Description
Référence : 30951
Manufacture nationale des Gobelins – Exposition VAN DER MEULEN
Catalogue des dessins et aquarelles
sans date, format : 140×220, 16 pages, 2 ill. broché
ANTOINE-FRANÇOIS VAN DER MEULEN (1634 – 1690)
Parmi tous les peintres et architectes du grand siècle de Louis XIV, Antoine-François Van der Meulen fut le véritable historiographe de la Cour ; aussi, était-il intéressant de montrer la vie de ce peintre en présentant son œuvre.
Né à Bruxelles, d’une famille aisée, en 1634, il fut attiré dès son jeune âge par la peinture et le dessin ; d’aucuns diront qu’il était né avec ce don, que son maître, un artiste d’Anvers, Pierre Snayers, qui s’était imposé comme peintre de batailles, n’eut pas grand’- peine à lui donner l’amour de cet art.
Peu après son entrée dans cet atelier, il étonne son maître en dessinant des chevaux dans tous leurs mouvements, au trot, au galop, se cabrant, caracolant, avec un inimitable brio, ainsi que des combats, des groupements, des défilés de troupes.
Ces dessins sont montrés à Le Brun, premier peintre du Roi, qui mande à Paris le jeune Flamand, lui fait accorder une pension de 2.000 livres et l’installe près de lui aux Gobelins en la Manufacture Royale des Meubles de la Couronne.
Parmi tous les peintres et architectes du grand siècle de Louis XIV, Antoine-François Van der Meulen fut le véritable historiographe de la Cour ; aussi, était-il intéressant de montrer la vie de ce peintre en présentant son œuvre.
Né à Bruxelles, d’une famille aisée, en 1634, il fut attiré dès son jeune âge par la peinture et le dessin ; d’aucuns diront qu’il était né avec ce don, que son maître, un artiste d’Anvers, Pierre Snayers, qui s’était imposé comme peintre de batailles, n’eut pas grand’- peine à lui donner l’amour de cet art.
Peu après son entrée dans cet atelier, il étonne son maître en dessinant des chevaux dans tous leurs mouvements, au trot, au galop, se cabrant, caracolant, avec un inimitable brio, ainsi que des combats, des groupements, des défilés de troupes.
Ces dessins sont montrés à Le Brun, premier peintre du Roi, qui mande à Paris le jeune Flamand, lui fait accorder une pension de 2.000 livres et l’installe près de lui aux Gobelins en la Manufacture Royale des Meubles de la Couronne.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.