Description
Référence : 30734
Société de bienfaisance dite des Incas – Programme de la marche qui aura lieu à VALENCIENNES
les 17, 18 et 19 juin 1866
1866, format : 130×215, 40 pages, sans ill. broché petit manque en bas de dos couverture ( en l’état)
QUELQUES MOTS sur LA SOCIÉTÉ DES INCAS ET SES MARCHES ANTÉRIEURES.
Nous n’avons point à refaire ici Venumeration détaillée des différentes phases qu’a traversées la Société des Incas jusqu’à l’époque actuelle. Un érudit des plus distingués, membre correspondant de l’Institut impérial de France, n’a point dédaigné de se faire son historien et nous renvoyons à son ouvrage. Néanmoins, tout spectateur de nos fêtes prochaines pourrait n’avoir pas sous la main le livre du savant et bien regretté M. Dinaux; nous croyons donc utile de donner comme introduction à cette nouvelle édition du programme, une revue rapide des différentes étapes accomplies par la Société dans la voie du bien.
Née des farces grossières du carnaval, notre Société ennoblit de bonne heure son origine en se plaçant sous le patronage de la bienfaisance.
Au mannequin représentant Pança ivre – mort, escorté par des masques grivois et jeté par eux dans un bûcher où il disparaissait, comme s’efface bien vite le souvenir de des jours de folies, elle substitua une pompe plus digne, un cortège plus décent, versa dans les mains du pauvre l’abondant produit de ses quêtes, et par là s’assura une existence durable et tontes les sympathies.
Nous n’avons point à refaire ici Venumeration détaillée des différentes phases qu’a traversées la Société des Incas jusqu’à l’époque actuelle. Un érudit des plus distingués, membre correspondant de l’Institut impérial de France, n’a point dédaigné de se faire son historien et nous renvoyons à son ouvrage. Néanmoins, tout spectateur de nos fêtes prochaines pourrait n’avoir pas sous la main le livre du savant et bien regretté M. Dinaux; nous croyons donc utile de donner comme introduction à cette nouvelle édition du programme, une revue rapide des différentes étapes accomplies par la Société dans la voie du bien.
Née des farces grossières du carnaval, notre Société ennoblit de bonne heure son origine en se plaçant sous le patronage de la bienfaisance.
Au mannequin représentant Pança ivre – mort, escorté par des masques grivois et jeté par eux dans un bûcher où il disparaissait, comme s’efface bien vite le souvenir de des jours de folies, elle substitua une pompe plus digne, un cortège plus décent, versa dans les mains du pauvre l’abondant produit de ses quêtes, et par là s’assura une existence durable et tontes les sympathies.
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