Description
Référence : 31225
SUARNET André – Sand’ré
Roman. La Grande menterie histoire d’un chômeur
1953, format : 140×190, 285 pages, une ill. broché
André SUARNET : romancier, conteur et auteur dramatique, né à Gouaix (Seine-et-Marne), 1898-1972
Se déroule dans la campagne de Provins, dans les années 1870
A la mémoire de mon ami Charles PLISNIER qui m’incita à écrire ce livre et ne put le lire.
AVANT-PROPOS
C’est en avril 1950 que je rencontrai -pour la premiere fois Charles Plisnier, convié à prendre part aux Fêtes du Centenaire de Balzac à Provins, au titre d’écrivain Seine- et-Marnais} et à l’occasion du uo° anniversaire de la publication de « Pierrette », roman balzacien dont Vaction se déroule en notre ville des roses, Pierre Descaves, récemment élu Président de la Société des Gens de Lettres, présidait cette manifestation.
Charles Plisnier était mon voisin depuis 1935, habitant le village de Courtacon, sur la hauteur de Mont ferrai, d’où Von pourrait voir la Tour de César par temps clair. Un courant de sympathie s’établit aussitôt, dix-huit mois d’âge seulement nous séparant. Des bridges nous réunirent souvent, au milieu des siens, dans sa calme et belle retraite. Déjà, il souffrait. Venant moi-même de subir trois opérations graves, je le remontais :
— J’admire votre optimisme, mon bon ami, me répétait-il. Vous me faites du bien.
Se déroule dans la campagne de Provins, dans les années 1870
A la mémoire de mon ami Charles PLISNIER qui m’incita à écrire ce livre et ne put le lire.
AVANT-PROPOS
C’est en avril 1950 que je rencontrai -pour la premiere fois Charles Plisnier, convié à prendre part aux Fêtes du Centenaire de Balzac à Provins, au titre d’écrivain Seine- et-Marnais} et à l’occasion du uo° anniversaire de la publication de « Pierrette », roman balzacien dont Vaction se déroule en notre ville des roses, Pierre Descaves, récemment élu Président de la Société des Gens de Lettres, présidait cette manifestation.
Charles Plisnier était mon voisin depuis 1935, habitant le village de Courtacon, sur la hauteur de Mont ferrai, d’où Von pourrait voir la Tour de César par temps clair. Un courant de sympathie s’établit aussitôt, dix-huit mois d’âge seulement nous séparant. Des bridges nous réunirent souvent, au milieu des siens, dans sa calme et belle retraite. Déjà, il souffrait. Venant moi-même de subir trois opérations graves, je le remontais :
— J’admire votre optimisme, mon bon ami, me répétait-il. Vous me faites du bien.
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