Description
Référence : 30710
PETITETIENNE Jean-Marie – Avon – Paroisse Royale
1988, format : 160×240, 158 pages, nb ill. broché
Mon intention en écrivant ce modeste ouvrage n’a pas été d’écrire l’histoire d’Avon, pas même celle de l’église Saint-Pierre. Mais d’abord de faire le point des connaissances acquises depuis la publication des livres d’Omcr Estournet et de Camille Vayer. Rassembler un certain nombre de documents épars, en donner les références, les faire connaître aux historiens à venir, tel est mon projet.
Le plan s’est imposé de lui-même. Dans une église royale : partir du roi qui a commencé à bâtir, essayer ensuite de préciser l’œuvre de ses successeurs. Ainsi de Hugues à Louis Capct. De la Révolution à nos jours. Rappeler les grands événements qui s’y passèrent, sans cependant redire ce que Camille Vayer ou Orner Estournet ont conté.
Depuis la Révolution, le territoire de la paroisse d’Avon correspond à celui de la commune. 11 n’en fut pas toujours ainsi. C’est la presque totalité de la forêt qui était le territoire de la paroisse. D’où le titre de l’ouvrage : En forêt de Bière, Avon paroisse royale. Ermitages et monastères dépendaient de la paroisse d’Avon. Nous en parlerons donc.
Nous avons pris comme guide celle phrase de Yves Congar : Tout doit être abordé historiquement, l’oublier entraîne les plus fâcheuses conséquences.
Et afin de ne point trop me prendre au sérieux —tout est poursuite du vent —dit mon ami Qohelet*, voici quelques réflexions de A. Boudard :
II est vrai que ces gens, ces profs, ces rongeurs de documents ne sont pas très souvent argentés. Ça nécessite une sacrée dose d’abnégation que d’aller se «farcir» comme ça des textes poussiéreux à la loupe… des pattes de mouches infinies, à propos de choses mortes… ces longues patiences entre les pages, les lignes, à l’affût de la moindre virgule déplacée. Tout ça. pour nourrir des mises, des livres qui ne seront lus que par trois dizaines d’autres rats de bibliothèque et qui vont encore trouver à redire… à enfiler d’autres mouches plus ou moins charbonneuses… *
Le plan s’est imposé de lui-même. Dans une église royale : partir du roi qui a commencé à bâtir, essayer ensuite de préciser l’œuvre de ses successeurs. Ainsi de Hugues à Louis Capct. De la Révolution à nos jours. Rappeler les grands événements qui s’y passèrent, sans cependant redire ce que Camille Vayer ou Orner Estournet ont conté.
Depuis la Révolution, le territoire de la paroisse d’Avon correspond à celui de la commune. 11 n’en fut pas toujours ainsi. C’est la presque totalité de la forêt qui était le territoire de la paroisse. D’où le titre de l’ouvrage : En forêt de Bière, Avon paroisse royale. Ermitages et monastères dépendaient de la paroisse d’Avon. Nous en parlerons donc.
Nous avons pris comme guide celle phrase de Yves Congar : Tout doit être abordé historiquement, l’oublier entraîne les plus fâcheuses conséquences.
Et afin de ne point trop me prendre au sérieux —tout est poursuite du vent —dit mon ami Qohelet*, voici quelques réflexions de A. Boudard :
II est vrai que ces gens, ces profs, ces rongeurs de documents ne sont pas très souvent argentés. Ça nécessite une sacrée dose d’abnégation que d’aller se «farcir» comme ça des textes poussiéreux à la loupe… des pattes de mouches infinies, à propos de choses mortes… ces longues patiences entre les pages, les lignes, à l’affût de la moindre virgule déplacée. Tout ça. pour nourrir des mises, des livres qui ne seront lus que par trois dizaines d’autres rats de bibliothèque et qui vont encore trouver à redire… à enfiler d’autres mouches plus ou moins charbonneuses… *
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