Description
Référence : 31110
RAMBAUD Patrick – François le Petit
Chronique d’un règne
2016, format : 120×195, 235 pages, sans ill. broché
François le Petit
Patrick Rambaud est l’auteur d’une œuvre romanesque importante. On lui doit entre autres La Bataille (prix Concourt 1987) et la série des six Chroniques de Nicolas Ier dont le présent volume est le prolongement.
«Je raconte ici l’histoire d’un petit nombre d’hommes qui, poussés par les événements, ne se hissaient point à leur portée.
Avant de rejoindre le monde des esprits, François-le-Grand avait estimé que ses successeurs ne seraient au mieux que des comptables; c’était vrai : le règne de Nicolas-le-Mauvais puis celui de François- le-Petit avaient tourné aux calculs, à la combine, aux querelles de coteries.
Ces parvenus avaient ennuyé le peuple, ils l’avaient trompé, maintenant ils l’exaspéraient. »
■ HORS-D’ŒUVREJe raconte ici l’histoire d’un petit nombre d’hommes qui, poussés par les événements, ne se hissaient point à leur portée. Le monde avançait mais eux, animés par d’anciens réflexes, amidonnés, rétrécis dans leur système de pensée et leur langue morte, ils semblaient reculer tant ils s’échinaient à rester immobiles. Est-ce la chronique d’une tragi-comédie ? Est-ce un requiem qui chante en lamento le naufrage d’un monde politique professionnel ?
Charles Ier de Gaulle fustigeait le régime des partis, qui fleurirent après lui. Avant de rejoindre le monde des esprits, François-le-Grand avait estimé que ses successeurs ne seraient au mieux que des comptables ; c’était vrai : le règne de Nicolas-le-Mauvais puis celui de François-le-Petit avaient tourné aux calculs, à la combine, aux querelles de coteries. Ces parvenus avaient ennuyé le peuple, ils l’avaient trompé, maintenant ils l’exaspéraient. La gabegie était mondiale, le verbe se désagrégeait, la vente des armes prospérait, …
Patrick Rambaud est l’auteur d’une œuvre romanesque importante. On lui doit entre autres La Bataille (prix Concourt 1987) et la série des six Chroniques de Nicolas Ier dont le présent volume est le prolongement.
«Je raconte ici l’histoire d’un petit nombre d’hommes qui, poussés par les événements, ne se hissaient point à leur portée.
Avant de rejoindre le monde des esprits, François-le-Grand avait estimé que ses successeurs ne seraient au mieux que des comptables; c’était vrai : le règne de Nicolas-le-Mauvais puis celui de François- le-Petit avaient tourné aux calculs, à la combine, aux querelles de coteries.
Ces parvenus avaient ennuyé le peuple, ils l’avaient trompé, maintenant ils l’exaspéraient. »
■ HORS-D’ŒUVREJe raconte ici l’histoire d’un petit nombre d’hommes qui, poussés par les événements, ne se hissaient point à leur portée. Le monde avançait mais eux, animés par d’anciens réflexes, amidonnés, rétrécis dans leur système de pensée et leur langue morte, ils semblaient reculer tant ils s’échinaient à rester immobiles. Est-ce la chronique d’une tragi-comédie ? Est-ce un requiem qui chante en lamento le naufrage d’un monde politique professionnel ?
Charles Ier de Gaulle fustigeait le régime des partis, qui fleurirent après lui. Avant de rejoindre le monde des esprits, François-le-Grand avait estimé que ses successeurs ne seraient au mieux que des comptables ; c’était vrai : le règne de Nicolas-le-Mauvais puis celui de François-le-Petit avaient tourné aux calculs, à la combine, aux querelles de coteries. Ces parvenus avaient ennuyé le peuple, ils l’avaient trompé, maintenant ils l’exaspéraient. La gabegie était mondiale, le verbe se désagrégeait, la vente des armes prospérait, …
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