Description
Référence : 30199
BUREAU Arsène, Abbé – La correspondance du Chevalier d’HAUTEFEUILLE
1790 – 1793
s.d., format : 170×240, 10 pages, sans ill. sans couverture
Nous donnons, sous ce titre, la correspondance du chevalier d’Hautefeuille avec M. Durand, son régisseur pour les propriétés dont il était le seigneur dans notre contrée. Ces lettres n’ont pas une bien grande importance; mais échangées à une époque troublée et écrites par un personnage de grand caractère et de haute vertu, elles ne manquent pas d’intérêt.
Quelques mots d’abord sur la famille Téxier d’Hautefeuille.
C’est en 1632 que Germain Téxier, conseiller à la Cour des comptes, fit l’acquisition de la seigneurie de Malicorne-en-Gâtinais.« Alors, dit M. Challe, trouvant la demeure du Plessis trop humble, il fit élever un peu plus au nord, sur l’esplanade qui domine les deux vallées de l’Ouanne et du Branlin, le château que l’on voit aujourd’hui, que les grands chênes de la forêt voisine ont, un peu en dépit de la grammaire, fait décorer du nom d’Hautefeuille.
Plus tard, en 1688, le 18 août, Germain Téxier acquit la seigneurie de Charny et ses dépendances et Malicorne fut érigé en comté. Dès lors il parait avec tous les titres de sa nouvelle position : chevalier de l’ordre de Saint-Michel, comte d’Hautefeuille, seigneur de Malicorne, Saint-Martin, Saint-Agil, Grandervillers, Fondreville et autres lieux. Son épouse Marguerite Catherine de Courtarvelle était un modèle de vertus…
Quelques mots d’abord sur la famille Téxier d’Hautefeuille.
C’est en 1632 que Germain Téxier, conseiller à la Cour des comptes, fit l’acquisition de la seigneurie de Malicorne-en-Gâtinais.« Alors, dit M. Challe, trouvant la demeure du Plessis trop humble, il fit élever un peu plus au nord, sur l’esplanade qui domine les deux vallées de l’Ouanne et du Branlin, le château que l’on voit aujourd’hui, que les grands chênes de la forêt voisine ont, un peu en dépit de la grammaire, fait décorer du nom d’Hautefeuille.
Plus tard, en 1688, le 18 août, Germain Téxier acquit la seigneurie de Charny et ses dépendances et Malicorne fut érigé en comté. Dès lors il parait avec tous les titres de sa nouvelle position : chevalier de l’ordre de Saint-Michel, comte d’Hautefeuille, seigneur de Malicorne, Saint-Martin, Saint-Agil, Grandervillers, Fondreville et autres lieux. Son épouse Marguerite Catherine de Courtarvelle était un modèle de vertus…
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