Description
Référence : 30197
THOISON Eugène – FONTAINEBLEAU – Claude LEFEBVRE
Recherches sur les artistes se rattachant au Gâtinais
1905, format : 165×245, 26 pages, 2 ill. broché
Le regretté Th. Lhuillier a communiqué, en 1892, à la Reunion des Sociétés des Beaux-Arts, un mémoire sur CLAUDE LEFEBVRE, peintre de portraits, né à Fontainebleau.
Il faudrait n’avoir jamais essayé de dresser, avec les moyens si réduits dont nous disposons en province, un Catalogne pour reprocher à ce mémoire (le n’être pas complet. Cependant on y constate des lacunes qui étonnent, et il semble hors de doute que, s’il eût vécu, le consciencieux auteur se fût attaché à améliorer son travail un peu hâtif. Sa mort nous autorise à reprendre le sujet, non pour le mener à la perfection, ce qui est au-dessus de nos forces, mais pour tenter de l’en rapprocher.
Les pages qui suivent ont donc pour but :
D’augmenter le Catalogue d’un peu plus de trente oeuvres ignorées de Lhuillier;
De l’expurger de celles que l’on y a fait entrer par erreur;
De discuter certaines attributions acceptées par notre devancier ou inconnues de lui, et semblant ne pas devoir être maintenues;
De tracer une rapide iconographie de l’artiste;
De dire le peu qu’il est possible d’ajouter à ce que l’on sait du frère et des descendants de Lefebvre.
Dans un dernier et court chapitre, nous réunissons un petit nombre de notes destinées à rectifier ou à compléter quelques points de détail.
Peut-être faciliterons-nous ainsi la préparation de l’étude définitive qu’attend et mérite le portraitiste trop négligé jusqu’à présent. Nous n’avons pas d’autre ambition.
J’indique naturellement dans ma notice toutes les sources où j’ai puisé; il sera donc facile de reconnaître celles négligées par Lhuillier, mais la plus imprévue de celles-ci est certainement le Dictionnaire des artistes français de BELLIER DE LA CHAVIGNERIE et AUVRAY.
Il faudrait n’avoir jamais essayé de dresser, avec les moyens si réduits dont nous disposons en province, un Catalogne pour reprocher à ce mémoire (le n’être pas complet. Cependant on y constate des lacunes qui étonnent, et il semble hors de doute que, s’il eût vécu, le consciencieux auteur se fût attaché à améliorer son travail un peu hâtif. Sa mort nous autorise à reprendre le sujet, non pour le mener à la perfection, ce qui est au-dessus de nos forces, mais pour tenter de l’en rapprocher.
Les pages qui suivent ont donc pour but :
D’augmenter le Catalogue d’un peu plus de trente oeuvres ignorées de Lhuillier;
De l’expurger de celles que l’on y a fait entrer par erreur;
De discuter certaines attributions acceptées par notre devancier ou inconnues de lui, et semblant ne pas devoir être maintenues;
De tracer une rapide iconographie de l’artiste;
De dire le peu qu’il est possible d’ajouter à ce que l’on sait du frère et des descendants de Lefebvre.
Dans un dernier et court chapitre, nous réunissons un petit nombre de notes destinées à rectifier ou à compléter quelques points de détail.
Peut-être faciliterons-nous ainsi la préparation de l’étude définitive qu’attend et mérite le portraitiste trop négligé jusqu’à présent. Nous n’avons pas d’autre ambition.
J’indique naturellement dans ma notice toutes les sources où j’ai puisé; il sera donc facile de reconnaître celles négligées par Lhuillier, mais la plus imprévue de celles-ci est certainement le Dictionnaire des artistes français de BELLIER DE LA CHAVIGNERIE et AUVRAY.
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