Description
Référence : 30254
Extrait de la SEMAINE RELIGIEUSE du diocèse de Meaux – MELUN – L’abbé Edouard Cavalier
Chanoine honoraire de Meaux, curé-doyen de Notre-Dame de Melun
1883, format : 135×180, 8 pages, sans ill. débroché
L’ABBÉ ÉDOUARD CAVALIER – CHANOINE HONORAIRE DE MEAUX (CURÉ-DOYEN DE NOTRE-DAME DE MELUN)
3 Février 1810. 27 Février 1883.
(Extrait de la SEMAINE RELIGIEUSE du diocèse de Meaux.)
Vendredi dernier, 2 mars courant, ont eu lieu à Melun, (église Notre-Dame) les funérailles de M. l’abbé Cavalier, dont nous avons annoncé la mort dans notre précédent numéro. Cette cérémonie lugubre a été l’occasion d’un solennel hommage à la mémoire du pasteur bien aimé, dont l’éloge était dans toutes les bouches et dont la perte émouvait tous les coeurs.
Soixante-trois prêtres étaient accourus pour donner les uns à leur ancien maître, les autres à leur supérieur hiérarchique, tous à un confrère vénéré et chéri, un dernier témoignage de leur estime et de leur vive sympathie. Nous avons remarqué parmi eux MM. l’archiprêtre-curé de Fontainebleau, l’abbé Pichelin, chanoine honoraire, les doyens de Montereau et de Mormant, le curé de Chaumes, tous les ecclésiastiques des deux cantons, etc.
Parmi les autres assistants, on distinguait le général et un nombreux cortège d’officiers, se rappelant sans aucun doute les bonnes relations de M. Cavalier avec les différents régiments qui ont tenu garnison à Melun, M. le président du Tribunal et quelques autres magistrats. Les paroissiens de Notre-Dame étaient innombrables et l’enceinte entière de l’église était trop étroite pour la triste circonstance. Le deuil était conduit par les deux frères du défunt, M. Marius Cavalier, chevalier de la Légion d’honneur, ancien chef de bureau au ministère des finances, et M. l’abbé Ch. Cavalier, vicaire à Saint-Germain-des-Prés de Paris.
3 Février 1810. 27 Février 1883.
(Extrait de la SEMAINE RELIGIEUSE du diocèse de Meaux.)
Vendredi dernier, 2 mars courant, ont eu lieu à Melun, (église Notre-Dame) les funérailles de M. l’abbé Cavalier, dont nous avons annoncé la mort dans notre précédent numéro. Cette cérémonie lugubre a été l’occasion d’un solennel hommage à la mémoire du pasteur bien aimé, dont l’éloge était dans toutes les bouches et dont la perte émouvait tous les coeurs.
Soixante-trois prêtres étaient accourus pour donner les uns à leur ancien maître, les autres à leur supérieur hiérarchique, tous à un confrère vénéré et chéri, un dernier témoignage de leur estime et de leur vive sympathie. Nous avons remarqué parmi eux MM. l’archiprêtre-curé de Fontainebleau, l’abbé Pichelin, chanoine honoraire, les doyens de Montereau et de Mormant, le curé de Chaumes, tous les ecclésiastiques des deux cantons, etc.
Parmi les autres assistants, on distinguait le général et un nombreux cortège d’officiers, se rappelant sans aucun doute les bonnes relations de M. Cavalier avec les différents régiments qui ont tenu garnison à Melun, M. le président du Tribunal et quelques autres magistrats. Les paroissiens de Notre-Dame étaient innombrables et l’enceinte entière de l’église était trop étroite pour la triste circonstance. Le deuil était conduit par les deux frères du défunt, M. Marius Cavalier, chevalier de la Légion d’honneur, ancien chef de bureau au ministère des finances, et M. l’abbé Ch. Cavalier, vicaire à Saint-Germain-des-Prés de Paris.
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