Description
Référence : 31670
– Bulletin de la Société d’Histoire et d’Art du Diocèse de Meaux
22ème année
1971, format : 155×240, 128 pages, 25 ill. broché, bon état
Présentation
Si notre bulletin parait celle année avec quatre mois de retard — imputable à l’impression des Actes du Congrès pour le XIIIe centenaire de saint Fiacre — la richesse du numéro que vous avez entre les mains effacera vos regrets avant même que vous en ayez achevé la lecture. Le nombre de pages, qui s’élevait à 126 en 1969 et à 112 en 1970, passe cette fois a 128. L’on dénombrait 18 illustrations dans le numéro de 1969 et 21 dans celui de 1970; cette fois, il y en a 32.
Après la chronique coutumière sur la vie de la Société, on lira une étude sur le choléra de 1832 en Seine-et-Marne; M. Jean-Michel Derex a consulté, pour l’écrire, les archives de l’Evêché de Meaux, Puis Guy Beneut, vice-président de la Société française de numismatique, nous livre le résultat de patientes recherches sur les circuits de quête empruntés, aux XVe et XVIe siècles, par les reliques de saint Fiacre, M. Pierre Noël nous entretient enfin de ses relevés érudits sur les pierres tombales de la cathédrale de Meaux, étude dont on appréciera la minutie exemplaire.
S’ouvre alors une seconde rubrique, de tout un peu, qui rassemble, comme l’an passe, maints documents jusqu’alors inédits.
Ainsi que de coutume, une chronique d’art appelle judicieusement notre attention sur les déprédations de toutes sortes dont sont victimes nos monuments et les mobiliers de nos églises. Elle s’ouvre par un article de M. Jean Queguiner, conservateur des objets d’Art du département de Seine-et-Marne, qui trace avec bonheur les signes et le sens de l’évolution actuelle vers un monde soucieux de son environnement. Elle s’achève par de très beaux clichés choisis et commentés par M. Jean-Michel Desbordes, où l’on voit, pour ainsi dire, agoniser de vénérables monuments qui ne sont ni classés, ni même inscrits à l’inventaire supplémentaire. Soulignons l’intérêt tout particulier de cette ultime rubrique ; bon nombre des objets d’art publiés de 1968 à 1970 dans notre bulletin ont été, depuis, classés au rang des monuments historiques. C’est le salaire de notre peine. Le Président, Georges DAILLY.
SOMMAIRE
Présentation, par G. Dailly
Le choléra de 1832 en Seine-et-Marne, par Jean-Michel Derex
Quêtes et processions de reliques pour relever les monastères de Saint-Faron et Saint-Fiacre, par Guy Beneut
Les pierres tombales de la cathédrale de Meaux, par Pierre Noël
Voici vingt-quatre chefs-d’œuvre en détresse ou déjà disparus…, par J.-M. Desbordes
Si notre bulletin parait celle année avec quatre mois de retard — imputable à l’impression des Actes du Congrès pour le XIIIe centenaire de saint Fiacre — la richesse du numéro que vous avez entre les mains effacera vos regrets avant même que vous en ayez achevé la lecture. Le nombre de pages, qui s’élevait à 126 en 1969 et à 112 en 1970, passe cette fois a 128. L’on dénombrait 18 illustrations dans le numéro de 1969 et 21 dans celui de 1970; cette fois, il y en a 32.
Après la chronique coutumière sur la vie de la Société, on lira une étude sur le choléra de 1832 en Seine-et-Marne; M. Jean-Michel Derex a consulté, pour l’écrire, les archives de l’Evêché de Meaux, Puis Guy Beneut, vice-président de la Société française de numismatique, nous livre le résultat de patientes recherches sur les circuits de quête empruntés, aux XVe et XVIe siècles, par les reliques de saint Fiacre, M. Pierre Noël nous entretient enfin de ses relevés érudits sur les pierres tombales de la cathédrale de Meaux, étude dont on appréciera la minutie exemplaire.
S’ouvre alors une seconde rubrique, de tout un peu, qui rassemble, comme l’an passe, maints documents jusqu’alors inédits.
Ainsi que de coutume, une chronique d’art appelle judicieusement notre attention sur les déprédations de toutes sortes dont sont victimes nos monuments et les mobiliers de nos églises. Elle s’ouvre par un article de M. Jean Queguiner, conservateur des objets d’Art du département de Seine-et-Marne, qui trace avec bonheur les signes et le sens de l’évolution actuelle vers un monde soucieux de son environnement. Elle s’achève par de très beaux clichés choisis et commentés par M. Jean-Michel Desbordes, où l’on voit, pour ainsi dire, agoniser de vénérables monuments qui ne sont ni classés, ni même inscrits à l’inventaire supplémentaire. Soulignons l’intérêt tout particulier de cette ultime rubrique ; bon nombre des objets d’art publiés de 1968 à 1970 dans notre bulletin ont été, depuis, classés au rang des monuments historiques. C’est le salaire de notre peine. Le Président, Georges DAILLY.
SOMMAIRE
Présentation, par G. Dailly
Le choléra de 1832 en Seine-et-Marne, par Jean-Michel Derex
Quêtes et processions de reliques pour relever les monastères de Saint-Faron et Saint-Fiacre, par Guy Beneut
Les pierres tombales de la cathédrale de Meaux, par Pierre Noël
Voici vingt-quatre chefs-d’œuvre en détresse ou déjà disparus…, par J.-M. Desbordes
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