Description
Référence : 30497
DE DAINVILLE François – Le langage des Géographes
Termes-signes-cartes anciennes 1500/1800
1964, format : 170×250, 378 pages, ill. broché
LE LANGAGE DES « GÉOGRAPHES »
La recherche historique se préoccupe, à bon droit, de plus en plus, de situer les données sur lesquelles s’arrête son attention, non seulement dans le temps, mais aussi dans l’espace. Dès lors, les cartes gravées ou à la main que conservent archives et bibliothèques deviennent une source d’information capitale. Elles apportent, en effet, sur toutes sortes d’objets, forêts, routes, industries, institutions militaires, civiles et religieuses…, une foule de renseignements localisés, de synthèses de faits et de relations. Elles livrent les visages des pays et des provinces ou, du moins, l’image qu’à un moment du temps hommes d’État et honnêtes gens s’en sont faite. Car, du XVIe à la fin du XVIIe siècle, «savoir la carte » ou savoir la géographie était tout un.
Les richesses de cet immense fonds, pourtant, ne sont guère exploitées. L’historien ou le géographe, soucieux de saisir les aspects des paysages d’aujourd’hui qu’éclaire la lumière du passé, n’ose s’y aventurer faute de guide. C’est pourquoi, depuis longtemps, il nous a paru indispensable d’élaborer des instruments de travail propres à fournir à tous ceux qui, sans être des spécialistes de la cartographie ancienne, ont profit à consulter et à étudier des cartes ou des plans anciens, et de dresser, en tout premier lieu, un glossaire historique des termes de géographie.
La recherche historique se préoccupe, à bon droit, de plus en plus, de situer les données sur lesquelles s’arrête son attention, non seulement dans le temps, mais aussi dans l’espace. Dès lors, les cartes gravées ou à la main que conservent archives et bibliothèques deviennent une source d’information capitale. Elles apportent, en effet, sur toutes sortes d’objets, forêts, routes, industries, institutions militaires, civiles et religieuses…, une foule de renseignements localisés, de synthèses de faits et de relations. Elles livrent les visages des pays et des provinces ou, du moins, l’image qu’à un moment du temps hommes d’État et honnêtes gens s’en sont faite. Car, du XVIe à la fin du XVIIe siècle, «savoir la carte » ou savoir la géographie était tout un.
Les richesses de cet immense fonds, pourtant, ne sont guère exploitées. L’historien ou le géographe, soucieux de saisir les aspects des paysages d’aujourd’hui qu’éclaire la lumière du passé, n’ose s’y aventurer faute de guide. C’est pourquoi, depuis longtemps, il nous a paru indispensable d’élaborer des instruments de travail propres à fournir à tous ceux qui, sans être des spécialistes de la cartographie ancienne, ont profit à consulter et à étudier des cartes ou des plans anciens, et de dresser, en tout premier lieu, un glossaire historique des termes de géographie.
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