Description
Référence : 30157
RICHARD Yves – FAREMOUTIERS
Au coeur de la Brie, tome 5
1993, format : 210×290, 192 pages, nb ill. broché
Les études historiques concernant Faremoutiers, n’avaient jusqu’ici abordé que la vie du monastère et considéraient que le village ne s’était développé qu’à partir de la création de l’église St-Sulpice au XIIème siècle.
Or, le village s’est longtemps appelé « Eboriac », nom d’origine celte et les sites d’origine gallo-romaine sont nombreux sur la commune.
La construction de l’abbaye donna un élan très vif à la croissance du village.
La renommée du monastère et les miracles qui s’y produisirent attirèrent de plus en plus de pèlerins. Vous y trouverez aussi, l’histoire des rues, l’école, la mairie, les métiers, les guerres,…
Faremoutiers est situé sur un promontoire qui domine le confluent de l’Aubetin et du Grand Morin.
C’est le point clé des 25 villages que compte, de nos jours, la vallée de l’Aubetin.
A l’origine, le village s’appelait Eboriac, nom celte. Sainte Fare y fonda au VIIe siècle, la première abbaye bénédictine pour femmes en France, dont furent abbesses la fille de Charlemagne, puis plus tard, la soeur de François Ier. Le village prit alors le nom de l’abbaye Faremoutiers.
La renommée de vie sainte au monastère et les miracles qui s’y produisirent, attirèrent de plus en plus de pèlerins qui trouvèrent refuge au village dont l’importance culmina juste avant la Révolution.
De nombreux personnages célèbres vinrent à Faremoutiers : Héloïse, Catherine de Médecis, la Reine de Pologne, l’architecte Mansard, l’évêque Bossuet, Étienne Montgolfier, Ledoux et Brogniart, des écrivains de renom, Ronsard, Théophile Gauthier, Edmond Rostand, Courteline, le musicien Gabriel Fauré, le cinéaste René Clair.
Si le village a dépéri après la Révolution, il retrouve dynamisme et prospérité depuis une vingtaine d’années, tout en sachant garder, à proximité de Paris, son caractère propre de village briard où il fait bon vivre.
Le renouveau de la vie associative locale contribue à l’animation culturelle d’un village où à l’aube de l’an 2000, fleurent bon l’amitié et la détente.
Or, le village s’est longtemps appelé « Eboriac », nom d’origine celte et les sites d’origine gallo-romaine sont nombreux sur la commune.
La construction de l’abbaye donna un élan très vif à la croissance du village.
La renommée du monastère et les miracles qui s’y produisirent attirèrent de plus en plus de pèlerins. Vous y trouverez aussi, l’histoire des rues, l’école, la mairie, les métiers, les guerres,…
Faremoutiers est situé sur un promontoire qui domine le confluent de l’Aubetin et du Grand Morin.
C’est le point clé des 25 villages que compte, de nos jours, la vallée de l’Aubetin.
A l’origine, le village s’appelait Eboriac, nom celte. Sainte Fare y fonda au VIIe siècle, la première abbaye bénédictine pour femmes en France, dont furent abbesses la fille de Charlemagne, puis plus tard, la soeur de François Ier. Le village prit alors le nom de l’abbaye Faremoutiers.
La renommée de vie sainte au monastère et les miracles qui s’y produisirent, attirèrent de plus en plus de pèlerins qui trouvèrent refuge au village dont l’importance culmina juste avant la Révolution.
De nombreux personnages célèbres vinrent à Faremoutiers : Héloïse, Catherine de Médecis, la Reine de Pologne, l’architecte Mansard, l’évêque Bossuet, Étienne Montgolfier, Ledoux et Brogniart, des écrivains de renom, Ronsard, Théophile Gauthier, Edmond Rostand, Courteline, le musicien Gabriel Fauré, le cinéaste René Clair.
Si le village a dépéri après la Révolution, il retrouve dynamisme et prospérité depuis une vingtaine d’années, tout en sachant garder, à proximité de Paris, son caractère propre de village briard où il fait bon vivre.
Le renouveau de la vie associative locale contribue à l’animation culturelle d’un village où à l’aube de l’an 2000, fleurent bon l’amitié et la détente.
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