Description
Référence : 31971
Ministère de l’Éducation Nationale – Tables générales des bulletins du comité des travaux historiques et scientifiques
I – bulletin archéologique (1883-1915)
1923, format : 160×250, 1084p + 78p index pages, sans illustration[s].broché, absence dos de couv. bon état intérieur
C’est la première de ces tables que nous donnons aujourd’hui. Elle comprend deux parties, l’une relative au texte, l’autre aux illustrations. Il n’est peut-être pas inutile d’indiquer la façon dont elle a été conçue.
• Celle table — qui fait suite à celle que publia en 1873 Octave Teissier, sous le titre de : Table générale des Bulletins du Comité des travaux historiques et de la Revue des Sociétés savantes — s’étend de 1883, date à laquelle a été créé un bulletin consacre exclusivement aux travaux de la Section d’archéologie, au 31 décembre 191 5; elle porte par conséquent sur trente-trois années de mémoires, de notices, de rapports, de comptes rendus de congrès des sociétés savantes, de procès-verbaux de séances de la section, c’est-à-dire sur une centaine de volumes. Il n’a pas fallu moins de 60,700 fiches pour l’établir. Nous voulons espérer que la façon dont le travail a été effectué n’offre pas des obscurités telles qu’il soit indispensable de présenter des explications détaillées sur la méthode suivie. Toutefois il n’est peut-être pas non plus complètement inutile de donner quelques indications générales, aussi bien en ce qui concerne le texte qu’eu ce qui a trait aux illustrations.
• Celle table — qui fait suite à celle que publia en 1873 Octave Teissier, sous le titre de : Table générale des Bulletins du Comité des travaux historiques et de la Revue des Sociétés savantes — s’étend de 1883, date à laquelle a été créé un bulletin consacre exclusivement aux travaux de la Section d’archéologie, au 31 décembre 191 5; elle porte par conséquent sur trente-trois années de mémoires, de notices, de rapports, de comptes rendus de congrès des sociétés savantes, de procès-verbaux de séances de la section, c’est-à-dire sur une centaine de volumes. Il n’a pas fallu moins de 60,700 fiches pour l’établir. Nous voulons espérer que la façon dont le travail a été effectué n’offre pas des obscurités telles qu’il soit indispensable de présenter des explications détaillées sur la méthode suivie. Toutefois il n’est peut-être pas non plus complètement inutile de donner quelques indications générales, aussi bien en ce qui concerne le texte qu’eu ce qui a trait aux illustrations.





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