Description
Référence : 31019
CATEL Albert – Recueil d’actes de l’abbaye de PREUILLY
Conférence sur l’utilisation pour histoire locale des documents du Moyen Âge
1926, format : 165×250, 14 pages, sans ill. débroché (en l’état) sans couverture
CONFÉRENCE sur l’utilisation, pour l’histoire locale
DES DOCUMENTS DU MOYEN AGE ET NOTAMMENT DU RECUEIL D’ACTES DE l’ABBAYE DE PREUILLY
Je me propose de vous entretenir aujourd’hui d’un sujet bien aride : l’étude des documents du moyen âge et îles moyens propres à leur utilisation pour l’histoire locale. Je mettrai tous mes soins à bannir de ma causerie, d’ailleurs sans prétention, l’appareil rébarbatif des termes techniques et m’efforcerai d’être aussi simple que possible.
J’aurais craint surtout d’être ennuyeux pour les élèves de l’école normale d’institutrices, qui assistent à cette séance, si je ne savais quelle maturité d’esprit exige la préparation à la carrière de l’enseignement.
D’ailleurs, à ce point de vue, une autre considération me rassure : l’élément féminin ne se laisse plus aujourd’hui rebuter par l’aridité des études; je n’en veux pour preuves vivantes que les quelques jeunes filles d’élite ayant affronté les difficultés d’admission à l’Ecole des chartes; certaines y ont réussi brillamment; l’une d’elles, si je ne me trompe, a été major de sa promotion; une Briarde, Mlle Ducaffy, est, aujourd’hui archiviste paléographe.
Le sujet que je vais tenter de développer devant vous n’est pas de ceux qui sont rebattus dans les sociétés savantes de province. La preuve vous en apparaîtra quand je vous aurai dit qu’à ma connaissance cinq travailleurs seulement, s’adonnent en ce moment à la publication de textes intéressant, le département de Seine-et-Marne. Et, dans ce nombre, je ne compte pas M. Canal, dont c’est la mission spéciale et officielle; je ne parle que des travailleurs bénévoles.Pourquoi le nombre des publicateurs de textes est si faible et diminuera peut-être encore, il n’est point difficile d’en découvrir les causes : c’est d’abord qu’une pareille besogne, outre certaines connaissances spéciales, …
DES DOCUMENTS DU MOYEN AGE ET NOTAMMENT DU RECUEIL D’ACTES DE l’ABBAYE DE PREUILLY
Je me propose de vous entretenir aujourd’hui d’un sujet bien aride : l’étude des documents du moyen âge et îles moyens propres à leur utilisation pour l’histoire locale. Je mettrai tous mes soins à bannir de ma causerie, d’ailleurs sans prétention, l’appareil rébarbatif des termes techniques et m’efforcerai d’être aussi simple que possible.
J’aurais craint surtout d’être ennuyeux pour les élèves de l’école normale d’institutrices, qui assistent à cette séance, si je ne savais quelle maturité d’esprit exige la préparation à la carrière de l’enseignement.
D’ailleurs, à ce point de vue, une autre considération me rassure : l’élément féminin ne se laisse plus aujourd’hui rebuter par l’aridité des études; je n’en veux pour preuves vivantes que les quelques jeunes filles d’élite ayant affronté les difficultés d’admission à l’Ecole des chartes; certaines y ont réussi brillamment; l’une d’elles, si je ne me trompe, a été major de sa promotion; une Briarde, Mlle Ducaffy, est, aujourd’hui archiviste paléographe.
Le sujet que je vais tenter de développer devant vous n’est pas de ceux qui sont rebattus dans les sociétés savantes de province. La preuve vous en apparaîtra quand je vous aurai dit qu’à ma connaissance cinq travailleurs seulement, s’adonnent en ce moment à la publication de textes intéressant, le département de Seine-et-Marne. Et, dans ce nombre, je ne compte pas M. Canal, dont c’est la mission spéciale et officielle; je ne parle que des travailleurs bénévoles.Pourquoi le nombre des publicateurs de textes est si faible et diminuera peut-être encore, il n’est point difficile d’en découvrir les causes : c’est d’abord qu’une pareille besogne, outre certaines connaissances spéciales, …
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