Description
Référence : 30690
LEROY Gabriel – Les anciens vitraux – Melun
De l’église Saint-Aspais
1879, format : 140×220, 13 pages, sans ill. sans couverture en l’état
Bâtie à la fin du XVe siècle et dans le cours du XVIe, l’église saint-Aspais de Melun possède des vitraux de couleur qui datent de cette dernière époque.
Leur auteur était certainement un habile peintre verrier, dont le nom, malheureusement, n’est pas arrivé jusqu’à nous. Les attribuer à Jean Cousin serait une assertion hasardée, mais il est possible de dire que plusieurs panneaux des fenêtres de l’abside rappellent le faire et l’école de ce célèbre maître, tandis que d’autres, à la chapelle de la Vierge et aux grandes verrières latérales du choeur, sont dans la manière de Robert Pinaigrier.
En général les vitraux anciens de saint-Aspais sont remarquables par leur coloris et la richesse de leurs détails. Les effets de lumière sont bien entendus, le dessin ne manque ni de correction ni d’élégance ;
Tout au plus pourrait-on dire, qu’à la hauteur où ils sont placés, notamment ceux des verrières latérales, les fonds de paysages accidentés, la profusion des broderies, la multiplicité des encadrements d’architecture rehaussés d’arabesques y jettent quelque confusion. Mais s’ils sont vus de près, cette observation n’a plus d’objet et il faut admirer l’ensemble des sujets et le fini des détails.
Leur auteur était certainement un habile peintre verrier, dont le nom, malheureusement, n’est pas arrivé jusqu’à nous. Les attribuer à Jean Cousin serait une assertion hasardée, mais il est possible de dire que plusieurs panneaux des fenêtres de l’abside rappellent le faire et l’école de ce célèbre maître, tandis que d’autres, à la chapelle de la Vierge et aux grandes verrières latérales du choeur, sont dans la manière de Robert Pinaigrier.
En général les vitraux anciens de saint-Aspais sont remarquables par leur coloris et la richesse de leurs détails. Les effets de lumière sont bien entendus, le dessin ne manque ni de correction ni d’élégance ;
Tout au plus pourrait-on dire, qu’à la hauteur où ils sont placés, notamment ceux des verrières latérales, les fonds de paysages accidentés, la profusion des broderies, la multiplicité des encadrements d’architecture rehaussés d’arabesques y jettent quelque confusion. Mais s’ils sont vus de près, cette observation n’a plus d’objet et il faut admirer l’ensemble des sujets et le fini des détails.
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