Description
Référence : 30388
VITRAY Philippe, évêque de Meaux de 1351 à 1361 – Le bonheur de la vie Rustique & Champestre
fin XVIIe, format : 190×270, 2 pages, sans ill. broché
Manuscrit de la fin du XVIIème siècle
…Philippe de Vitray evesque de meaux a faict des vers françois ou il montre combien est heureuse la vie champestre… il me contante de dire qu’ila sseure qu’il vaut mieux manger boeuf et mouton et fromage aux champs en liberté que toutes ces viandes exquises qu’on sert à la table des grands… l’escriture est pleine de passages qui font estimer la vie champestre…
Tout le texte a été traduit
Cet ecclésiastique, dont on ignore l’origine, fut le 80ème évêque de Meaux. Il se distingua par son talent pour la musique et la poésie ; lié avec Pétrarque, secrétaire du roi Charles le Bel, il mit en vers les « Métamorphoses d’Ovide moralisées » à la demande de la Reine.
C’est sous son épiscopat et avec son approbation que fut fondé à Meaux, en 1356, l’hôpital Jean Rose.
C’est également sous cet épiscopat qu’en juin 1358, la ville de Meaux fut dévastée lors des combats qui opposa les « Jacques » et les gens d’armes de Gaston de Foix et de Jean de Grailly…
…Philippe de Vitray evesque de meaux a faict des vers françois ou il montre combien est heureuse la vie champestre… il me contante de dire qu’ila sseure qu’il vaut mieux manger boeuf et mouton et fromage aux champs en liberté que toutes ces viandes exquises qu’on sert à la table des grands… l’escriture est pleine de passages qui font estimer la vie champestre…
Tout le texte a été traduit
Cet ecclésiastique, dont on ignore l’origine, fut le 80ème évêque de Meaux. Il se distingua par son talent pour la musique et la poésie ; lié avec Pétrarque, secrétaire du roi Charles le Bel, il mit en vers les « Métamorphoses d’Ovide moralisées » à la demande de la Reine.
C’est sous son épiscopat et avec son approbation que fut fondé à Meaux, en 1356, l’hôpital Jean Rose.
C’est également sous cet épiscopat qu’en juin 1358, la ville de Meaux fut dévastée lors des combats qui opposa les « Jacques » et les gens d’armes de Gaston de Foix et de Jean de Grailly…
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