Description
Référence : 30252
DE VOISENON – Le sultan Misapouf et la Princesse Grisemine
ou les métamorphoses
1927, format : 140×190, 114 pages, couleur ill. broché
de Claude-Henri de Fusée de Voisenon, dit l’abbe du Jard,
Contes légers (suivis des Anecdotes littéraires)
Ouvrage orné d’Illustrations en couleurs de Pierre Rousseau, hors-texte.
Tirage limité à 1000 exemplaires, édition originale numérotée, pur Chiffon du Marais, ouvrage non rogné.
Le comte de Voisenon entra dans les ordres sur décision de sa famille, car il en était tout simplement le fils cadet. Mais il ne s’intéressa toute sa vie qu’au théâtre et à la littérature. Il fréquenta les salons en vogue et fit la connaissance de grands auteurs tels que Crébillon fils et Voltaire, qui lui conserva son amitié jusqu’à sa mort et qui rédigea même son épitaphe.
Grâce à ce précieux soutien, Voisenon entra à l’Académie française, où il prit le fauteuil de Crébillon père. Dans ce texte léger, un sultan et son épouse se racontent tour à tour les métamorphoses qu’ils subirent par le passé. Ce dialogue est prétexte à un échange grivois, dans lequel tout est suggéré avec humour plutôt que dit. Par exemple, les princesses doivent y trouver, non pas chaussure à leur pied, mais « petit doigt à leur anneau ». Ce qui implique de nombreux essayages…
Contes légers (suivis des Anecdotes littéraires)
Ouvrage orné d’Illustrations en couleurs de Pierre Rousseau, hors-texte.
Tirage limité à 1000 exemplaires, édition originale numérotée, pur Chiffon du Marais, ouvrage non rogné.
Le comte de Voisenon entra dans les ordres sur décision de sa famille, car il en était tout simplement le fils cadet. Mais il ne s’intéressa toute sa vie qu’au théâtre et à la littérature. Il fréquenta les salons en vogue et fit la connaissance de grands auteurs tels que Crébillon fils et Voltaire, qui lui conserva son amitié jusqu’à sa mort et qui rédigea même son épitaphe.
Grâce à ce précieux soutien, Voisenon entra à l’Académie française, où il prit le fauteuil de Crébillon père. Dans ce texte léger, un sultan et son épouse se racontent tour à tour les métamorphoses qu’ils subirent par le passé. Ce dialogue est prétexte à un échange grivois, dans lequel tout est suggéré avec humour plutôt que dit. Par exemple, les princesses doivent y trouver, non pas chaussure à leur pied, mais « petit doigt à leur anneau ». Ce qui implique de nombreux essayages…
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