Description
Référence : 31708
Flandrin – 1793 – La Terreur à Cambrai (Manuscrit)
Préface de Mr Bouly, texte manuscrit
1793, format : 180×225, environ 200 pages pages, illustration[s] :, sans. relié, bon état
Manuscrit inédit de M. Flandrin. Souvenir de la Révolution par un Cambrésien.
Cahier relié ayant appartenu à Camille CARON, ancien notaire à Cambrai.Révélations historiques sur la terreur à Cambrai
Préface de M. Bouly
Dans ce volume est contenu la copie d’un manuscrit intéressant sur les événements révolutionnaires de 93 à Cambrai. Je n’ai obtenu qu’avec peine l’autorisation de prendre cette copie. Mais j’ai d’autant plus insisté qu’il y a quelques raisons à croire qu’après la mort de l’auteur, des personnes prudentes et intéressées feront disparaître l’original.
Le caractère loyal de l’auteur, homme âgé et généralement estimé dans Cambrai, ne me permet pas de douter de la véracité de ses récits.
Ce livre est loin de ressembler à un libelle, c’est une histoire en déshabillé, c’est un tableau fidèle des temps malheureux auxquels il a rapport.
Je déclare, pour mon compte, m’associer aux désirs généreux de l’auteur, à l’égard des noms propres ; et je prie ceux qui pourront avoir cette copie entre les mains, de n’en tirer aucun parti contre qui que ce soi. Victime moi-même dans la personne de mon père, je dois savoir pardonner aux hommes, les événements qui ne sont plus, pour moi, que de l’histoire.
Eugène Bouly, août 1840.
Cahier relié ayant appartenu à Camille CARON, ancien notaire à Cambrai.Révélations historiques sur la terreur à Cambrai
Préface de M. Bouly
Dans ce volume est contenu la copie d’un manuscrit intéressant sur les événements révolutionnaires de 93 à Cambrai. Je n’ai obtenu qu’avec peine l’autorisation de prendre cette copie. Mais j’ai d’autant plus insisté qu’il y a quelques raisons à croire qu’après la mort de l’auteur, des personnes prudentes et intéressées feront disparaître l’original.
Le caractère loyal de l’auteur, homme âgé et généralement estimé dans Cambrai, ne me permet pas de douter de la véracité de ses récits.
Ce livre est loin de ressembler à un libelle, c’est une histoire en déshabillé, c’est un tableau fidèle des temps malheureux auxquels il a rapport.
Je déclare, pour mon compte, m’associer aux désirs généreux de l’auteur, à l’égard des noms propres ; et je prie ceux qui pourront avoir cette copie entre les mains, de n’en tirer aucun parti contre qui que ce soi. Victime moi-même dans la personne de mon père, je dois savoir pardonner aux hommes, les événements qui ne sont plus, pour moi, que de l’histoire.
Eugène Bouly, août 1840.
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