Description
Référence : 30341
Publiée par l’ARGUS DE LA PRESSE – Nomenclature des Journaux et Revues
en langue française du monde entier
1937, format : 160×235, 758 pages, sans ill. broché
couverture muette
AVANT-PROPOS
Cet ouvrage de près de 800 pages, format octavo-raisin, constitue la septième édition de « NOMENCLATURE des Journaux en Langue Française » qu’a publiée l’Argus depuis 1917. Les tirages de ce volume ont varié de 10 à 25.000 exemplaires.
L’accueil qui lui a été réservé — tant par la Presse, que par le monde des Lettres et des Arts, de la Finance, de la Diplomatie et des Affaires en général — nous a encouragés à perfectionner notre patiente Documentation. Nous avons essayé de donner à toute la Presse et au Public, la totalité de toutes les publications en langue française, paraissant non seulement en France, dans nos Colonies et chez nos Protégés, mais dans le monde entier.
Nous avons spécialement orienté nos recherches dans toutes nos Colonies, même les plus lointaines, celles que certains croient encore, bien à tort, voisines de l’âge primitif, et la sèche énumération des feuilles qui s’y éditent sera, pour le lecteur, la preuve vivante de l’évolution et du progrès, sous notre influence, de ces « visages de France ».Il est bon que ceux qui utilisent notre langue nationale, toute de clarté et de précision, puissent se rendre compte de sa diffusion et de sa supériorité sur tout le Globe ; sa vulgarisation dans l’Univers est immense et, à cet égard, son passé et son présent peuvent répondre de son avenir.
Après Athènes et Rome, dans l’antiquité, c’est la France et sa langue qui ont maintenu, depuis plusieurs siècles, la véritable, l’essentielle tradition des Arts, des Sciences, des Lettres, d’un génie supérieur; et si Lamennais nous assurait que « le français est par excellence la langue de la conversation », ce qui est déjà fort beau, nous avouons lui préférer l’opinion de Rivarol, affirmant que « Ce qui n’est pas clair n’est pas français », et a que notre langue est la seule qui ait une probité attachée à son génie. Au temps où nous vivons, c’est bien encore quelque chose…
Sans être taxés d’exagération, nous croyons pouvoir affirmer que cette NOMENCLATURE est la plus complète et la plus documentée qui ait été publiée dans son genre ; elle contient plus de 15.000 noms de feuilles ou brochures périodiques différentes, c’est-à-dire que nous avons largement augmente les indications de la précédente édition.
Le résumé de nos pointages donne environ à Paris 116 quotidiens, 5.000 Périodiques, plus de 7.200 feuilles dans les départements et les Colonies, soit environ 12.300 journaux pour la France, enfin, 3.000 journaux de langue française à l’Etranger ; une table des matières de plus de 180 pages, où tous les noms (près de 30.000) seront retrouvés par ordre alphabétique, permettra à tous de se servir rapidement de notre long labeur.
Il y a là un travail considérable, patiemment recueilli, analysé, classé et enregistré, que l’Argus, grâce à ses antennes multiples, est seul susceptible de mettre au point.
Nous sommes heureux de pouvoir faire apprécier dans l’aridité de cet ouvrage, en France et à l’Etranger, la supériorité de la Presse française, qui lutte et travaille efficacement au bon renom de la Pensée française.
AVANT-PROPOS
Cet ouvrage de près de 800 pages, format octavo-raisin, constitue la septième édition de « NOMENCLATURE des Journaux en Langue Française » qu’a publiée l’Argus depuis 1917. Les tirages de ce volume ont varié de 10 à 25.000 exemplaires.
L’accueil qui lui a été réservé — tant par la Presse, que par le monde des Lettres et des Arts, de la Finance, de la Diplomatie et des Affaires en général — nous a encouragés à perfectionner notre patiente Documentation. Nous avons essayé de donner à toute la Presse et au Public, la totalité de toutes les publications en langue française, paraissant non seulement en France, dans nos Colonies et chez nos Protégés, mais dans le monde entier.
Nous avons spécialement orienté nos recherches dans toutes nos Colonies, même les plus lointaines, celles que certains croient encore, bien à tort, voisines de l’âge primitif, et la sèche énumération des feuilles qui s’y éditent sera, pour le lecteur, la preuve vivante de l’évolution et du progrès, sous notre influence, de ces « visages de France ».Il est bon que ceux qui utilisent notre langue nationale, toute de clarté et de précision, puissent se rendre compte de sa diffusion et de sa supériorité sur tout le Globe ; sa vulgarisation dans l’Univers est immense et, à cet égard, son passé et son présent peuvent répondre de son avenir.
Après Athènes et Rome, dans l’antiquité, c’est la France et sa langue qui ont maintenu, depuis plusieurs siècles, la véritable, l’essentielle tradition des Arts, des Sciences, des Lettres, d’un génie supérieur; et si Lamennais nous assurait que « le français est par excellence la langue de la conversation », ce qui est déjà fort beau, nous avouons lui préférer l’opinion de Rivarol, affirmant que « Ce qui n’est pas clair n’est pas français », et a que notre langue est la seule qui ait une probité attachée à son génie. Au temps où nous vivons, c’est bien encore quelque chose…
Sans être taxés d’exagération, nous croyons pouvoir affirmer que cette NOMENCLATURE est la plus complète et la plus documentée qui ait été publiée dans son genre ; elle contient plus de 15.000 noms de feuilles ou brochures périodiques différentes, c’est-à-dire que nous avons largement augmente les indications de la précédente édition.
Le résumé de nos pointages donne environ à Paris 116 quotidiens, 5.000 Périodiques, plus de 7.200 feuilles dans les départements et les Colonies, soit environ 12.300 journaux pour la France, enfin, 3.000 journaux de langue française à l’Etranger ; une table des matières de plus de 180 pages, où tous les noms (près de 30.000) seront retrouvés par ordre alphabétique, permettra à tous de se servir rapidement de notre long labeur.
Il y a là un travail considérable, patiemment recueilli, analysé, classé et enregistré, que l’Argus, grâce à ses antennes multiples, est seul susceptible de mettre au point.
Nous sommes heureux de pouvoir faire apprécier dans l’aridité de cet ouvrage, en France et à l’Etranger, la supériorité de la Presse française, qui lutte et travaille efficacement au bon renom de la Pensée française.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.