La carte postale en marqueterie de timbres
La carte postale en marqueterie de timbres
TABOUROT Corine
Reproduction de plus de 260 Cartes Postales en 148 pages couleur
■ INTRODUCTION
On trouve les cartes confectionnées avec des timbres découpés collés dans les pays européens : France, Italie, Belgique, mais aussi en Chine.
Mon propos présentera en priorité des cartes postales de France. On les trouve principalement au début du XXe siècle, aussi retracent-elles les grands évènements de ce début de siècle : les changements de vie, l’évolution des transports, les affrontements patriotiques, et l’évolution religieuse.
Elles compensent d’une certaine manière le manque de matériels et matières destinés au dessin et à la peinture, durant et après les périodes de guerre.
On peut les imaginer comme un lien entre la philatélie et le début de la carte postale. Ces cartes ont voyagé à visage découvert, mais aussi sous enveloppe pour ne pas détruire le collage toujours fragile. Parfois elles n’ont pas été envoyées et reste alors très difficile à dater. Comment ont-elles été confectionnées ? Qui les a fabriquées ? Que représentent-elles ? quel pays à confectionner ces cartes en premier ? Quel est l’importance de ces productions ? Même si certaines réponses peuvent être apportées, d’autres restent encore inconnues. Si on trouve quelques cartes exposées au musée de La Poste à Paris, il n’y a ni catalogue, ni livre retraçant l’histoire de ces cartes.
Toutes les cartes présentées ici font parties de la collection personnelle de l’auteure. Contact : cotrino.arbetou@sfr.fr


Nous avons reçu le bulletin des Amis de Moret et de sa Région – 4ème trimestre 2022 – n° 245
KRAMER Daniel – Mémoires, souvenirs, anecdotes
Nous avons reçu le bulletin des Amis de Moret et de sa Région – 4ème trimestre 2022 – n° 243
La Seine-et-Marne doit son existence à la Révolution qui regroupa des territoires très hétérogènes de la Brie et du Gâtinais. La période révolutionnaire connut une intense mobilisation politique des citoyens qui culmina en l’an II de la Première République. De l’automne 1793 au début de l’été 1794, la moitié des communes du département se dotèrent d’un « Comité de surveillance », chargé officiellement de poursuivre et d’interner comme « suspects » les ennemis potentiels de la Révolution. Dans une commune sur quatre, se réunit un club ou « Société populaire », constitué avant tout d’éléments actifs issus des classes moyennes, commerçants, artisans ou fonctionnaires : soutiens de la Révolution menacée par les guerres civiles et extérieures, ils se firent aussi les avocats d’intérêts locaux ; découvrant l’action politique, ils élargirent leurs horizons socio-culturels.
PAUL TAVERNIER, sa vie à Fontainebleau, son œuvre
FONTAINEBLEAU, Tome 1 – Histoire et Légendes. De l’Obélisque à la place Napoléon Bonaparte