Description
Référence : 31978
PAULIN-DÉSORMEAUX et H. OTT – Nouveau manuel complet du TONNELIER et du JAUGEAGE
1982, format : 130×175, 319 pages, 172 + 2 pl. illustration[s].broché, bon état
 Réédition MANUELS-RORET
Nouveau manuel complet du TONNELIER et du JAUGEAGE
Nouveau manuel complet de L’ÉBÉNISTE et du TABLETIER
contenant : La Description des Bois d’Ebénisterie indigènes et exotiques; la Teinture et l’Apprêt des Bois indigènes destinés à imiter les Bois précieux; l’Outillage de l’Ebéniste; le Débitage des Bois de placage; le Polissage et le Vernissage des Bois; la Fabrication des Meubles et des petits Objets de Tabletterie; La Réparation et l’Entretien des Meubles,
par MM. NOSBAN et MAIGNE, Auteurs du Manuel du Menuisier.
Ouvrage orné de figures et accompagné de planches, faisant suite au Manuel du Menuisier en Bâtiments
CONTENANT LA FABRICATION DES TONNEAUX DE TOUTE DIMENSION DES CUVES, DES FOUDRES, DES BARILS, DES SEAUX ET DE TOUS LES VAISSEAUX EN BOIS CERCLÉS
SUIVI DU JAUGEAGE DE TOUS LES FUTS
Par MM. PAULIN-DÉSORMEAUX et H. OTT
NOUVELLE ÉDITION ENTIÈREMENT REFONDUE ET AUGMENTÉE Par M. W. MAIGNE
OUVRAGE ORNÉ DE 172 FIGURES ET ACCOMPAGNÉ DE 2 PLANCHES
INTRODUCTION.
• L’ouvrier qui fabrique des tonneaux se nomme tonnelier, et l’art qu’il exerce s’appelle tonnellerie. Cet art n’est pas de ceux qui, chaque jour, suivent une marche progressive. Depuis longtemps, en effet, il a atteint le degré de perfectionnement auquel il était susceptible de parvenir. Nos ancêtres faisaient, à peu de chose près, les tonneaux aussi bien qu’on les fait de nos jours. Il n’y a plus à rechercher qu’à faire très- vite, et même encore, de ce côté, il ne paraît guère possible de beaucoup gagner sur les bons ouvriers. La mécanique, qui cherche à s’emparer de toutes les fabrications, est parvenue à produire des tonneaux, non pas mieux exécutés que ne le sont ceux faits par la main d’un ouvrier habile; mais elle les produit en plus grand nombre dans un espene de temps donné.
• Le tonnelier ne se consacre pas seulement à la fabrication des tonneaux, il s’occupe aussi de celle de tous les vases propres à contenir des liquides, et qui sont construits d’après le même système, c’est-à-dire au moyen de bandes de bois, appelées douves, d’une longueur déterminée par la hauteur du vase, et d’une largeur calculée de manière que celui-ci ait une forme à peu près circulaire, plutôt qu’une forme sensiblement polygonale. Outre les futailles de toutes dimensions et de toute espèce, le tonnelier fait donc les cuves, les tonnes, les foudres, les cuvettes, les barattes, les cuviers, les seaux, les brocs, etc. Seulement, ce n’est guère que dans les ports de mer et dans les pays où la culture de la vigne est très-développée qu’il se livre exclusivement à la fabrication des futailles. Dans ces mêmes pays, ainsi que dans ceux où la préparation de la bière a lieu sur une grande échelle, il fait aussi les foudres; quelquefois même, il s’occupe d’une manière si spéciale de la confection de ces ustensiles, qu’on l’appelle foudrier. Partout ailleurs, le tonnelier se borne, sauf de rares exceptions, à réparer les futailles venues du dehors, et sa fabrication proprement dite ne comprend que les autres vases, tels que brocs, baquets, petits barils, etc., dont il a été question plus haut. Aussi, lui donne-t-on souvent le nom de barilleur.
Nouveau manuel complet du TONNELIER et du JAUGEAGE
Nouveau manuel complet de L’ÉBÉNISTE et du TABLETIER
contenant : La Description des Bois d’Ebénisterie indigènes et exotiques; la Teinture et l’Apprêt des Bois indigènes destinés à imiter les Bois précieux; l’Outillage de l’Ebéniste; le Débitage des Bois de placage; le Polissage et le Vernissage des Bois; la Fabrication des Meubles et des petits Objets de Tabletterie; La Réparation et l’Entretien des Meubles,
par MM. NOSBAN et MAIGNE, Auteurs du Manuel du Menuisier.
Ouvrage orné de figures et accompagné de planches, faisant suite au Manuel du Menuisier en Bâtiments
CONTENANT LA FABRICATION DES TONNEAUX DE TOUTE DIMENSION DES CUVES, DES FOUDRES, DES BARILS, DES SEAUX ET DE TOUS LES VAISSEAUX EN BOIS CERCLÉS
SUIVI DU JAUGEAGE DE TOUS LES FUTS
Par MM. PAULIN-DÉSORMEAUX et H. OTT
NOUVELLE ÉDITION ENTIÈREMENT REFONDUE ET AUGMENTÉE Par M. W. MAIGNE
OUVRAGE ORNÉ DE 172 FIGURES ET ACCOMPAGNÉ DE 2 PLANCHES
INTRODUCTION.
• L’ouvrier qui fabrique des tonneaux se nomme tonnelier, et l’art qu’il exerce s’appelle tonnellerie. Cet art n’est pas de ceux qui, chaque jour, suivent une marche progressive. Depuis longtemps, en effet, il a atteint le degré de perfectionnement auquel il était susceptible de parvenir. Nos ancêtres faisaient, à peu de chose près, les tonneaux aussi bien qu’on les fait de nos jours. Il n’y a plus à rechercher qu’à faire très- vite, et même encore, de ce côté, il ne paraît guère possible de beaucoup gagner sur les bons ouvriers. La mécanique, qui cherche à s’emparer de toutes les fabrications, est parvenue à produire des tonneaux, non pas mieux exécutés que ne le sont ceux faits par la main d’un ouvrier habile; mais elle les produit en plus grand nombre dans un espene de temps donné.
• Le tonnelier ne se consacre pas seulement à la fabrication des tonneaux, il s’occupe aussi de celle de tous les vases propres à contenir des liquides, et qui sont construits d’après le même système, c’est-à-dire au moyen de bandes de bois, appelées douves, d’une longueur déterminée par la hauteur du vase, et d’une largeur calculée de manière que celui-ci ait une forme à peu près circulaire, plutôt qu’une forme sensiblement polygonale. Outre les futailles de toutes dimensions et de toute espèce, le tonnelier fait donc les cuves, les tonnes, les foudres, les cuvettes, les barattes, les cuviers, les seaux, les brocs, etc. Seulement, ce n’est guère que dans les ports de mer et dans les pays où la culture de la vigne est très-développée qu’il se livre exclusivement à la fabrication des futailles. Dans ces mêmes pays, ainsi que dans ceux où la préparation de la bière a lieu sur une grande échelle, il fait aussi les foudres; quelquefois même, il s’occupe d’une manière si spéciale de la confection de ces ustensiles, qu’on l’appelle foudrier. Partout ailleurs, le tonnelier se borne, sauf de rares exceptions, à réparer les futailles venues du dehors, et sa fabrication proprement dite ne comprend que les autres vases, tels que brocs, baquets, petits barils, etc., dont il a été question plus haut. Aussi, lui donne-t-on souvent le nom de barilleur.




			
						            
			
							
						            
			
							
						            
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