Description
Référence : 31647
Gillouin René – Esquisses Littéraires et Morales
7e édition
1926, format : 120×190, 250 pages, sans ill. broché,
André Gide, Edouard Estaunié, François Mauriac, Paul Morand, Jean Cocteau, Jacques Maritain, Abel Bonnard, Marcel Proust, Léon Daudet, Charles Maurras, Maurice Barrès, Ernest Rennan etc.
AVANT-PROPOS
On trouvera dans ce livre une vingtaine d’esquisses, les unes simples crayons, les autres plus poussées, choisies parmi celles que j’ai données à la Semaine littéraire de Genève depuis l’année 1920, où le directeur de cette excellente et charmante Revue, M. Debarge, à qui je suis heureux d’adresser en passant le témoignage de mon affectueuse gratitude, me fit l’honneur de me prier d’y tenir régulièrement la chronique des Lettres françaises. Écrites pour le public suisse, ces études m’ont paru pouvoir être présentées au public français. Je demanderai seulement à mes compatriotes qui voudront bien me lire de m’entendre quelquefois à demi-mot; dans un souci, qu’ils comprendront je crois, et qu’ils approuveront j’espère, de ne pas transporter à L’étranger nos querelles intérieures, j’ai cru devoir en mainte occasion, autant que je l’ai pu sans tomber dans la complaisance, émousser les pointes de ma critique, arrondir les angles de mes sévérités.
M’excuserai-je une fois de plus de publier en volume un recueil d’articles ?
AVANT-PROPOS
On trouvera dans ce livre une vingtaine d’esquisses, les unes simples crayons, les autres plus poussées, choisies parmi celles que j’ai données à la Semaine littéraire de Genève depuis l’année 1920, où le directeur de cette excellente et charmante Revue, M. Debarge, à qui je suis heureux d’adresser en passant le témoignage de mon affectueuse gratitude, me fit l’honneur de me prier d’y tenir régulièrement la chronique des Lettres françaises. Écrites pour le public suisse, ces études m’ont paru pouvoir être présentées au public français. Je demanderai seulement à mes compatriotes qui voudront bien me lire de m’entendre quelquefois à demi-mot; dans un souci, qu’ils comprendront je crois, et qu’ils approuveront j’espère, de ne pas transporter à L’étranger nos querelles intérieures, j’ai cru devoir en mainte occasion, autant que je l’ai pu sans tomber dans la complaisance, émousser les pointes de ma critique, arrondir les angles de mes sévérités.
M’excuserai-je une fois de plus de publier en volume un recueil d’articles ?
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