Description
Référence : 31900
Pierre DOIGNON – RÉPERTOIRE DU MASSIF DE FONTAINEBLEAU ET DE LA BASSE VALLÉE DU LOING
BIBLIOGRAPHIQUE ET ANALYTIQUE
1958, format : 155×235, 56 pages, sans illustration[s].broché, bon état
Pierre DOIGNON
Secrétaire général de l’Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du Massif de Fontainebleau
RÉPERTOIRE BIBLIOGRAPHIQUE ET ANALYTIQUE DU MASSIF DE FONTAINEBLEAU ET DE LA BASSE VALLÉE DU LOING
(TRAVAUX HISTORIQUES ET SCIENTIFIQUES) publié par l’Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du Massif de Fontainebleau
INTRODUCTION par Pierre DOIGNON
La Bibliographie générale des travaux consacrés au Massif de Fontainebleau, telle que nous l’avons répertoriée, comprend environ 8 500 ouvrages, mémoires, études, monographies, notes et documents historiques, scientifiques, archéologiques, dispersés dans des dizaines de périodiques, archives et collections, revues anciennes ou contemporaines que nous avons tenu à dépouiller page par page.
Le groupement et la publication de cette importante documentation n’ont pas encore été tentés. Pour incomplète qu’elle soit encore dans certaines disciplines, elle constitue cependant une somme considérable de connaissances que nous croyons nécessaire de réunir en un instrument de travail mis à la disposition des chercheurs, historiens, érudits, naturalistes, s’intéressant à la région de Fontainebleau, la plus riche et la mieux prospectée des environs de Paris.
Car les synthèses régionalistes de ce genre, nous semble-t-il, ne peuvent plus attendre. La multiplication contemporaine accélérée des travaux et publications rendra bientòt de tels répertoires généraux irréalisables, ou de plus en plus fragmentaires. Les matériaux anciens se perdent, les contributions de détail se dispersent dans une poussière de périodiques de consultation difficile ou introuvables ; leurs références même deviendront inaccessibles dans des répertoires d’archives monumentaux.
Ce n’est pas d’hier que les bibliographes sont obligés de sélectionner, toujours dans l’arbitraire. Demain il leur faudra sur localiser, ou sur spécialiser les inventaires d’histoire régionale, ou éliminer sous prétexte d’un critère de qualité très relatif. On versera dans l’archéologie les contributions les plus anciennes ; on négligera une multitude de notes sans doute infimes ou isolées mais qui restent des documents d’origine et de base ; on rejettera les travaux de seconde main, d’analystes ou de copistes qui encombrent certes la littérature, mais qui sont bien souvent la seule source restante de documents disparus ou introuvables ; on éliminera les notes dites sans valeur réelle, mais qui ne sont pas jugées telles par tous et qui ne sont pas les mêmes pour tous. L’inflation des titres accentuera la nécessité d’un tri malaisé, subjectif— auquel nous ne nous sommes pas cru autorisé à avoir recours ici — sans pour cela supprimer l’obligation de schématiser à l’excès la forme de ces répertoires. Ceci en toutes disciplines, surtout scientifiques.
Nous songeons notamment à titre d’exemple au monumental « Faunisticher » entomologique de Schenkling où l’ampleur de son programme contraignit l’auteur à éliminer systématiquement les notes signalant moins de 5 espèces et d’où sont par conséquent exclues les milliers de communications de base publiant les observations faunistiques les plus rares, donc les plus intéressantes pour l’histoire de la discipline considérée. Nous songeons aussi à ces immenses répertoires Américains sur complexifiés, transformés en un hérissement de symboles, de signes, de nombres et de formules algébriques renvoyant à des lexiques, à des tables de lexiques et à des index de tables.
C’est pourquoi l’heure nous semble venue de faire le point de nos connaissances dans le cadre régional déjà suffisamment pléthorique. Notre souci a été de tout mentionner, sans méconnaitre que bien des références d’intérêt secondaire, voire discutable, voisinent avec les travaux reconnus de premier ordre. Notre excuse est d’avoir refusé de faire un choix pour ne rien éliminer et pour essayer de dresser un inventaire aussi complet que possible des titres parvenus à notre connaissance. A cet effet, nous avons volontairement multiplié les indications d’articles de revues et de sociétés savantes, dans la mesure où nous avons pu les consulter
TABLE DES MATIÈRES
•Introduction : Les travaux bibliographiques régionaux, les sources de la documentation régionale. Table des matières-répertoire des travaux publiés par l’Association des Naturalistes. Avertissement. Abréviations •HISTOIRE : Monuments, Inscriptions, Vénerie, Chasse, Beaux-Arts, Littérature, Tourisme. Sports, Personnages •HISTOIRE NATURELLE GÉNÉRALE : Protection de la Nature, Réserves biologiques .•Géographie, Cartographie •GÉOLOGIE, Hydrologie •Météorologie •Zoologie •Ornithologie •Entomologie •BOTANIQUE, Phanerogamie, Ecologie, Pteridophytes•Bryologie •LICHIÉNOLOGIE•MYCOLOGIE •Préhistoire, Paléo-mésolithique, Néolithique, Mégalithique, Celtique-Gallo-romain•Personnages
Secrétaire général de l’Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du Massif de Fontainebleau
RÉPERTOIRE BIBLIOGRAPHIQUE ET ANALYTIQUE DU MASSIF DE FONTAINEBLEAU ET DE LA BASSE VALLÉE DU LOING
(TRAVAUX HISTORIQUES ET SCIENTIFIQUES) publié par l’Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du Massif de Fontainebleau
INTRODUCTION par Pierre DOIGNON
La Bibliographie générale des travaux consacrés au Massif de Fontainebleau, telle que nous l’avons répertoriée, comprend environ 8 500 ouvrages, mémoires, études, monographies, notes et documents historiques, scientifiques, archéologiques, dispersés dans des dizaines de périodiques, archives et collections, revues anciennes ou contemporaines que nous avons tenu à dépouiller page par page.
Le groupement et la publication de cette importante documentation n’ont pas encore été tentés. Pour incomplète qu’elle soit encore dans certaines disciplines, elle constitue cependant une somme considérable de connaissances que nous croyons nécessaire de réunir en un instrument de travail mis à la disposition des chercheurs, historiens, érudits, naturalistes, s’intéressant à la région de Fontainebleau, la plus riche et la mieux prospectée des environs de Paris.
Car les synthèses régionalistes de ce genre, nous semble-t-il, ne peuvent plus attendre. La multiplication contemporaine accélérée des travaux et publications rendra bientòt de tels répertoires généraux irréalisables, ou de plus en plus fragmentaires. Les matériaux anciens se perdent, les contributions de détail se dispersent dans une poussière de périodiques de consultation difficile ou introuvables ; leurs références même deviendront inaccessibles dans des répertoires d’archives monumentaux.
Ce n’est pas d’hier que les bibliographes sont obligés de sélectionner, toujours dans l’arbitraire. Demain il leur faudra sur localiser, ou sur spécialiser les inventaires d’histoire régionale, ou éliminer sous prétexte d’un critère de qualité très relatif. On versera dans l’archéologie les contributions les plus anciennes ; on négligera une multitude de notes sans doute infimes ou isolées mais qui restent des documents d’origine et de base ; on rejettera les travaux de seconde main, d’analystes ou de copistes qui encombrent certes la littérature, mais qui sont bien souvent la seule source restante de documents disparus ou introuvables ; on éliminera les notes dites sans valeur réelle, mais qui ne sont pas jugées telles par tous et qui ne sont pas les mêmes pour tous. L’inflation des titres accentuera la nécessité d’un tri malaisé, subjectif— auquel nous ne nous sommes pas cru autorisé à avoir recours ici — sans pour cela supprimer l’obligation de schématiser à l’excès la forme de ces répertoires. Ceci en toutes disciplines, surtout scientifiques.
Nous songeons notamment à titre d’exemple au monumental « Faunisticher » entomologique de Schenkling où l’ampleur de son programme contraignit l’auteur à éliminer systématiquement les notes signalant moins de 5 espèces et d’où sont par conséquent exclues les milliers de communications de base publiant les observations faunistiques les plus rares, donc les plus intéressantes pour l’histoire de la discipline considérée. Nous songeons aussi à ces immenses répertoires Américains sur complexifiés, transformés en un hérissement de symboles, de signes, de nombres et de formules algébriques renvoyant à des lexiques, à des tables de lexiques et à des index de tables.
C’est pourquoi l’heure nous semble venue de faire le point de nos connaissances dans le cadre régional déjà suffisamment pléthorique. Notre souci a été de tout mentionner, sans méconnaitre que bien des références d’intérêt secondaire, voire discutable, voisinent avec les travaux reconnus de premier ordre. Notre excuse est d’avoir refusé de faire un choix pour ne rien éliminer et pour essayer de dresser un inventaire aussi complet que possible des titres parvenus à notre connaissance. A cet effet, nous avons volontairement multiplié les indications d’articles de revues et de sociétés savantes, dans la mesure où nous avons pu les consulter
TABLE DES MATIÈRES
•Introduction : Les travaux bibliographiques régionaux, les sources de la documentation régionale. Table des matières-répertoire des travaux publiés par l’Association des Naturalistes. Avertissement. Abréviations •HISTOIRE : Monuments, Inscriptions, Vénerie, Chasse, Beaux-Arts, Littérature, Tourisme. Sports, Personnages •HISTOIRE NATURELLE GÉNÉRALE : Protection de la Nature, Réserves biologiques .•Géographie, Cartographie •GÉOLOGIE, Hydrologie •Météorologie •Zoologie •Ornithologie •Entomologie •BOTANIQUE, Phanerogamie, Ecologie, Pteridophytes•Bryologie •LICHIÉNOLOGIE•MYCOLOGIE •Préhistoire, Paléo-mésolithique, Néolithique, Mégalithique, Celtique-Gallo-romain•Personnages
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