Description
Référence : 31315
ANROUET Pierre et CHABOT Yves – Le BRIE
1985, format : 135×215, 354 pages, nb; ill. broché
Préface
Ces quelques lignes sont vraiment, et pour une fois (presque) sans jeu de mot, un “Brie… de clôture ’’. Oh, je sais, la préface c’est— théoriquement — ce qu’on lit en premier. Mais vraiment théoriquement. En fait, pour ce livre comme pour les autres, vous aurez d’abord été à l’essentiel, c’est-à-dire aux auteurs, et vous aurez eu bien raison.
Ensuite seulement, juste avant de refermer ces pages qui n’auront plus aucun secret pour vous, vous jetterez peut- être un œil las sur la préface. Et si vous ne le faîtes pas, croyez-moi, cela n’aura aucune importance et n’entamera en rien le potentiel énorme d’amitié anonyme que je vous porte, chers lecteurs, puisque vous venez, en lisant ce livre, d’avouer votre louable penchant pour le Brie et pour la Brie.
Bref, cette préface, je serais volontiers tenté de vous demander de ne pas en faire un fromage. Mais mon vieil ami Yves Chabot m’a bien mis en garde en me confiant la mission (mission… Haut-Brion, si possible pas trop vieille, avec un morceau de Brie, c’est merveilleux) mission, dis-je, dont je m’acquitte ici : “ Evite les calembours faciles… ”.
Que voulez-vous, c’est plus fort que moi et les consonnances de notre belle langue française sont parfois si drolatiques qu’elles ne poussent au crime. Qu’à l’oreille, le mot soit le même — Brie et bris — pour évoquer une perfection dans la construction fromagère, et l’idée de quelque chose qui se casse, qui se brise, ….
AVANT-PROPOS
Qui, mieux que le grand Pierre Androuët, maître incontesté du fromage, chantre intarissable de ce merveilleux produit, dont la France s’enorgueillit d’en posséder plus que de jours d’une année bissextile, associé à un authentique fils de Brie, Yves Chabot, descendant de plus quinze générations de latignaciens (de Lagny-sur-Marne), chez qui la passion pour sa terre nourricière, le dispute à son goût pour la gastronomie, pouvaient évoquer et conter l’histoire du Brie ? De la Brie et de ses gloires de la table ? Non seulement la Brie des fromages, mais aussi celle de la moutarde ? Du cidre et de la rose ?
Pierre Androuët et Yves Chabot ont mis dans ces pages leur amour commun des fromages et de la Brie.
Ce livre qui ne prétend pas être une encyclopédie de la Brie, se veut à peine exhaustif, puisque aussi bien il naît un brie par jour, tant les fromagers, les affîneurs et les producteurs font preuve d’une imagination débordante, inventant, élaborant et proposant aux gourmets, des fromages toujours nouveaux. Parfois meilleurs.
On a beaucoup parlé de la nouvelle cuisine. On pourrait presque évoquer aujourd’hui la « nouvelle fromagerie ».
366 fromages en France ? Allons donc ! Rien qu’en terre de Brie, ce sont plusieurs dizaines de fromages meilleurs les uns que les autres qui sont proposés chaque jour sur les étals des fromagers.
Nul ne saurait s’en plaindre !
Car le fromage, loin d’être un simple complément au repas du gourmand, ou un supplément à celui du gourmet,
Ces quelques lignes sont vraiment, et pour une fois (presque) sans jeu de mot, un “Brie… de clôture ’’. Oh, je sais, la préface c’est— théoriquement — ce qu’on lit en premier. Mais vraiment théoriquement. En fait, pour ce livre comme pour les autres, vous aurez d’abord été à l’essentiel, c’est-à-dire aux auteurs, et vous aurez eu bien raison.
Ensuite seulement, juste avant de refermer ces pages qui n’auront plus aucun secret pour vous, vous jetterez peut- être un œil las sur la préface. Et si vous ne le faîtes pas, croyez-moi, cela n’aura aucune importance et n’entamera en rien le potentiel énorme d’amitié anonyme que je vous porte, chers lecteurs, puisque vous venez, en lisant ce livre, d’avouer votre louable penchant pour le Brie et pour la Brie.
Bref, cette préface, je serais volontiers tenté de vous demander de ne pas en faire un fromage. Mais mon vieil ami Yves Chabot m’a bien mis en garde en me confiant la mission (mission… Haut-Brion, si possible pas trop vieille, avec un morceau de Brie, c’est merveilleux) mission, dis-je, dont je m’acquitte ici : “ Evite les calembours faciles… ”.
Que voulez-vous, c’est plus fort que moi et les consonnances de notre belle langue française sont parfois si drolatiques qu’elles ne poussent au crime. Qu’à l’oreille, le mot soit le même — Brie et bris — pour évoquer une perfection dans la construction fromagère, et l’idée de quelque chose qui se casse, qui se brise, ….
AVANT-PROPOS
Qui, mieux que le grand Pierre Androuët, maître incontesté du fromage, chantre intarissable de ce merveilleux produit, dont la France s’enorgueillit d’en posséder plus que de jours d’une année bissextile, associé à un authentique fils de Brie, Yves Chabot, descendant de plus quinze générations de latignaciens (de Lagny-sur-Marne), chez qui la passion pour sa terre nourricière, le dispute à son goût pour la gastronomie, pouvaient évoquer et conter l’histoire du Brie ? De la Brie et de ses gloires de la table ? Non seulement la Brie des fromages, mais aussi celle de la moutarde ? Du cidre et de la rose ?
Pierre Androuët et Yves Chabot ont mis dans ces pages leur amour commun des fromages et de la Brie.
Ce livre qui ne prétend pas être une encyclopédie de la Brie, se veut à peine exhaustif, puisque aussi bien il naît un brie par jour, tant les fromagers, les affîneurs et les producteurs font preuve d’une imagination débordante, inventant, élaborant et proposant aux gourmets, des fromages toujours nouveaux. Parfois meilleurs.
On a beaucoup parlé de la nouvelle cuisine. On pourrait presque évoquer aujourd’hui la « nouvelle fromagerie ».
366 fromages en France ? Allons donc ! Rien qu’en terre de Brie, ce sont plusieurs dizaines de fromages meilleurs les uns que les autres qui sont proposés chaque jour sur les étals des fromagers.
Nul ne saurait s’en plaindre !
Car le fromage, loin d’être un simple complément au repas du gourmand, ou un supplément à celui du gourmet,
Avis
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