Description
Référence : 31377
MENGIN Robert – Monsieur Urbain
1984, format : 170×225, 363 pages, 24 pages ill. broché
Le premier des MENGIN qui, de la Lorraine natale, vint à Châtillon, sur le Loing,se joindre à Coligny, chef des protestants
Par les témoins de sa vie de 1864 à 1955.
Généalogie simplifiée
I. — Une visite rue Barbet de Jouy – II. — Urbain se fait raconter sa naissance – III. — Irma raconte l’accident – IV. — Les amours de l’enfance – V. — Une enfance campagnarde sous le Second Empire – VI. — L’oie, la cane et le cochon – VII. — Les noirs corbeaux – VIII. — La guerre de 1870 – IX. — Un enfant de la ville et des champs – X. — Origines barbares de la tribu des Mengin de Lorraine – XI. — Le Fantôme de la Rousselière – XII. — Le premier voyage à Paris – XIII. — Grandes espérances – XIV. — Désastre – XV. — Aveux du père au fils – XVI. — Urbain et le devoir d’aînesse – XVII. — Confidences – XVIII. — L’élève chéri du philosophe Hamelin – XIX. — Lettres de France et d’Angleterre – XX. — Urbain vu par Louis – XXI. — La grande charmeuse – XXII. — Déceptions et consolations – XXIII. — Au fond de la province exilé volontaire, plus exilé vraiment qu’en la terre étrangère – XXIV. — L’impertinent – XXV. — La mort d’Alexandre Deville-Chabrol – XXVI. — Un voyage en Italie en 1895 – XXVII. — Une visite au Plantier – XXVIII. — Un bon mouvement – XXIX. — Les conséquences inattendues d’un bon mouvement – XXX. — La bonne duchesse – XXXI. — Lettres d’Ecosse – XXXII. — La duchesse affolée – XXXIII. — Que d’affaires ! – — Juillet 1900-Mai 1902 – XXXVII. — Une monstrueuse impertinence – XXXVIII. — La petite sœur d’Alfred de Musset – XXXIX. — Les desseins secrets de la Providence – XL. — Le mariage d’Urbain vu par Antoinette – XII. — Bonheur – XIII. — Mil neuf cent quatorze – XLIII. — La fondation de l’Institut français de Naples – XLIV. — Urbain n’est pas raisonnable – XIV. — Drames familiaux et internationaux – XLVI. — Une excursion intrépide – XLVII. — Encore une guerre – XLVIII. — La paix
Table des prénoms et des noms de lieux
Par les témoins de sa vie de 1864 à 1955.
Généalogie simplifiée
I. — Une visite rue Barbet de Jouy – II. — Urbain se fait raconter sa naissance – III. — Irma raconte l’accident – IV. — Les amours de l’enfance – V. — Une enfance campagnarde sous le Second Empire – VI. — L’oie, la cane et le cochon – VII. — Les noirs corbeaux – VIII. — La guerre de 1870 – IX. — Un enfant de la ville et des champs – X. — Origines barbares de la tribu des Mengin de Lorraine – XI. — Le Fantôme de la Rousselière – XII. — Le premier voyage à Paris – XIII. — Grandes espérances – XIV. — Désastre – XV. — Aveux du père au fils – XVI. — Urbain et le devoir d’aînesse – XVII. — Confidences – XVIII. — L’élève chéri du philosophe Hamelin – XIX. — Lettres de France et d’Angleterre – XX. — Urbain vu par Louis – XXI. — La grande charmeuse – XXII. — Déceptions et consolations – XXIII. — Au fond de la province exilé volontaire, plus exilé vraiment qu’en la terre étrangère – XXIV. — L’impertinent – XXV. — La mort d’Alexandre Deville-Chabrol – XXVI. — Un voyage en Italie en 1895 – XXVII. — Une visite au Plantier – XXVIII. — Un bon mouvement – XXIX. — Les conséquences inattendues d’un bon mouvement – XXX. — La bonne duchesse – XXXI. — Lettres d’Ecosse – XXXII. — La duchesse affolée – XXXIII. — Que d’affaires ! – — Juillet 1900-Mai 1902 – XXXVII. — Une monstrueuse impertinence – XXXVIII. — La petite sœur d’Alfred de Musset – XXXIX. — Les desseins secrets de la Providence – XL. — Le mariage d’Urbain vu par Antoinette – XII. — Bonheur – XIII. — Mil neuf cent quatorze – XLIII. — La fondation de l’Institut français de Naples – XLIV. — Urbain n’est pas raisonnable – XIV. — Drames familiaux et internationaux – XLVI. — Une excursion intrépide – XLVII. — Encore une guerre – XLVIII. — La paix
Table des prénoms et des noms de lieux
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