Description
Référence : 31373
DE LASTEYRIE – VIE DE MADAME DE LA FAYETTE
1737-1807
1868, format : 120×180, 484 pages, sans ill. broché couv. fatiguée, tranche de dos usée et décollée (en l’état)
VIE DE MADAME DE LA FAYETTE par Mme DE LASTEYRIE, sa fille
PRÉCÉDÉE D’UNE NOTICE SUR LA VIE DE SA MERE MME LA DUCHESSE D’AYEN
1737-1807 • édition MDCCCLXVIII
NOURRITURE.
Messieurs les détenus ont été nourris de la manière suivante : Le matin, du chocolat ou du café à leur choix. A dîner, de la soupe, du bouilli, un ragoût ou légumes, un rôti, de la salade, le dessert avec une bouteille de vin de Hongrie rouge. Leur souper consistait en un rôti et une salade avec une demi-bouteille de vin. La nourriture était en quantité suffisante; mais les mets étaient souvent malpropres.
SORT DES DOMESTIQUES ET SERVICES.
Les détenus sont servis par des soldats. Leurs domestiques les voient de la manière suivante. Celui de M. de Maubourg a vu son maître tous les jours pendant trois heures. Celui de M. Bureaux de Pusy a été séparé de son maître pendant six semaines. Mais depuis vingt et un mois, il a vu son maître pendant trois heures tous les jours. Depuis le moment où BL de Lafayette a tenté de s’évader, il est servi, ainsi que sa famille, par des soldats, ses domestiques n’ayant
TRAITEMENT EN CAS DE MALADIE.
Dans le cas de maladie, le chirurgien-major de la place s’est rendu chez les détenus, leur a fait les visites nécessaires; ils ont reçu alors tous les médicaments qui pouvaient leur être administrés dans leur chambre.
TRAITEMENT DES OFFICIERS DE GARDE.
Leur garde spéciale a été d’abord confiée au lieutenant de place, BL Jacob, ensuite au major de la place, BI. Germack ; enfin depuis huit mois elle est commise au capitaine du régiment de Ligne BI. Blac Elligot. Messieurs les détenus n’ont qu’à se louer de la manière dont ce dernier les a traités et des attentions qu’il a eue pour eux.
PRÉCÉDÉE D’UNE NOTICE SUR LA VIE DE SA MERE MME LA DUCHESSE D’AYEN
1737-1807 • édition MDCCCLXVIII
NOURRITURE.
Messieurs les détenus ont été nourris de la manière suivante : Le matin, du chocolat ou du café à leur choix. A dîner, de la soupe, du bouilli, un ragoût ou légumes, un rôti, de la salade, le dessert avec une bouteille de vin de Hongrie rouge. Leur souper consistait en un rôti et une salade avec une demi-bouteille de vin. La nourriture était en quantité suffisante; mais les mets étaient souvent malpropres.
SORT DES DOMESTIQUES ET SERVICES.
Les détenus sont servis par des soldats. Leurs domestiques les voient de la manière suivante. Celui de M. de Maubourg a vu son maître tous les jours pendant trois heures. Celui de M. Bureaux de Pusy a été séparé de son maître pendant six semaines. Mais depuis vingt et un mois, il a vu son maître pendant trois heures tous les jours. Depuis le moment où BL de Lafayette a tenté de s’évader, il est servi, ainsi que sa famille, par des soldats, ses domestiques n’ayant
TRAITEMENT EN CAS DE MALADIE.
Dans le cas de maladie, le chirurgien-major de la place s’est rendu chez les détenus, leur a fait les visites nécessaires; ils ont reçu alors tous les médicaments qui pouvaient leur être administrés dans leur chambre.
TRAITEMENT DES OFFICIERS DE GARDE.
Leur garde spéciale a été d’abord confiée au lieutenant de place, BL Jacob, ensuite au major de la place, BI. Germack ; enfin depuis huit mois elle est commise au capitaine du régiment de Ligne BI. Blac Elligot. Messieurs les détenus n’ont qu’à se louer de la manière dont ce dernier les a traités et des attentions qu’il a eue pour eux.
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