocher trapu de Saint-Cyr, les éléments de ce qui, pour quelques uns d’entre nous, prend d’ores et déjà les couleurs de la légende.
Cette légende qui débute presqu’à l’orée du siècle, il importait de lui donner une forme et de la narrer, dans ses phases successives et diverses. Quand vous m’avez fait l’amitié de me prêter le manuscrit de votre livre, j’ai su, dès les premières pages, que le roman de Saint-Cyr, cet ouvrage précieux et indispensable, était enfin écrit…
■ Table des matières
— LISTE DES SOUSCRIPTEURS — PRÉFACE — AVANT-PROPOS
— CHAPITRE I -A la découverte d’une pyramide du souvenir
— CHAPITRE II – L’Œuf dur: Montmartre à la campagne..
— CHAPITRE III – .. Mais l’Œuf dur c’était avant tout Julien Callé
— CHAPITRE IV – En jetant l’ancre à Saint-Cyr, Mac Orlan partit
— CHAPITRE V – Pierre Mac Orlan et l’amitié
— CHAPITRE VI – Quand La Moderne installa sa popularité
—CHAPITRE VII – Un musée pour immortaliser les vieux métiers etun livre d’or pour une chronique du souvenir
—CHAPITRE VIII – Dans la galerie de portraits des peintres du Petit Morin
—CHAPITRE IX – Une histoire qui commence au temps des Celtes
— CHAPITRE X – Frédé chef de file d’une joyeuse et illustre cohorte
—CHAPITRE XI – Table des matières – Index général – Table des illustrations et légendes – Quelques ouvrages de Pierre Mac Orlan.
Pris par le bout du cœur, je fus entraîné par Pierrot, fils du chasseur à pied Guibert, patron de La Moderne à la rencontre des floriculteurs « ovoduriens » qui s’approvisionnaient en graines du côté de la Butte. Ils cultivaient l’Humour aux rieuses pétales ; l’Art et ses variétés, le pictural aux riches couleurs, le sculptural à la plénitude des formes ; et la Poésie au parfum vif et profond.
Guidé par le martin-pêcheur, habitant les berges du Petit Morin, qui colporta, pendant un demi-siècle, les bruits de la petite suisse briarde au père du fantastique social, je fis claquer la main de bronze pour entrer dans l’univers de Pierre Mac Orlan Là, j’y retrouvai Pierrot, ami de l’écrivain, toujours présent pour parler de cette amitié.
Bonheur, étonnement, ravissement, firent naître le regret et la nostalgie d’une époque disparue. Mais de nouveau Pierre Guibert fut là avec La Moderne, son musée d’outils d’objets et d’instruments du passé briard, et ma mélancolie s’estompa. Frédé avec son Lapin A. Gilí contamina Julien Callé, Pierre Mac Orlan anoblit Saint-Cyr, Pierrot la tendresse veille sur le souvenir.
Et je suis devenu un disciple. .
■ Préface
Eh oui, un petit village si bien caché, entre bois et collines : Saint-Cyr, dans la jolie vallée du Petit Morin ; à l’un des points de rencontre, jadis, entre Armagnacs et Bourguignons, qu’attestent les noms de lieux-dits du pays, les Armenats ou Archet. Point tellement caché, en vérité : les peintres avaient découvert sa verdure somptueuse, et il en est qui y gîtent toujours ; de plus, voilà des décennies qu’un destin quelque peu fabuleux a tracé, à l’ombre du petit clocher trapu de Saint-Cyr, les éléments de ce qui, pour quelques uns d’entre nous, prend d’ores et déjà les couleurs de la légende.
Cette légende qui débute presqu’à l’orée du siècle, il importait de lui donner une forme et de la narrer, dans ses phases successives et diverses. Quand vous m’avez fait l’amitié de me prêter le manuscrit de votre livre, j’ai su, dès les premières pages, que le roman de Saint-Cyr, cet ouvrage précieux et indispensable, était enfin écrit…
■ Table des matières
— LISTE DES SOUSCRIPTEURS — PRÉFACE — AVANT-PROPOS
— CHAPITRE I -A la découverte d’une pyramide du souvenir
— CHAPITRE II – L’Œuf dur: Montmartre à la campagne..
— CHAPITRE III – .. Mais l’Œuf dur c’était avant tout Julien Callé
— CHAPITRE IV – En jetant l’ancre à Saint-Cyr, Mac Orlan partit
— CHAPITRE V – Pierre Mac Orlan et l’amitié
— CHAPITRE VI – Quand La Moderne installa sa popularité
—CHAPITRE VII – Un musée pour immortaliser les vieux métiers etun livre d’or pour une chronique du souvenir
—CHAPITRE VIII – Dans la galerie de portraits des peintres du Petit Morin
—CHAPITRE IX – Une histoire qui commence au temps des Celtes
— CHAPITRE X – Frédé chef de file d’une joyeuse et illustre cohorte
—CHAPITRE XI – Table des matières – Index général – Table des illustrations et légendes – Quelques ouvrages de Pierre Mac Orlan.
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