Description
Référence : 31098
MAC ORLAN Pierre – Picardie
Roman des aventures du sergent Saint-Pierre et de Babe Molina
1943, format : 120×190, 281 pages, sans ill. broché couverure légère restauration (en l’état)
PICARDIE
Roman des aventures du sergent Saint-Pierre et de Babe Molina
NOTE SUR LE RÉGIMENT DE PICARDIE
A l’époque où commence et se déroule cette histoire, le marquis de Bréhant (brigadier) était colonel du régiment de Picardie depuis 1749. Le lieutenant-colonel s‘appelait, M, de Fargès. le major M. Duvivier (avec rang de commandant de bataillon). Le 2° bataillon était commandé par M. de la Rochetullon. le 3° par M. Raulet, le 4° par le chevalier d’Urre.En 1761, le comte de Durfort (brigadier) devint colonel de Picardie.
L‘uniforme de Picardie, comme tous les uniformes de l’infanterie française sous l‘ancien régime, changea fréquemment. En 1760, 1761, 1762. il était ainsi : habit, parements, collet, culotte blancs, veste rouge; doubles poches en long garnies de neuf boutons disposés en patte d‘oie, quatre boutons sur la manche; chapeau bordé d’un galon d’or. En 1763, Picardie revêtit, pour peu de temps, l‘habit complet blanc piqué de bleu.
Le régiment était à quatre bataillons, prévôté, pension de 600 livres au lieutenant-colonel, de 500 livres au premier capitaine et de 400 livres à chacun des quatre suivants.
Le régiment ne roulait point et commandait seul.
En plus de son drapeau colonel de couleur blanche. Picardie possédait huit drapeaux d’ordonnance, à cette époque. (Il en eut jusqu‘à dix-huit). Ces drapeaux étaient ceux de la vieille bande : rouges avec une croix blanche qui séparait la couleur en quatre quartiers.
Du régiment de Picardie, La Popelinière disait : Soldats martiaux et pratics du fait de guerre. »
Roman des aventures du sergent Saint-Pierre et de Babe Molina
NOTE SUR LE RÉGIMENT DE PICARDIE
A l’époque où commence et se déroule cette histoire, le marquis de Bréhant (brigadier) était colonel du régiment de Picardie depuis 1749. Le lieutenant-colonel s‘appelait, M, de Fargès. le major M. Duvivier (avec rang de commandant de bataillon). Le 2° bataillon était commandé par M. de la Rochetullon. le 3° par M. Raulet, le 4° par le chevalier d’Urre.En 1761, le comte de Durfort (brigadier) devint colonel de Picardie.
L‘uniforme de Picardie, comme tous les uniformes de l’infanterie française sous l‘ancien régime, changea fréquemment. En 1760, 1761, 1762. il était ainsi : habit, parements, collet, culotte blancs, veste rouge; doubles poches en long garnies de neuf boutons disposés en patte d‘oie, quatre boutons sur la manche; chapeau bordé d’un galon d’or. En 1763, Picardie revêtit, pour peu de temps, l‘habit complet blanc piqué de bleu.
Le régiment était à quatre bataillons, prévôté, pension de 600 livres au lieutenant-colonel, de 500 livres au premier capitaine et de 400 livres à chacun des quatre suivants.
Le régiment ne roulait point et commandait seul.
En plus de son drapeau colonel de couleur blanche. Picardie possédait huit drapeaux d’ordonnance, à cette époque. (Il en eut jusqu‘à dix-huit). Ces drapeaux étaient ceux de la vieille bande : rouges avec une croix blanche qui séparait la couleur en quatre quartiers.
Du régiment de Picardie, La Popelinière disait : Soldats martiaux et pratics du fait de guerre. »
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