Description
Référence : 31398
PLANCKE René-Charles – PROVINS et ses Environs
Promenades dans le Passé – Tome 5
1988, format : 160×240, 260 pages, nb ill. broché bon état
Introduction
Cette promenade dans le passé n’est ni un livre consacré à l’histoire de la région provinoise à laquelle de très nombreux ouvrages ont déjà été consacrés, ni une œuvre d’érudition pouvant être comparée aux doctes travaux de la Société d’Histoire et d’Archéologie.
Ce n’est qu’un aperçu de la vie quotidienne de cette partie de la Seine-et-Marne, approche réalisée à l’aide de cartes postales, et de photos anciennes du début du siècle.
Sa seule ambition est de faire revivre aux habitants les plus anciens les us et coutumes, le mode de vie de leurs parents ou grands-parents, et aux nouveaux venus de mieux connaître un passé à la fois si proche par le temps et si lointain par les modifications de la façon de vivre.
Pour chaque commune ici étudiée on trouvera un très court résumé historique, un tableau des notabilités, une évocation des fêtes et des traditions, une liste des sociétés locales, s’il en existait dans la localité. Les garnisons de Provins et de Sourdun n’ont pas été oubliées. La partie « historique » de Provins a été longuement traitée, mais toujours sur le plan de la vie quotidienne sinon anecdotique, et une description des vingt-quatre localités en 1900 a été plus spécialement faite. Pourquoi 1900 ? Tout simplement parce que la majeure partie des illustrations date de la période 1900-1914, de cette période qu’on a abusivement appelée la belle époque, qui n’était belle que pour les nantis, mais qui deviendra belle pour tout le monde en comparaison avec la grande boucherie de 1914-1918.
Quant au reste il ne s’agit que de commentaires de cartes postales.
Pour chaque commune, le résumé historique commence par « cité pour la première fois en…. », cela ne veut pas dire que la localité n’existait pas avant mais signifie que la plus ancienne mention retrouvée dans nos diverses archives date de cette année-là.
La lettre « N » dans les tableaux des notabilités signifie que le poste est vacant l’année considérée. Si la case est restée en blanc c’est que le poste n’existait alors pas ou que son titulaire n’a pas été retrouvé dans les archives ou documents consultés. A la rubrique « instituteur», il peut s’agir du maître unique, du maître principal ou du directeur d’école.
Le feu est une évaluation fiscale de l’ancien régime dont le nombre de personnes varie selon les régions ; dans la limite des nos connaissances, il est impossible de transformer ce foyer fiscal en nombre d’habitants. Le mot « communiants » souvent employé pour « habitants » correspond aux habitants catholiques de 7 ans environ (communion privée) à l’âge le plus avancé, ce qui exclut les enfants en bas âge et les non-catholiques (protestants ou israëlites) fort peu nombreux du reste dans la région ici étudiée).
Cela étant précisé, bonne promenade dans le passé.
R.C.P.
(1) Vient de paraître un important ouvrage historique sur Provins et sa région, par la Société d’Histoire et d’Archéologie de Provins.
Cette promenade dans le passé n’est ni un livre consacré à l’histoire de la région provinoise à laquelle de très nombreux ouvrages ont déjà été consacrés, ni une œuvre d’érudition pouvant être comparée aux doctes travaux de la Société d’Histoire et d’Archéologie.
Ce n’est qu’un aperçu de la vie quotidienne de cette partie de la Seine-et-Marne, approche réalisée à l’aide de cartes postales, et de photos anciennes du début du siècle.
Sa seule ambition est de faire revivre aux habitants les plus anciens les us et coutumes, le mode de vie de leurs parents ou grands-parents, et aux nouveaux venus de mieux connaître un passé à la fois si proche par le temps et si lointain par les modifications de la façon de vivre.
Pour chaque commune ici étudiée on trouvera un très court résumé historique, un tableau des notabilités, une évocation des fêtes et des traditions, une liste des sociétés locales, s’il en existait dans la localité. Les garnisons de Provins et de Sourdun n’ont pas été oubliées. La partie « historique » de Provins a été longuement traitée, mais toujours sur le plan de la vie quotidienne sinon anecdotique, et une description des vingt-quatre localités en 1900 a été plus spécialement faite. Pourquoi 1900 ? Tout simplement parce que la majeure partie des illustrations date de la période 1900-1914, de cette période qu’on a abusivement appelée la belle époque, qui n’était belle que pour les nantis, mais qui deviendra belle pour tout le monde en comparaison avec la grande boucherie de 1914-1918.
Quant au reste il ne s’agit que de commentaires de cartes postales.
Pour chaque commune, le résumé historique commence par « cité pour la première fois en…. », cela ne veut pas dire que la localité n’existait pas avant mais signifie que la plus ancienne mention retrouvée dans nos diverses archives date de cette année-là.
La lettre « N » dans les tableaux des notabilités signifie que le poste est vacant l’année considérée. Si la case est restée en blanc c’est que le poste n’existait alors pas ou que son titulaire n’a pas été retrouvé dans les archives ou documents consultés. A la rubrique « instituteur», il peut s’agir du maître unique, du maître principal ou du directeur d’école.
Le feu est une évaluation fiscale de l’ancien régime dont le nombre de personnes varie selon les régions ; dans la limite des nos connaissances, il est impossible de transformer ce foyer fiscal en nombre d’habitants. Le mot « communiants » souvent employé pour « habitants » correspond aux habitants catholiques de 7 ans environ (communion privée) à l’âge le plus avancé, ce qui exclut les enfants en bas âge et les non-catholiques (protestants ou israëlites) fort peu nombreux du reste dans la région ici étudiée).
Cela étant précisé, bonne promenade dans le passé.
R.C.P.
(1) Vient de paraître un important ouvrage historique sur Provins et sa région, par la Société d’Histoire et d’Archéologie de Provins.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.