Description
Référence : 30160
– MAINCY, village en Ile de France
Aux portes de Vaux-le-Vicomte
1978, format : 230×160, 116 pages, nb ill. broché
EN HOMMAGE A JOSEPH FORTIN, ANCIEN CURÉ DE MAINCY
Le livre qui ouvrira le coeur des gens au respect archéologique et qui sauvegardera le souvenir mieux que toutes les mesures administratives est simple à composer. « Le maître d’école ou le curé peuvent l’écrire » disait Gabriel LEROY.
C’est ce qu’avait fait à Maincy l’abbé Joseph FORTIN dont la dramatique disparition en 1935 marqua une interruption dans l’ « Histoire de Maincy ». Celle-ci continue cependant et c’est l’émouvant appel d’un homme soucieux de souligner la pérennité de notre passé à travers l’histoire et incitant à de nouvelles recherches qui m’ont conduit à évoquer différents visages de ce petit village. Travail s’il en fût, pour lequel j’ai suivi une inclination naturelle, l’amour du village natal !
Nous avons tous, plus ou moins, la nostalgie du clocher de notre enfance. Mais il est indéniable que chez les « enfants du pays » se mêlent à ce sentiment, les souvenirs ancestraux tristes ou joyeux, de ce petit coin de terre briarde, qui fut le berceau de leurs vieilles familles.
Sans aucune prétention littéraire, j’ai donc voulu établir une esquisse de bilan des travaux de J. FORTIN en apportant les connaissances glanées après lui. En somme, faire le point au risque d’offrir un tableau incomplet qui tiendra à la fois d’un aperçu d’histoire locale et d’un album de « géographie sentimentale » car si l’essentiel dort encore dans les archives départementales, aux études notariales et surtout dans les vieux « papiers de famille », il me fallait rendre sensible, non par des procédés scientifiques, non par des procédés historiques, l’accélération du temps qui s’est produite au cours de l’existence de nos pères et de nos grands pères.
Le livre qui ouvrira le coeur des gens au respect archéologique et qui sauvegardera le souvenir mieux que toutes les mesures administratives est simple à composer. « Le maître d’école ou le curé peuvent l’écrire » disait Gabriel LEROY.
C’est ce qu’avait fait à Maincy l’abbé Joseph FORTIN dont la dramatique disparition en 1935 marqua une interruption dans l’ « Histoire de Maincy ». Celle-ci continue cependant et c’est l’émouvant appel d’un homme soucieux de souligner la pérennité de notre passé à travers l’histoire et incitant à de nouvelles recherches qui m’ont conduit à évoquer différents visages de ce petit village. Travail s’il en fût, pour lequel j’ai suivi une inclination naturelle, l’amour du village natal !
Nous avons tous, plus ou moins, la nostalgie du clocher de notre enfance. Mais il est indéniable que chez les « enfants du pays » se mêlent à ce sentiment, les souvenirs ancestraux tristes ou joyeux, de ce petit coin de terre briarde, qui fut le berceau de leurs vieilles familles.
Sans aucune prétention littéraire, j’ai donc voulu établir une esquisse de bilan des travaux de J. FORTIN en apportant les connaissances glanées après lui. En somme, faire le point au risque d’offrir un tableau incomplet qui tiendra à la fois d’un aperçu d’histoire locale et d’un album de « géographie sentimentale » car si l’essentiel dort encore dans les archives départementales, aux études notariales et surtout dans les vieux « papiers de famille », il me fallait rendre sensible, non par des procédés scientifiques, non par des procédés historiques, l’accélération du temps qui s’est produite au cours de l’existence de nos pères et de nos grands pères.
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