Description
Référence : 31935
Jean GODEFROY – L’histoire du Prieuré Saint-Ayoul de Provis
et le récit des miracles du saint
sd. vers 1950, format : 155×240, 62 pages, sans illustration[s].broché, couv muette, bon état
L’HISTOIRE DU PRIEURÉ SAINT AYOUL DE PROVINS ET LE RÉCIT DES MIRACLES DU SAINT
Parmi les œuvres littéraires des bénédictins de Montier-la-Celle- lès-Troyes, ou des prieurés qui en dépendaient, car c’est tout un, on ne connaît guère que celles du célèbre Pierre de Celle qui en fut abbé de 1144/5 à 1162. Pourtant, l’abbaye, sans être de premier plan, mais très ancienne, puisque fondée par saint Frobert, au vie siècle, participa sans aucun doute au mouvement qui fit des monastères au moyen âge un foyer de civilisation et de culture. Il nous en reste quelques témoignages qui consistent surtout en des textes hagiographiques, ce qui est naturel, car ceux-ci forment la majeure partie des ouvrages composés du vie au xie siècles.
• C’est ainsi que le poème de la translation des restes de saint Frobert en 872, qui servit à Adson, abbé de Montiérender, à écrire la vie de ce saint, fut composé par un moine de Montier-la-Celle, vraisemblablement pour faciliter ou justifier la nomination de l’abbé Arembert, à la fin du ixe siècle. La poésie ne cessa pas d’y être cultivée depuis lors, puisqu’on trouve encore en 1101 un moine capable de faire quelques vers pour les inscrire sur le rouleau des morts de Saint-Bruno
• Il serait tentant d’envisager comme écrites sous la direction ou dinspiration des bénédictins de Montier-la-Celle les vies des saints l’ont les reliques étaient conservées à l’abbaye ou dans les prieurés.
Parmi les œuvres littéraires des bénédictins de Montier-la-Celle- lès-Troyes, ou des prieurés qui en dépendaient, car c’est tout un, on ne connaît guère que celles du célèbre Pierre de Celle qui en fut abbé de 1144/5 à 1162. Pourtant, l’abbaye, sans être de premier plan, mais très ancienne, puisque fondée par saint Frobert, au vie siècle, participa sans aucun doute au mouvement qui fit des monastères au moyen âge un foyer de civilisation et de culture. Il nous en reste quelques témoignages qui consistent surtout en des textes hagiographiques, ce qui est naturel, car ceux-ci forment la majeure partie des ouvrages composés du vie au xie siècles.
• C’est ainsi que le poème de la translation des restes de saint Frobert en 872, qui servit à Adson, abbé de Montiérender, à écrire la vie de ce saint, fut composé par un moine de Montier-la-Celle, vraisemblablement pour faciliter ou justifier la nomination de l’abbé Arembert, à la fin du ixe siècle. La poésie ne cessa pas d’y être cultivée depuis lors, puisqu’on trouve encore en 1101 un moine capable de faire quelques vers pour les inscrire sur le rouleau des morts de Saint-Bruno
• Il serait tentant d’envisager comme écrites sous la direction ou dinspiration des bénédictins de Montier-la-Celle les vies des saints l’ont les reliques étaient conservées à l’abbaye ou dans les prieurés.
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