Description
Référence : 31923
– Le Perreux-sur-Marne
1937, format : 210×280, 238 pages, nombreuses illustration[s].broché, bon état
NOTICE HISTORIQUE
• publiée sous les auspices de la Municipalité, à l’occasion du Cinquantenaire
• PAR PIERRE CHAMPION
• Conseiller général de la Seine, Maire de Nogent-sur-Marne POUR LA PARTIE ANCIENNE
ALEXANDRE SALABERT
• Secrétaire général íle la Mairie rih Perreux-sur-Marne POUR LA PARTIE MODERNE •
PRÉFACE
• Je dois tout d’abord mon remerciement à , Jean-Goy, Maire du Perreux, qui désirant commémorer le cinquantenaire de la naissance de la Commune qu’il administre, m’a fait l’honneur de me demander d’en écrire l’histoire. Cette histoire, dans ses origines, est un morceau de celle de Nogent, avant la séparation sanctionnée par la loi de 1887. Je ne puis l’écrire qu’avec l’impartialité que je porte à l’amour de la vérité, et la reconnaissance que je garde à nos deux localités sœurs que j’ai l’honneur de représenter au Conseil Général de la Seine. Je ne puis oublier que dans son passé la seigneurie du Perreux est un fief dépendant de Nogent, ressortissant lui-même de la seigneurie des abbés de Saint-Maur. Mais si le territoire du Perreux était jadis une terre cultivée et possédée en grande partie par les gens du village et terroir de Nogent, le fief et le château du Perreux ont eu aussi une espèce de vie distincte. La division administrative ne nous a pas séparés. Nous sommes toujours unis, comme autrefois, dans nos intérêts et nos pensées ; car une ligne de chemin de fer, demeure un lien plus qu’une frontière. Les seigneurs du Perreux sont enterrés dans la chapelle qui porte leur nom dans l’église de Nogent. Le cimetière de Nogent s’étend sur le territoire du Perreux, avec le monument chargé de tant de noms des morts pour la Patrie, là où depuis des siècles, laboureurs et vignerons avaient travaillé sur une même terre.
• Si notre histoire de Nogent est un peu différente, c’est qu’elle est celle d’un village très antique, groupé autour d’un clocher, tandis que l’histoire du Perreux demeure .surtout celle d’un château et de ses propriétaires, qui en firent un morcellement prospère en quelques années. L’histoire du Perreux est donc beaucoup plus simple, et d’actualité.
• Nogent, qui travaille et peine depuis des siècles, a conservé d’ailleurs de cette séparation certaines difficultés, mais aucune amertume. Le Perreux y a trouvé un développement plus régulier, plus souple, et sans doute plus rapide. Le bénéfice a donc été pour le pays tout entier.
• Considérant ce problème d’extension, qui se pose ici à propos de deux cellules locales, et pourrait être examiné pour chacune de nos provinces, j’y veux retenir surtout ce qui nous unit à travers les siècles, dans le commun effort des Français •
TABLE DES MATIÈRES
• Sources manuscrites • Bibliographie • Préface •
TITRE PREMIER
LES ORIGINES DU PERREUX
• CHAPITRE • CHAPITRE • CHAPITRE • I. — Nogent et le Perreux à vol d’oiseau • II. — Topographie et lieux dits • III. — La maison du Perreux et ses seigneurs • IV. — Le château du Perreux, XVIT et XVIIIa siècles • V. — Jérôme-Marie-Robert Millin du Perreux, ou la roue de fortune…. • VI. — A l’aurore de la Révolution • VII. — Du danger de parler à la patrouille • VIII. — François de Neuf château • IX. — Le lotissement • X. — La séparation, les Mont aigus et les Capulets à Nogent-sur-Marne. . . •
TITRE II
• LE DÉVELOPPEMENT URBAIN • I. — Coup d’œil d’ensemble sur le Perreux en 1887 • II. — Extension du quartier nord • III. — Extension des quartiers ouest • IV. — L’aménagement du quartier sud • V. — L’assainissement progressif de la ville •
TITRE III
LES ÉDIFICES PUBLICS
• I. — La mairie • II. Les écoles, de 1887 à 1914 • III. _ Les écoles depuis 1920 • IV. — Les cultes • V. — Les monuments • VI. — La Marne et ses charmes • VII. — La Marne (suite) •
TITRE IV
LES SERVICES PUBLICS ET SOCIAUX – LES SPORTS
• CHAPITRE I. — Le corps des sapeurs-pompiers — II. — Le service des postes — III. — Le cimetière _ IV. — Les marchés du Centre et des Joncs-Marins — V. — L’octroi, la police, la bibliothèque — VI. — Les transports en commun — vil. — Le bureau de bienfaisance. Les assistances — VIII. — Le chômage — IX. — La caisse des écoles — X. — Les sports •
TITRE V
L’ÉVOLUTION SOCIALE
• CHAPITRE I. — Le développement de la population de 1887 à 1914 — II. — La période de guerre, 1914-1919 : • — III. — L’après guerre, de 1921 à nos jours •
TITRE VI
L’ÉVOLUTION POLITIQUE
• CHAPITRE I. — Les élections législatives de 1887 à 1912 — il. — Les élections législatives d’après guerre (1919-1936) — III. — Les élections cantonales de 1887 à 1900 _ IV. — Les élections cantonales de 1904 à nos jours — V. — Les élections au Conseil d’arrondissement _ vi. — Les élections municipales de 1887 à 1896 — vil. — Les élections municipales de 1900 à 1912 — VIII. — Les élections municipales d’après guerre (1919-1935) •
• publiée sous les auspices de la Municipalité, à l’occasion du Cinquantenaire
• PAR PIERRE CHAMPION
• Conseiller général de la Seine, Maire de Nogent-sur-Marne POUR LA PARTIE ANCIENNE
ALEXANDRE SALABERT
• Secrétaire général íle la Mairie rih Perreux-sur-Marne POUR LA PARTIE MODERNE •
PRÉFACE
• Je dois tout d’abord mon remerciement à , Jean-Goy, Maire du Perreux, qui désirant commémorer le cinquantenaire de la naissance de la Commune qu’il administre, m’a fait l’honneur de me demander d’en écrire l’histoire. Cette histoire, dans ses origines, est un morceau de celle de Nogent, avant la séparation sanctionnée par la loi de 1887. Je ne puis l’écrire qu’avec l’impartialité que je porte à l’amour de la vérité, et la reconnaissance que je garde à nos deux localités sœurs que j’ai l’honneur de représenter au Conseil Général de la Seine. Je ne puis oublier que dans son passé la seigneurie du Perreux est un fief dépendant de Nogent, ressortissant lui-même de la seigneurie des abbés de Saint-Maur. Mais si le territoire du Perreux était jadis une terre cultivée et possédée en grande partie par les gens du village et terroir de Nogent, le fief et le château du Perreux ont eu aussi une espèce de vie distincte. La division administrative ne nous a pas séparés. Nous sommes toujours unis, comme autrefois, dans nos intérêts et nos pensées ; car une ligne de chemin de fer, demeure un lien plus qu’une frontière. Les seigneurs du Perreux sont enterrés dans la chapelle qui porte leur nom dans l’église de Nogent. Le cimetière de Nogent s’étend sur le territoire du Perreux, avec le monument chargé de tant de noms des morts pour la Patrie, là où depuis des siècles, laboureurs et vignerons avaient travaillé sur une même terre.
• Si notre histoire de Nogent est un peu différente, c’est qu’elle est celle d’un village très antique, groupé autour d’un clocher, tandis que l’histoire du Perreux demeure .surtout celle d’un château et de ses propriétaires, qui en firent un morcellement prospère en quelques années. L’histoire du Perreux est donc beaucoup plus simple, et d’actualité.
• Nogent, qui travaille et peine depuis des siècles, a conservé d’ailleurs de cette séparation certaines difficultés, mais aucune amertume. Le Perreux y a trouvé un développement plus régulier, plus souple, et sans doute plus rapide. Le bénéfice a donc été pour le pays tout entier.
• Considérant ce problème d’extension, qui se pose ici à propos de deux cellules locales, et pourrait être examiné pour chacune de nos provinces, j’y veux retenir surtout ce qui nous unit à travers les siècles, dans le commun effort des Français •
TABLE DES MATIÈRES
• Sources manuscrites • Bibliographie • Préface •
TITRE PREMIER
LES ORIGINES DU PERREUX
• CHAPITRE • CHAPITRE • CHAPITRE • I. — Nogent et le Perreux à vol d’oiseau • II. — Topographie et lieux dits • III. — La maison du Perreux et ses seigneurs • IV. — Le château du Perreux, XVIT et XVIIIa siècles • V. — Jérôme-Marie-Robert Millin du Perreux, ou la roue de fortune…. • VI. — A l’aurore de la Révolution • VII. — Du danger de parler à la patrouille • VIII. — François de Neuf château • IX. — Le lotissement • X. — La séparation, les Mont aigus et les Capulets à Nogent-sur-Marne. . . •
TITRE II
• LE DÉVELOPPEMENT URBAIN • I. — Coup d’œil d’ensemble sur le Perreux en 1887 • II. — Extension du quartier nord • III. — Extension des quartiers ouest • IV. — L’aménagement du quartier sud • V. — L’assainissement progressif de la ville •
TITRE III
LES ÉDIFICES PUBLICS
• I. — La mairie • II. Les écoles, de 1887 à 1914 • III. _ Les écoles depuis 1920 • IV. — Les cultes • V. — Les monuments • VI. — La Marne et ses charmes • VII. — La Marne (suite) •
TITRE IV
LES SERVICES PUBLICS ET SOCIAUX – LES SPORTS
• CHAPITRE I. — Le corps des sapeurs-pompiers — II. — Le service des postes — III. — Le cimetière _ IV. — Les marchés du Centre et des Joncs-Marins — V. — L’octroi, la police, la bibliothèque — VI. — Les transports en commun — vil. — Le bureau de bienfaisance. Les assistances — VIII. — Le chômage — IX. — La caisse des écoles — X. — Les sports •
TITRE V
L’ÉVOLUTION SOCIALE
• CHAPITRE I. — Le développement de la population de 1887 à 1914 — II. — La période de guerre, 1914-1919 : • — III. — L’après guerre, de 1921 à nos jours •
TITRE VI
L’ÉVOLUTION POLITIQUE
• CHAPITRE I. — Les élections législatives de 1887 à 1912 — il. — Les élections législatives d’après guerre (1919-1936) — III. — Les élections cantonales de 1887 à 1900 _ IV. — Les élections cantonales de 1904 à nos jours — V. — Les élections au Conseil d’arrondissement _ vi. — Les élections municipales de 1887 à 1896 — vil. — Les élections municipales de 1900 à 1912 — VIII. — Les élections municipales d’après guerre (1919-1935) •




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