Description
Référence : 31410
LAKHOVSKY Georges – L’OSCILLATION CELLULAIRE
ENSEMBLE DES RECHERCHES EXPÉRIMENTALES
1931, format : 160×240, 319 pages, sans ill. broché première de couv. détachée en l’état)
INTRODUCTION A LA DEUXIÈME ÉDITION.
La seconde édition de L’ Origine de la vie est le fidèle miroir de l’évolution, depuis trois ans, de ma théorie de l’oscillation des êtres vivants.
D’une part, j’ai extrapolé cette hypothèse dans l’ordre purement théorique, en étendant ce principe pour qu’il devienne celui de la radiation universelle. L’essence de cette radiation universelle, c’est l’universion, c’est-à-dire la promatière spatiale répandue dans tout l’océan cosmique, c’est la généralisation de la notion trop confuse de l’éther des physiciens.
Dans un ouvrage qui porte précisément ce titre de l’Universion, conception qui ramène l’univers cosmique aux deux notions essentielles de l’ion et de l’onde, j’ai exposé comment ce milieu idéal, que je définis avec précision, permet d’expliquer à la fois les phénomènes électriques et magnétiques, la propagation des radiations notamment autour de la terre, ainsi que l’émission et la réception des ondes, la chaleur et la lumière, gine de la Vie, Contribution à l’Étiologie du Cancer l’Universion, Le Secret de la Vie, La Science et le Bonheur estime nécessaires de rassembler aujourd’hui, sous, ce tire L’Oscillation cellulaire, état des recherches expérimentales, a documentation constituée par lös notes, ‘mémoires, travaux e laboratoire, communications aux sociétés savantes et aux académies, etc., qui ont été publiés jusqu’ici sur la question, tant en France qu’à l’étranger.
La lecture de ces comptes rendus est fort instructive. Elle montre qu’en France la théorie de l’oscillation cellulaire a reçu d’une certaine élite scientifique le meilleur accueil, justifié par les résultats qu’elle a permis d’obtenir en thérapeutique. Par contre, elle a été systématiquement tenue à l’écart, jusqu’à ce jour, par toute une partie de la science officielle qui, sans même chercher à étudier ses principes fondamentaux et à tirer parti des faits acquis, s’est entièrement désintéressée d’une question qui lui paraissait trop nouvelle pour ses habitudes.
Cependant, mes théories étaient mises à l’étude en Italie, en Allemagne, en Autriche, en Grèce, aux Etats-Unis, et dans divers autres pays.Mon expérience fondamentale de la guérison du cancer expérimental des plantes (1923) était reproduite avec succès en France par Labergerie, à l’Ecole d’Agriculture de Montpellier, à New-York par le Docteur Brunori, en Italie par le Professeur Vincenzo Rivera.
Sous l’impulsion d’un véritable apôtre de la théorie de l’oscillation cellulaire, le comte Palagi del Palagio, mes travaux étaient repris en Italie par nombre de laboratoires et cliniques officiels.
Dès le mois de mai 1927, au Congrès de Radiologie de Florence, le Professeur Sordello Attilj, directeur des services radiologiques de l’hôpital San Spirito in Sassia à Rome, présentait un rapport des plus documentés sur l’application clinique des circuits oscillants à six malades gravement atteints parmi lesquels cinq cas de cancers. Ce traitement a permis d’obtenir des résultats inespérés et plusieurs cas de guérison complète, même après métastases, ont été enregistrés.
Depuis cette date, le Professeur Attilj continue avec un égal succès ses recherches sur les applications thérapeutiques de mes circuits oscillants et de mon radio-cellulo-oscillateur. Il a publié récemment une étude détaillée sur les rayons cosmiques et leurs applications que je reproduis intégralement dans cet ouvrage, ainsi qu’une communication à l’Académie Lancisiana, à Rome, le 14 novembre 1929.
Dans le même temps, le Professeur Ferdinand Cazzamalli, de l’Université de Milan, dont on connaît les découvertes remarquables en psychiatrie, publiait une étude sur la biophysique expérimentale où il mettait en évidence les résultats obtenus dans ce domaine grâce à la théorie de l’oscillation cellulaire.Je citerai également, parmi les travaux entrepris récemment et où la science italienne s’affirme au premier plan, ceux du Professeur Guido Cremonese, de Rome, sur la radiation vitale, ceux du Professeur Mezzadroli et du Docteur Varetón, de l’Université de Bologne, sur l’activation du pouvoir germinatif des plantes au moyen des circuits oscillants et sur l’influence de ces circuits sur le développement des végétaux en général.
D’autres recherches ont été poursuivies par le Professeur Castaldi et par le Docteur Maxia, de l’Université de Cagliari, par Mme Angela Agostini et par la Doctoresse Maria Baldino, principalement sur le développement des embryons et des plantes soumis à l’action des circuits oscillants.
Dernièrement, le Docteur Karzis, d’Athènes, a publié une remarquable étude sur les résultats obtenus dans la thérapeutique du cancer, au moyen de son « microoscillateur », sorte de radio-cellulo-oscillateur à ondes amorties.
Enfin, le regretté Docteur Kotzareff, de la Faculté de Médecine de Genève, a soutenu tout récemment devant la Faculté de Médecine de Paris une thèse remarquable sur les traitements
La seconde édition de L’ Origine de la vie est le fidèle miroir de l’évolution, depuis trois ans, de ma théorie de l’oscillation des êtres vivants.
D’une part, j’ai extrapolé cette hypothèse dans l’ordre purement théorique, en étendant ce principe pour qu’il devienne celui de la radiation universelle. L’essence de cette radiation universelle, c’est l’universion, c’est-à-dire la promatière spatiale répandue dans tout l’océan cosmique, c’est la généralisation de la notion trop confuse de l’éther des physiciens.
Dans un ouvrage qui porte précisément ce titre de l’Universion, conception qui ramène l’univers cosmique aux deux notions essentielles de l’ion et de l’onde, j’ai exposé comment ce milieu idéal, que je définis avec précision, permet d’expliquer à la fois les phénomènes électriques et magnétiques, la propagation des radiations notamment autour de la terre, ainsi que l’émission et la réception des ondes, la chaleur et la lumière, gine de la Vie, Contribution à l’Étiologie du Cancer l’Universion, Le Secret de la Vie, La Science et le Bonheur estime nécessaires de rassembler aujourd’hui, sous, ce tire L’Oscillation cellulaire, état des recherches expérimentales, a documentation constituée par lös notes, ‘mémoires, travaux e laboratoire, communications aux sociétés savantes et aux académies, etc., qui ont été publiés jusqu’ici sur la question, tant en France qu’à l’étranger.
La lecture de ces comptes rendus est fort instructive. Elle montre qu’en France la théorie de l’oscillation cellulaire a reçu d’une certaine élite scientifique le meilleur accueil, justifié par les résultats qu’elle a permis d’obtenir en thérapeutique. Par contre, elle a été systématiquement tenue à l’écart, jusqu’à ce jour, par toute une partie de la science officielle qui, sans même chercher à étudier ses principes fondamentaux et à tirer parti des faits acquis, s’est entièrement désintéressée d’une question qui lui paraissait trop nouvelle pour ses habitudes.
Cependant, mes théories étaient mises à l’étude en Italie, en Allemagne, en Autriche, en Grèce, aux Etats-Unis, et dans divers autres pays.Mon expérience fondamentale de la guérison du cancer expérimental des plantes (1923) était reproduite avec succès en France par Labergerie, à l’Ecole d’Agriculture de Montpellier, à New-York par le Docteur Brunori, en Italie par le Professeur Vincenzo Rivera.
Sous l’impulsion d’un véritable apôtre de la théorie de l’oscillation cellulaire, le comte Palagi del Palagio, mes travaux étaient repris en Italie par nombre de laboratoires et cliniques officiels.
Dès le mois de mai 1927, au Congrès de Radiologie de Florence, le Professeur Sordello Attilj, directeur des services radiologiques de l’hôpital San Spirito in Sassia à Rome, présentait un rapport des plus documentés sur l’application clinique des circuits oscillants à six malades gravement atteints parmi lesquels cinq cas de cancers. Ce traitement a permis d’obtenir des résultats inespérés et plusieurs cas de guérison complète, même après métastases, ont été enregistrés.
Depuis cette date, le Professeur Attilj continue avec un égal succès ses recherches sur les applications thérapeutiques de mes circuits oscillants et de mon radio-cellulo-oscillateur. Il a publié récemment une étude détaillée sur les rayons cosmiques et leurs applications que je reproduis intégralement dans cet ouvrage, ainsi qu’une communication à l’Académie Lancisiana, à Rome, le 14 novembre 1929.
Dans le même temps, le Professeur Ferdinand Cazzamalli, de l’Université de Milan, dont on connaît les découvertes remarquables en psychiatrie, publiait une étude sur la biophysique expérimentale où il mettait en évidence les résultats obtenus dans ce domaine grâce à la théorie de l’oscillation cellulaire.Je citerai également, parmi les travaux entrepris récemment et où la science italienne s’affirme au premier plan, ceux du Professeur Guido Cremonese, de Rome, sur la radiation vitale, ceux du Professeur Mezzadroli et du Docteur Varetón, de l’Université de Bologne, sur l’activation du pouvoir germinatif des plantes au moyen des circuits oscillants et sur l’influence de ces circuits sur le développement des végétaux en général.
D’autres recherches ont été poursuivies par le Professeur Castaldi et par le Docteur Maxia, de l’Université de Cagliari, par Mme Angela Agostini et par la Doctoresse Maria Baldino, principalement sur le développement des embryons et des plantes soumis à l’action des circuits oscillants.
Dernièrement, le Docteur Karzis, d’Athènes, a publié une remarquable étude sur les résultats obtenus dans la thérapeutique du cancer, au moyen de son « microoscillateur », sorte de radio-cellulo-oscillateur à ondes amorties.
Enfin, le regretté Docteur Kotzareff, de la Faculté de Médecine de Genève, a soutenu tout récemment devant la Faculté de Médecine de Paris une thèse remarquable sur les traitements
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