Description
Référence : 31930
Brigitte et Serge LAPOUGE – Je réussis mes plants du premier coup !
2014, format : 210×210, 120 pages, très nb en coul; illustration[s].broché, bon état
Introduction
• Le paillage a pour principal objectif de protéger le sol. Il peut être réalisé avec toutes sortes de matériaux, issus du jardin ou non. Le premier paillage que vous avez vu, c’est sans doute celui que nos forêts tempérées fabriquent : la litière* de feuilles, qui peu à peu devient humus. Pailler votre jardin, c’est un peu y recréer cette litière originelle, mais c’est beaucoup plus encore.
Les multiples vertus du paillage
Protéger la surface du sol présente de nombreux avantages que l’on ne soupçonne pas toujours de prime abord. Quand on entend paillage, on pense souvent, bien sûr, à économie d’eau, à lutte contre les «mauvaises» herbes… et puis, on ne sait plus trop. Pourtant, le paillage est beaucoup plus que cela. Il crée tout simplement un écosystème différent dans votre jardin, beaucoup plus riche, dans lequel vos plantes se porteront mieux : moins de maladies, moins de ravageurs, plus de production de qualité.
Gain de temps assuré
• Si vous feuilletez rapidement ce livre, vous allez me voir très occupé à pailler tout le temps. Et vous pouvez vous demander: «Tout ce temps passé à pailler, est-ce vraiment utile?»
• Eh bien oui ! Les économies de temps sont énormes. Pour vous en donner une idée, voici, grâce au • paillage, les ordres de grandeur de diminution du temps consacré aux autres tâches du jardin : • D 50 % environ pour l’arrosage, le paillage permettant d’arroser deux fois moins; • 80 % pour le désherbage, la majorité des herbes étant maîtrisée; • 25 % au minimum pour la lutte contre les maladies et les ravageurs; • D 80 % pour le nettoyage des légumes; • 20 à 50 % sur le travail du sol en fonction de son type de terre.
• Au total, les quelques heures passées à collecter des matériaux pour pailler et à les installer sous les cultures sont amplement récupérées avec toutes les économies de temps ainsi réalisées dans les autres tâches du jardin!
Une activité ludique
Enfin, le paillage n’est pas une activité rébarbative ni répétitive. Il est ludique, stimule l’imagination et permet d’ouvrir son jardin sur l’extérieur, à la recherche de matériaux efficaces, originaux et bon marché. Une activité à vivre en famille, entre amis ou dans le calme du jardinier solitaire. Avec ce livre, vous paillerez davantage et autrement, et vous vivrez votre jardin différemment.
Introduction
• Nous sommes de plus en plus nombreux à reprendre le chemin du potager pour y assurer un peu plus qu’une poignée de radis et des tomates de pleine saison. Crise économique aidant, la recherche de légumes à moindre coût, tout en s’assurant qu’ils sont sains et goûteux, devient une priorité pour ceux qui ont accès à un carré de terre.
Produire ses propres plants découle tout naturellement de cette première démarche quand nous nous apercevons du budget que représente cet achat. Les semis directement en pleine terre s’avèrent si souvent aléatoires et décevants que la nécessité d’une production en mottes ou en godets, prête à être repiquée dans les meilleures conditions au potager, devient une évidence. Et c’est tellement plus facile ! Le bénéfice saute aux yeux dès la première année, même en commençant modestement. Si l’on calcule qu’un sachet de graines de laitues bio coûte 2,50 € et qu’il contient 1 500 graines, on s’étonne de devoir payer 30 à 50 centimes le jeune plant en motte «prêt à repiquer» dans les jardineries. À raison de 1 € le pied — le chou — et 2,50 à 3 € — la tomate — les autres légumes auraient tôt fait de nous mettre sur la paille. Dans ces conditions, il devient économiquement indispensable de délester son budget potager de l’achat de jeunes plants, en partie ou même en totalité.
Il ne reste qu’à s’équiper de quelques godets et plaques de multiplication pour se lancer dans l’aventure complètement addictive de la pépinière potagère. Car une fois l’activité lancée, on se rend compte de tous les plaisirs et des découvertes quelle entraîne !
Tout d’abord la fierté de faire soi-même ses plants cultivés en bio, un véritable trésor à donner, échanger pour faire partager ce goût aux autres.
Ensuite le plaisir de pouvoir choisir entre de multiples variétés sans être tributaire du marché. Privilégier les variétés anciennes, régionales, mieux adaptées au terroir, plus riches en saveurs pour participer au maintien de ce patrimoine vivant qui ne vit que par la détermination des jardiniers à le sauver.
Décider de ce qu’on servira à table au fil des saisons, sans dépendre de la production lambda de petits plants, trop souvent exclusivement printanière… Retrouver le goût des légumes qui disparaissent peu à peu en semant en temps voulu la laitue Rougette ou I oignon des Cévennes… Produire ses propres plants, c’est retrouver la liberté de choisir, le grand luxe à tout petit prix pour assurer du sur-mesure à son potager.
• Le paillage a pour principal objectif de protéger le sol. Il peut être réalisé avec toutes sortes de matériaux, issus du jardin ou non. Le premier paillage que vous avez vu, c’est sans doute celui que nos forêts tempérées fabriquent : la litière* de feuilles, qui peu à peu devient humus. Pailler votre jardin, c’est un peu y recréer cette litière originelle, mais c’est beaucoup plus encore.
Les multiples vertus du paillage
Protéger la surface du sol présente de nombreux avantages que l’on ne soupçonne pas toujours de prime abord. Quand on entend paillage, on pense souvent, bien sûr, à économie d’eau, à lutte contre les «mauvaises» herbes… et puis, on ne sait plus trop. Pourtant, le paillage est beaucoup plus que cela. Il crée tout simplement un écosystème différent dans votre jardin, beaucoup plus riche, dans lequel vos plantes se porteront mieux : moins de maladies, moins de ravageurs, plus de production de qualité.
Gain de temps assuré
• Si vous feuilletez rapidement ce livre, vous allez me voir très occupé à pailler tout le temps. Et vous pouvez vous demander: «Tout ce temps passé à pailler, est-ce vraiment utile?»
• Eh bien oui ! Les économies de temps sont énormes. Pour vous en donner une idée, voici, grâce au • paillage, les ordres de grandeur de diminution du temps consacré aux autres tâches du jardin : • D 50 % environ pour l’arrosage, le paillage permettant d’arroser deux fois moins; • 80 % pour le désherbage, la majorité des herbes étant maîtrisée; • 25 % au minimum pour la lutte contre les maladies et les ravageurs; • D 80 % pour le nettoyage des légumes; • 20 à 50 % sur le travail du sol en fonction de son type de terre.
• Au total, les quelques heures passées à collecter des matériaux pour pailler et à les installer sous les cultures sont amplement récupérées avec toutes les économies de temps ainsi réalisées dans les autres tâches du jardin!
Une activité ludique
Enfin, le paillage n’est pas une activité rébarbative ni répétitive. Il est ludique, stimule l’imagination et permet d’ouvrir son jardin sur l’extérieur, à la recherche de matériaux efficaces, originaux et bon marché. Une activité à vivre en famille, entre amis ou dans le calme du jardinier solitaire. Avec ce livre, vous paillerez davantage et autrement, et vous vivrez votre jardin différemment.
Introduction
• Nous sommes de plus en plus nombreux à reprendre le chemin du potager pour y assurer un peu plus qu’une poignée de radis et des tomates de pleine saison. Crise économique aidant, la recherche de légumes à moindre coût, tout en s’assurant qu’ils sont sains et goûteux, devient une priorité pour ceux qui ont accès à un carré de terre.
Produire ses propres plants découle tout naturellement de cette première démarche quand nous nous apercevons du budget que représente cet achat. Les semis directement en pleine terre s’avèrent si souvent aléatoires et décevants que la nécessité d’une production en mottes ou en godets, prête à être repiquée dans les meilleures conditions au potager, devient une évidence. Et c’est tellement plus facile ! Le bénéfice saute aux yeux dès la première année, même en commençant modestement. Si l’on calcule qu’un sachet de graines de laitues bio coûte 2,50 € et qu’il contient 1 500 graines, on s’étonne de devoir payer 30 à 50 centimes le jeune plant en motte «prêt à repiquer» dans les jardineries. À raison de 1 € le pied — le chou — et 2,50 à 3 € — la tomate — les autres légumes auraient tôt fait de nous mettre sur la paille. Dans ces conditions, il devient économiquement indispensable de délester son budget potager de l’achat de jeunes plants, en partie ou même en totalité.
Il ne reste qu’à s’équiper de quelques godets et plaques de multiplication pour se lancer dans l’aventure complètement addictive de la pépinière potagère. Car une fois l’activité lancée, on se rend compte de tous les plaisirs et des découvertes quelle entraîne !
Tout d’abord la fierté de faire soi-même ses plants cultivés en bio, un véritable trésor à donner, échanger pour faire partager ce goût aux autres.
Ensuite le plaisir de pouvoir choisir entre de multiples variétés sans être tributaire du marché. Privilégier les variétés anciennes, régionales, mieux adaptées au terroir, plus riches en saveurs pour participer au maintien de ce patrimoine vivant qui ne vit que par la détermination des jardiniers à le sauver.
Décider de ce qu’on servira à table au fil des saisons, sans dépendre de la production lambda de petits plants, trop souvent exclusivement printanière… Retrouver le goût des légumes qui disparaissent peu à peu en semant en temps voulu la laitue Rougette ou I oignon des Cévennes… Produire ses propres plants, c’est retrouver la liberté de choisir, le grand luxe à tout petit prix pour assurer du sur-mesure à son potager.
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