Description
Référence : 31497
LHUILLIER Th. – LE DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-MARNE A LA CONVENTION
CROQUIS HISTORIQUE ET BIOGRAPHIQUE
1885, format : 160×230, 42 pages, sans ill. broché,
SIGNATURES DES ONZE DÉPUTÉS DE SEINE-ET-MARNE A LA CONVENTION NATIONALE
Manduyt— Bailly — Tellier — Cordier — Viquy — Geoffroy jeune — Bernard des Sablons — Himbert — Opoix — Defrance — Bernier.
SIGNATURES DES ONZE DÉPUTÉS SUPPLÉANTS DE SEINE-ET-MARNE A LA CONVENTION NATIONALE
Bezout — Petithomme — Guyardin — Vacheron — Galand — Laborde père — Marest — Lepreux-Poincy — Pichonnier — Frager — Chapelle.
Les départements étaient formés depuis un peu plus de deux ans lorsque le Corps législatif, dans la séance du 12 août 1792, vota ce décret célèbre qui suspendait provisoirement Louis XVI de la royauté, ordonnait un plan d’éducation pour le jeune prince, qui fut Louis XVII, et convoquait la Convention nationale.
Assurément, la ruine de la monarchie n’était pas alors un projet médité. « Avec quelle crainte, au contraire, — fait remarquer M. Thiers, — ne touchait-on pas à cet antique pouvoir ? Avec quelle espèce d’hésitation n’approchait-on pas de ce vieux tronc, sous lequel les générations françaises avaient été tour à tour heureuses ou malheureuses, mais sous lequel enfin elles avaient vécu ? »
Cependant l’imagination publique est prompte et les révolutions marchent avec rapidité. Dans ces moments d’exaltation, la moindre circonstance suffit pour dépouiller les restes d’un antique respect; les dévouements sublimes et les actions odieuses deviennent choses familières et comme un spectacle…
Manduyt— Bailly — Tellier — Cordier — Viquy — Geoffroy jeune — Bernard des Sablons — Himbert — Opoix — Defrance — Bernier.
SIGNATURES DES ONZE DÉPUTÉS SUPPLÉANTS DE SEINE-ET-MARNE A LA CONVENTION NATIONALE
Bezout — Petithomme — Guyardin — Vacheron — Galand — Laborde père — Marest — Lepreux-Poincy — Pichonnier — Frager — Chapelle.
Les départements étaient formés depuis un peu plus de deux ans lorsque le Corps législatif, dans la séance du 12 août 1792, vota ce décret célèbre qui suspendait provisoirement Louis XVI de la royauté, ordonnait un plan d’éducation pour le jeune prince, qui fut Louis XVII, et convoquait la Convention nationale.
Assurément, la ruine de la monarchie n’était pas alors un projet médité. « Avec quelle crainte, au contraire, — fait remarquer M. Thiers, — ne touchait-on pas à cet antique pouvoir ? Avec quelle espèce d’hésitation n’approchait-on pas de ce vieux tronc, sous lequel les générations françaises avaient été tour à tour heureuses ou malheureuses, mais sous lequel enfin elles avaient vécu ? »
Cependant l’imagination publique est prompte et les révolutions marchent avec rapidité. Dans ces moments d’exaltation, la moindre circonstance suffit pour dépouiller les restes d’un antique respect; les dévouements sublimes et les actions odieuses deviennent choses familières et comme un spectacle…
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