Description
Référence : 30331
LAMY B. docteur, directeur des services d’hygiène de Seine-et-Marne – Centre d’hygiène pour secteur rural
1931, format : 160×240, 8 pages, 4 ill. broché
Si quelques villes ont pu réunir les sommes nécessaires à l’édification de centre d’hygiène, il n’en est pas de même des secteurs ruraux où cependant on est en droit d’attendre les meilleurs résultats de pareils centres.Il n’est évidemment pas question ici de doter chaque village de bâtiments importants, mais bien de remplacer les dispensaires de secteur par des centres d’hygiène ou les infirmières polyvalentes seraient installées dans des locaux eux-mêmes polyvalents.
Après avoir comparé sur place les efforts faits dans ce sens par différentes nations, nous nous sommes inspirés de l’exemple des centres modèles de Pologne pour réaliser dans un secteur de Seine-et-Marne, un type de centre rural pratique simple, et surtout d’un prix de revient à la portée de toutes les collectivités.
Destiné uniquement à la prévention il peut être divisé schématiquement en trois parties indépendantes les unes des autres :
1° Une partie destinée à la propagande (conférences, projections, exposition d’hygiène), comprenant également le logement de l’infirmière et des salles de réunion pour le Comité de Patronage du dispensaire ;
2° Une partie réservée aux consultations antituberculeuses, antivénériennes et anticancéreuses que nous désignerons, pour la commodité de la description, par le terme très impropre mais commode de « partie spetique ».
3° Enfin une partie destinée aux consultations prénatales, de nourrissons, aux inspections médicales scolaires, aux consultations d’hygiène mentale, etc…. que nous appellerons, aussi improprement d’ailleurs, « partie aseptique ».
La disposition de ces différentes parties nous a semblé présenter le maximum de simplicité et de commodité en étant réalisée comme l’indiquent les plans reproduits dans cet ouvrage.
Sous-sol. — Un petit sous-sol est aménagé sous une aile du bâtiment, il abrite la chaudière du chauffage central, la réserve de charbon et une buanderie pour l’infirmière.
Rez-de-chaussée. — Le rez-de-chaussée comprend :
1° Une partie en avant-corps, avec entrée spéciale desservant le logement de l’infirmière et le premier étage.Le logement de l’infirmière est composé d’une chambre avec salle de bains-toilette, d’une salle à manger et d’une cuisine ; un placard penderie est aménagé sous l’escalier, le chauffage en est assuré par une petite installation autonome type « idéal-classic ».
2° Deux parties symétriques pourvues chacune d’une entrée…
Après avoir comparé sur place les efforts faits dans ce sens par différentes nations, nous nous sommes inspirés de l’exemple des centres modèles de Pologne pour réaliser dans un secteur de Seine-et-Marne, un type de centre rural pratique simple, et surtout d’un prix de revient à la portée de toutes les collectivités.
Destiné uniquement à la prévention il peut être divisé schématiquement en trois parties indépendantes les unes des autres :
1° Une partie destinée à la propagande (conférences, projections, exposition d’hygiène), comprenant également le logement de l’infirmière et des salles de réunion pour le Comité de Patronage du dispensaire ;
2° Une partie réservée aux consultations antituberculeuses, antivénériennes et anticancéreuses que nous désignerons, pour la commodité de la description, par le terme très impropre mais commode de « partie spetique ».
3° Enfin une partie destinée aux consultations prénatales, de nourrissons, aux inspections médicales scolaires, aux consultations d’hygiène mentale, etc…. que nous appellerons, aussi improprement d’ailleurs, « partie aseptique ».
La disposition de ces différentes parties nous a semblé présenter le maximum de simplicité et de commodité en étant réalisée comme l’indiquent les plans reproduits dans cet ouvrage.
Sous-sol. — Un petit sous-sol est aménagé sous une aile du bâtiment, il abrite la chaudière du chauffage central, la réserve de charbon et une buanderie pour l’infirmière.
Rez-de-chaussée. — Le rez-de-chaussée comprend :
1° Une partie en avant-corps, avec entrée spéciale desservant le logement de l’infirmière et le premier étage.Le logement de l’infirmière est composé d’une chambre avec salle de bains-toilette, d’une salle à manger et d’une cuisine ; un placard penderie est aménagé sous l’escalier, le chauffage en est assuré par une petite installation autonome type « idéal-classic ».
2° Deux parties symétriques pourvues chacune d’une entrée…
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