Description
Référence : 31972
GASTON DE BAR – Tables générales des bulletins du comité des travaux historiques et scientifiques
II – bulletin archéologique (1916-1940)
1952, format : 165×250, 610 pages, sans illustration[s].broché, bon état
INTRODUCTION
• Gaston de Bar, auteur de cette nouvelle table du Bulletin archéologique allant de 1916 à 1940, est décédé à la fin de l’année 1 948 sans avoir achevé la correction des épreuves de cet ouvrage. Depuis vingt mois la-maladie l’empêchait d’y travailler et, dès le milieu de l’année 1947, je dus accepter de le suppléer dans cette tâche ingrate et minutieuse. Des circonstances indépendantes de ma volonté n’ont pas permis de donner à l’auteur la joie dernière d’assister à l’achèvement de son œuvre, de voir paraître de son vivant le septième volume du vaste répertoire, consacré par lui au dépouillement des publications périodiques du Comité des travaux historiques et scientifiques, au service duquel sa vie a été consacrée.
• Gaston-Jean-Henri de Bar, Ills d’un vérificateur des douanes, naquit à Bordeaux le 2 5 octobre 1866, et fît ses études au lycée de cette ville. Venu à Paris en 1885, il servit quelque temps de secrétaire à son oncle Catulle Men dès et se trouva ainsi mêlé au mouvement parnassien. Entré en 1 888 au Ministère de l’Instruction publique, il fut affecté au 3° bureau de la direc- tion de l’Enseignement supérieur, c’est-à-dire au secrétariat du Comité des travaux historiques et scientifiques, créé par Guizot en 1834. Il y demeura durant toute sa carrière, sauf pendant quatre années, de 1909 à 1912., mais il y rentra l’année suivante en qualité de chef, avec le titre de sous-direeteur. A la veille de prendre sa retraite, au début de l’année 1928, le président de la Section d’archéologie du Comité, René Cagnat, lui remémorait ses états de service :
• K Qu’il y a longtemps, lui disait-il, que nous nous connaissons et que nous sommes attachés à la même œuvre 1 Je vous retrouve dans ma mémoire, quand vous étiez encore un débutant dans la carrière, il y a quelque quarante ans. Vous n’avez pas beaucoup changé depuis; votre somptueuse chevelure a seulement un peu blanchi — si peu — mais votre bon sourire est resté le même et votre accueil toujours aussi cordial…»
• Gaston de Bar, auteur de cette nouvelle table du Bulletin archéologique allant de 1916 à 1940, est décédé à la fin de l’année 1 948 sans avoir achevé la correction des épreuves de cet ouvrage. Depuis vingt mois la-maladie l’empêchait d’y travailler et, dès le milieu de l’année 1947, je dus accepter de le suppléer dans cette tâche ingrate et minutieuse. Des circonstances indépendantes de ma volonté n’ont pas permis de donner à l’auteur la joie dernière d’assister à l’achèvement de son œuvre, de voir paraître de son vivant le septième volume du vaste répertoire, consacré par lui au dépouillement des publications périodiques du Comité des travaux historiques et scientifiques, au service duquel sa vie a été consacrée.
• Gaston-Jean-Henri de Bar, Ills d’un vérificateur des douanes, naquit à Bordeaux le 2 5 octobre 1866, et fît ses études au lycée de cette ville. Venu à Paris en 1885, il servit quelque temps de secrétaire à son oncle Catulle Men dès et se trouva ainsi mêlé au mouvement parnassien. Entré en 1 888 au Ministère de l’Instruction publique, il fut affecté au 3° bureau de la direc- tion de l’Enseignement supérieur, c’est-à-dire au secrétariat du Comité des travaux historiques et scientifiques, créé par Guizot en 1834. Il y demeura durant toute sa carrière, sauf pendant quatre années, de 1909 à 1912., mais il y rentra l’année suivante en qualité de chef, avec le titre de sous-direeteur. A la veille de prendre sa retraite, au début de l’année 1928, le président de la Section d’archéologie du Comité, René Cagnat, lui remémorait ses états de service :
• K Qu’il y a longtemps, lui disait-il, que nous nous connaissons et que nous sommes attachés à la même œuvre 1 Je vous retrouve dans ma mémoire, quand vous étiez encore un débutant dans la carrière, il y a quelque quarante ans. Vous n’avez pas beaucoup changé depuis; votre somptueuse chevelure a seulement un peu blanchi — si peu — mais votre bon sourire est resté le même et votre accueil toujours aussi cordial…»
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