Description
Référence : 31604
– Note sur les possibilités d’extension de la Ville de Fontainebleau
LE CONSERVATEUR REGIONAL DES BATIMENTS DE FRANCEFONTAINEBLEAU (Seine et Marne)
1962, format : 210×270, 20 pages, 7 ill. broché,
dossier avec manuscrits et tapuscrits +7 plans sur calque +un plan d’ensemble du palais de Fontainebleau (140x65cm) + 4 cartes postales + 3 photos 6x9cm
Note sur les possibilités d’extension de la Ville de Fontainebleau
Si l’on considère les faibles possibilités d’extension que possède la ville de Fontainebleau, on peut constater que l’espace disponible a été utilisé jusqu’ici de façon assez irrationnelle.
La ville ancienne présente une relative densité, mais les maisons ne dépassent guère deux étages. Les quartiers plus récents qui ce sont développés vers le Nord forment une large ceinture de petits pavillons, limités eux aussi à deux étages et le plus souvent à un seul, voire même à un simple rez-de-chaussée, avec un développement de façades qui n’excède guère dix mètres. L’implantation sur petites surfaces du sol donne un tissu urbain discontinu qui, cependant, ne permet pas de véritables plantations d’arbres et des masses vertes comparables à celles que l’on trouve par exemple à Chantilly (ou même, tout près de Fontainebleau) dans la partie d’Avon située à l’extrémité du parc du château.
Note sur les possibilités d’extension de la Ville de Fontainebleau
Si l’on considère les faibles possibilités d’extension que possède la ville de Fontainebleau, on peut constater que l’espace disponible a été utilisé jusqu’ici de façon assez irrationnelle.
La ville ancienne présente une relative densité, mais les maisons ne dépassent guère deux étages. Les quartiers plus récents qui ce sont développés vers le Nord forment une large ceinture de petits pavillons, limités eux aussi à deux étages et le plus souvent à un seul, voire même à un simple rez-de-chaussée, avec un développement de façades qui n’excède guère dix mètres. L’implantation sur petites surfaces du sol donne un tissu urbain discontinu qui, cependant, ne permet pas de véritables plantations d’arbres et des masses vertes comparables à celles que l’on trouve par exemple à Chantilly (ou même, tout près de Fontainebleau) dans la partie d’Avon située à l’extrémité du parc du château.
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