Description
Référence : 31810
VERNON (Chanoine) – La petite Vendée Briarde
ou Coulommiers sous la Terreur
1930, format : 140×225, 195 pages, illustration[s] : sans. broché, absence de couv. débroché (en l’état)
Coulommiers de 1789 à 1793. Manifestations populaires contre le Club. Les soulèvements.
PROLOGUE
Le récit que nous livrons au public a paru déjà, en 1893, dans la Croix de Seine-el-Marne sous le litre de Coulommiers pendant la Terreur. Rédigé hâtivement à cause de l’intérêt que présentait le centenaire des événements racontés, il nous a valu de précieuses approbations et des encouragements répétés, à en faire une publication à part. Pour répondre à ces désirs, nous avons étendu nos recherches au point de présenter aujourd’hui un travail presque entièrement remanié.
Si nous avons changé le titre primitif en celui de Vendée Briarde, ce n’est pas qu’à nos yeux l’agitation dont Coulommiers fut le théâtre en 1793, soit comparable en importance à celle qui souleva, à la même époque, l’ouest de la France; mais les habitués du club de notre petite ville furent les premiers à fla- geller du surnom de Vendée le parti de leurs adversaires et l’appellation devint bientôt populaire.
A vrai dire, ainsi que le remarque M. de Marolles, dans ses Lettres d’une Mère, il n’y eut pas à Coulommiers de conspiration dans le sens propre du mot, mais bien une courageuse résistance des honnêtes gens contre la tyrannie des Jacobins du lieu.
PROLOGUE
Le récit que nous livrons au public a paru déjà, en 1893, dans la Croix de Seine-el-Marne sous le litre de Coulommiers pendant la Terreur. Rédigé hâtivement à cause de l’intérêt que présentait le centenaire des événements racontés, il nous a valu de précieuses approbations et des encouragements répétés, à en faire une publication à part. Pour répondre à ces désirs, nous avons étendu nos recherches au point de présenter aujourd’hui un travail presque entièrement remanié.
Si nous avons changé le titre primitif en celui de Vendée Briarde, ce n’est pas qu’à nos yeux l’agitation dont Coulommiers fut le théâtre en 1793, soit comparable en importance à celle qui souleva, à la même époque, l’ouest de la France; mais les habitués du club de notre petite ville furent les premiers à fla- geller du surnom de Vendée le parti de leurs adversaires et l’appellation devint bientôt populaire.
A vrai dire, ainsi que le remarque M. de Marolles, dans ses Lettres d’une Mère, il n’y eut pas à Coulommiers de conspiration dans le sens propre du mot, mais bien une courageuse résistance des honnêtes gens contre la tyrannie des Jacobins du lieu.
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