Description
Référence : 30560
LEROY Stéphen – Histoire Ardennaise
Affaire du compte de Soissons en 1639
1901, format : 160×150, 180 pages, sans ill. broché couverture légère pliure (en l’état)
Etudes et documents relatifs à l’Histoire Ardennaise
Les sièges d’OMONT de 1589 à 1591L’affaire du comte de Soissons et la campagne du maréchal de Chatillon en 1637
Le loyalisme des sedanais à leur hospitalité de 1638 à 1680
Entre la vallée de l’Aisne et la vallée de la Meuse s’allonge un plateau d’une altitude moyenne de deux à trois cents mètres et que la dépression du Chesue-Populeux divise en deux parties inégales.
La partie orientale constitue le plateau gaizeux de l’Argonne, qui s’étend jusqu’au Yallage, un peu au nord de Triaucourt.
La partie occidentale, formée surtout de terrains jurassiques, est beaucoup moins étendue ; elle se relève pour constituer, à égale distance de l’Aisne et de la Meuse, un dos de pays limité au nord et au sud par deux petits affluents de la Bar, le Donjon et le ruisseau de Bairon.
C’est sur cette hauteur que, dans les dernières années du neuvième siècle, Foulque, archevêque de Reims, fît reconstruire, à l’extrémité orientale du Porcien, sur les frontières du Castrice et du Mouzonnais, le château-fort d’Omont, ou mieux d’Hautmont, comme on écrivait autrefois, afin de mettre un obstacle aux incursions des Normands qui venaient piller le pays…
Les sièges d’OMONT de 1589 à 1591L’affaire du comte de Soissons et la campagne du maréchal de Chatillon en 1637
Le loyalisme des sedanais à leur hospitalité de 1638 à 1680
Entre la vallée de l’Aisne et la vallée de la Meuse s’allonge un plateau d’une altitude moyenne de deux à trois cents mètres et que la dépression du Chesue-Populeux divise en deux parties inégales.
La partie orientale constitue le plateau gaizeux de l’Argonne, qui s’étend jusqu’au Yallage, un peu au nord de Triaucourt.
La partie occidentale, formée surtout de terrains jurassiques, est beaucoup moins étendue ; elle se relève pour constituer, à égale distance de l’Aisne et de la Meuse, un dos de pays limité au nord et au sud par deux petits affluents de la Bar, le Donjon et le ruisseau de Bairon.
C’est sur cette hauteur que, dans les dernières années du neuvième siècle, Foulque, archevêque de Reims, fît reconstruire, à l’extrémité orientale du Porcien, sur les frontières du Castrice et du Mouzonnais, le château-fort d’Omont, ou mieux d’Hautmont, comme on écrivait autrefois, afin de mettre un obstacle aux incursions des Normands qui venaient piller le pays…
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