Description
Référence : 31364
CASTELJAU Christian de – Bibliographie d’apiculture de langue française
French bees book
1983, format : 160×240, 160 pages, 10 ill. broché
INTRODUCTION
L’apiculture a de tous temps passionné les hommes, mais jusqu’à l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1450,nous ignorons la façon dont nos compatriotes soignaient les abeilles. Pourtant les Georgiques de Virgile, écrites quelques années avant Jésus-Christ étaient connues.
En 1564 Charles ESTIENNE et Jean LIEBAULT publient « la manière de gouverner les mouches à miel toute l’année » , premier manuel d’apiculture en France. Il est traduit en 1600, en anglais.En 1582 Pierre CONSTANT publie « les abeilles et leur état royal » tandis qu’en Angleterre Charles BUTLER publie en 1609 « The feminine monarchie or a treatise concerning bees » (la monarchie féminine ou traité des abeilles).En Espagne L. M. de TORRES publie un traité abrégé en 1586.
Dès lors les auteurs vont se suivre sans discontinuité et A. de M0NTF0RT auteur d’un livre édité à Liège en 1646 estime à cinq ou six cents le nombre des auteurs qui avant lui avaient écrit sur les abeilles.il en cite quelques uns dont les ouvrages nous sont inconnus.
En 1686 de MARTIGNAC publie la première traduction des Georgiques en français et c’est en 1812 dans le « Manuel des propriétaires d’abeilles » de Lombard que nous retrouvons l’estimation de A. de Montfort citée ci-dessus.
Quel nombre d’ouvrages existait-il en français ?
Les livres de l’époque ne comportaient le nom de l’auteur qu’en dernière page avec l’autorisation royale de l’éditeur. Certains ne comportent aucun nom. Parfois la seconde édition voit figurer, soit celui de l’auteur soit celui de l’éditeur.
Dans certaines régions de France, étouffer complètement les ruches avec une mèche de souffre pour en retirer le miel et la cire était d’un usage courant et seules les ruches épargnées laissaient espérer essaim et récolte l’année suivante. Des ouvrages s’élèvent contre ce massacre et au fil des ans, le rôle important des abeilles dans l’agriculture commencera à être reconnu.
L’apiculture a de tous temps passionné les hommes, mais jusqu’à l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1450,nous ignorons la façon dont nos compatriotes soignaient les abeilles. Pourtant les Georgiques de Virgile, écrites quelques années avant Jésus-Christ étaient connues.
En 1564 Charles ESTIENNE et Jean LIEBAULT publient « la manière de gouverner les mouches à miel toute l’année » , premier manuel d’apiculture en France. Il est traduit en 1600, en anglais.En 1582 Pierre CONSTANT publie « les abeilles et leur état royal » tandis qu’en Angleterre Charles BUTLER publie en 1609 « The feminine monarchie or a treatise concerning bees » (la monarchie féminine ou traité des abeilles).En Espagne L. M. de TORRES publie un traité abrégé en 1586.
Dès lors les auteurs vont se suivre sans discontinuité et A. de M0NTF0RT auteur d’un livre édité à Liège en 1646 estime à cinq ou six cents le nombre des auteurs qui avant lui avaient écrit sur les abeilles.il en cite quelques uns dont les ouvrages nous sont inconnus.
En 1686 de MARTIGNAC publie la première traduction des Georgiques en français et c’est en 1812 dans le « Manuel des propriétaires d’abeilles » de Lombard que nous retrouvons l’estimation de A. de Montfort citée ci-dessus.
Quel nombre d’ouvrages existait-il en français ?
Les livres de l’époque ne comportaient le nom de l’auteur qu’en dernière page avec l’autorisation royale de l’éditeur. Certains ne comportent aucun nom. Parfois la seconde édition voit figurer, soit celui de l’auteur soit celui de l’éditeur.
Dans certaines régions de France, étouffer complètement les ruches avec une mèche de souffre pour en retirer le miel et la cire était d’un usage courant et seules les ruches épargnées laissaient espérer essaim et récolte l’année suivante. Des ouvrages s’élèvent contre ce massacre et au fil des ans, le rôle important des abeilles dans l’agriculture commencera à être reconnu.
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