Description
Référence : 30361
CLAYETTE J. et H. – Melun, en flânant dans les rues
N°9 : Entre les routes de Paris et de Meaux (avant 1945)
vers 1980, format : 150×210, 24 pages, une ill. broché
AVANT-PROPOS
En avril 1957, est étudié le plan-masse du quartier Nord (Montaigu-Capucins) et, sur les 24 ha acquis de la Société du domaine de Voisenon pour 9D millions (le nouveau franc ne date que de 1960), doivent étre implantés des logements « industrialisés », des écoles, un lycée technique avec centre d’apprentissage annexé… La création de la zone concerne 1.140 logements dont 800 sont déjà financés.
C’est que des 17.537 habitants qui composaient MELUN en 1946, chiffre semblable à celui de 1936 a 74 unités près, la ville passera, au recensement de 1968, à 34.512, le double.
L’Office départemental des H.L.M. se verra confier la plus grande partie de l’urbanisation. Avenues, squares et rues, boulevard aussi, vont naitre entre les routes de Pans et de Voisenon dans les quartiers Beauregard, Montaigu et des Capucins. Si les groupes scolaires ont conservé ces appellations (et M. Jean Bonis, maire adjoint alors chargé des questions scolaires, y avait tenu), nous dénombrons neuf écrivains et poètes, six scientifiques, trois hommes politiques, une dizaine de noms plus ou moins locaux, un musicien.
Inventaire dressé, nous avons essayé de rapprocher de MELUN, autant que faire se pouvait, les personnages dont la notoriété est plus nationale, voire internationale que locale. Mais le report conseillé aux encyclopédies et dictionnaires nous permettra de ne leur accorder qu une place limitée pour en consacrer une plus importante aux noms plus « de chez nous » et aussi aux bâtiments et édifices implantés sur le plateau, qu’ils soient encore présents ou «ils aient disparu.
Entre route de Paris et route de Meaux, MELUN a fait, jusqu’alors, le plein, limité par la «.Rocade Nord ». C’est par elle que débutera cette flânerie. TABLE DES MATIÈRES
A LA LIMITE DE L’URBANISATION : – ROCADE NORD
ENTRE ROUTE DE PARIS ET ROUTE DE BRIE : – RUE RENÉ-COTY (Rue des Deux-Routes) – SQUARE BEAUREGARD – SQUARE LAMARTINE – BOULEVARD DE CHATEAUBRIAND
POUR ALLER DANS LES SQUARES : – AVENUE SAINT-EXUPÉRY
LES SQUARES: DE LORIENT – BLAISE PASCAL – FRANÇOIS COUPERIN – PROSPER MÉRIMÉE
AVENUE CHARLES PÉGUY (Chaufferie, H.L.M., Résidence des Jeunes, Centre familial et social) – PLACES DES TROIS-HORLOGES – PLACE STÉPHANE MALLARMÉ – SQUARE HONORÉ DE BALZAC
DE BATIMENTS PROVISOIRES EN BATIMENT EN DUR : RUE DU COLONEL PICOT – ÉGLISE DE L’IMMACULÉE-CONCEPTION – RUE DU COLONEL DE LATOUR
LES SAVANTS: – RUE ÉDOUARD BRANLY (Foyer-Résidence, Synagogue, Centre médico-psycho-pédagogique, Cité technique) – RUE DES FRÈRES LUMIÈRE – RUE PIERRE ET MARIE CURIE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : RUE DE LA MARNE – RUE CLEMENCEAU – RUE RAYMOND-POINCARÉ – RUE DES CASTORS – RUE JACQUES OUDOT – RUE ANDRÉ MALRAUX
En avril 1957, est étudié le plan-masse du quartier Nord (Montaigu-Capucins) et, sur les 24 ha acquis de la Société du domaine de Voisenon pour 9D millions (le nouveau franc ne date que de 1960), doivent étre implantés des logements « industrialisés », des écoles, un lycée technique avec centre d’apprentissage annexé… La création de la zone concerne 1.140 logements dont 800 sont déjà financés.
C’est que des 17.537 habitants qui composaient MELUN en 1946, chiffre semblable à celui de 1936 a 74 unités près, la ville passera, au recensement de 1968, à 34.512, le double.
L’Office départemental des H.L.M. se verra confier la plus grande partie de l’urbanisation. Avenues, squares et rues, boulevard aussi, vont naitre entre les routes de Pans et de Voisenon dans les quartiers Beauregard, Montaigu et des Capucins. Si les groupes scolaires ont conservé ces appellations (et M. Jean Bonis, maire adjoint alors chargé des questions scolaires, y avait tenu), nous dénombrons neuf écrivains et poètes, six scientifiques, trois hommes politiques, une dizaine de noms plus ou moins locaux, un musicien.
Inventaire dressé, nous avons essayé de rapprocher de MELUN, autant que faire se pouvait, les personnages dont la notoriété est plus nationale, voire internationale que locale. Mais le report conseillé aux encyclopédies et dictionnaires nous permettra de ne leur accorder qu une place limitée pour en consacrer une plus importante aux noms plus « de chez nous » et aussi aux bâtiments et édifices implantés sur le plateau, qu’ils soient encore présents ou «ils aient disparu.
Entre route de Paris et route de Meaux, MELUN a fait, jusqu’alors, le plein, limité par la «.Rocade Nord ». C’est par elle que débutera cette flânerie. TABLE DES MATIÈRES
A LA LIMITE DE L’URBANISATION : – ROCADE NORD
ENTRE ROUTE DE PARIS ET ROUTE DE BRIE : – RUE RENÉ-COTY (Rue des Deux-Routes) – SQUARE BEAUREGARD – SQUARE LAMARTINE – BOULEVARD DE CHATEAUBRIAND
POUR ALLER DANS LES SQUARES : – AVENUE SAINT-EXUPÉRY
LES SQUARES: DE LORIENT – BLAISE PASCAL – FRANÇOIS COUPERIN – PROSPER MÉRIMÉE
AVENUE CHARLES PÉGUY (Chaufferie, H.L.M., Résidence des Jeunes, Centre familial et social) – PLACES DES TROIS-HORLOGES – PLACE STÉPHANE MALLARMÉ – SQUARE HONORÉ DE BALZAC
DE BATIMENTS PROVISOIRES EN BATIMENT EN DUR : RUE DU COLONEL PICOT – ÉGLISE DE L’IMMACULÉE-CONCEPTION – RUE DU COLONEL DE LATOUR
LES SAVANTS: – RUE ÉDOUARD BRANLY (Foyer-Résidence, Synagogue, Centre médico-psycho-pédagogique, Cité technique) – RUE DES FRÈRES LUMIÈRE – RUE PIERRE ET MARIE CURIE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : RUE DE LA MARNE – RUE CLEMENCEAU – RUE RAYMOND-POINCARÉ – RUE DES CASTORS – RUE JACQUES OUDOT – RUE ANDRÉ MALRAUX
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