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DECAUVILLE, ce nom qui fit le tour du monde

30,00

ISBN : 978286849076X
• Référence : 01076

par BAILLY Roger
1989, format : 210x300mm, 200 pages, 378 illustration(s), relié, 1090 gr.
Très bon état

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ISBN : 978286849076X • Référence : 01076

DECAUVILLE, ce nom qui fit le tour du monde

BAILLY Roger

1989, format : 210x300mm, 200 pages, 378 ill. relié, 1090 gr.

Très bon état

PREFACE
La démarche de Roger Bailly, personnage curieux de nature, fouineur impénitent, doué d’une prodigieuse mémoire et de surcroît, grand passionné de technique est simple : dès qu’il ne trouve plus dans les bibliographies spécialisées les informations qu’il re- cherche, il va « glaner » sur le terrain, voir à la source ce qui n’a pas été écrit sur le sujet…
Monumentales ont été les recherches qu’il a du entreprendre pour rassembler en une collection aussi exhaustive, les souvenirs, témoignages, anecdotes et documents dont beaucoup étaient tombés dans l’oubli.
Combien d’archives étaient portées disparues au hasard des guerres, fusions de sociétés… ou simples « nettoyages »…
Malgré tout, Roger Bailly a su, avec patience reconstituer la vie de cette simple fresque qu’il nous présente dans cet ouvrage.
Si Roger Bailly fait partie de ces nostalgiques du « Petit train à vapeur » qui tentent de faire revivre l’histoire des chemins de fer de la grande époque, il n’est pas pour autant un homme allergique au progrès et aux techniques futures qui fleuriront dans l’humus des expériences acquises tout au long de l’histoire de l’humanité.
Plongeons nous donc, avec Roger Bailly dans cette histoire passionnante de Decauville… Remémorons nous quelques unes des fabrications les plus prestigieuses de cette entreprise… les premiers autorails, le « métro parisien », les motrices de la « nouvelle ligne de Sceaux », etc.
Revivons ensemble avec Roger Bailly, le roman de cette dynastie, née des ateliers de Petit-Bourg et perpétuée par le mariage des deux noms, Decauville et Corbeil.
Tout cela, Roger Bailly nous le conte et nous le commente avec le souci de ‘exactitude, digne d’un historien et une précision dans les détails à rendre jaloux un enquêteur… Le tout dans un style où perce constamment la passion d’un auteur épris de son sujet.
Merci à Roger Bailly pour le travail qu’il a accompli dans des conditions parfois difficiles car il fallait recueillir les informations dans l’entreprise, au milieu de collaborateurs occupés à leur tâche quotidienne et pas toujours disponibles. Roger Bailly nous a démontré, en plus de ses talents d’historien qu’il possédait l’art de la discrétion et le pouvoir de se faire aimer.
Puissent les ancêtres, les acteurs passés et présents de Decauville, être reconnaissants à Roger Bailly d’avoir avec talent écrit cette magnifique aventure industrielle.
Au nom de tous ceux-ci, la Société Decauville et son personnel remercient Roger Bailly d’avoir immortalisé son nom… ce nom qui fit le tour du monde.
N. Detoux, Président directeur général de Decauville
Il en est des noms comme des modes, qui passent sans plus savoir à quoi cela correspond et qui ne survivent que dans les souvenirs, puis les livres. Ce n’est faire injure à quiconque de dire que Decauville n’évoque plus grand’chose, sinon un vague souvenir lié au chemin de fer, excepté pour les passionnés du rail qui, eux, savent à quoi s’en tenir. C’est le mérite de ce livre de remettre à l’honneur un nom lié au chemin de fer à voie étroite, ce qui est déjà restrictif car cette entreprise fabriqua aussi des manèges de traction, des vélocirails, de l’outillage, des bétonnières, des pelles mécaniques, des moteurs et même des maisons métalliques, et qui fut aussi liée à l’aviation. L’Exposition Universelle de 1889 consacra la production de l’entreprise qui, dans les années suivantes, devint un acteur incontournable de l’aventure ferroviaire, tant en temps de paix que durant les hostilités, et dans de nombreux pays étrangers (deux wagons spéciaux furent notamment construits pour le Négus éthiopien), construisant notamment des autorails qui ont longtemps fait partie du paysage et de la vie quotidienne de la seconde moitié du XX° siècle. Au fil des pages, ce livre renvoie à une aventure industrielle méconnue s’inscrivant dans la perspective globale de l’ère industrielle moderne, propose des éclairages particuliers sur celle-ci, et est par conséquent davantage qu’un livre sur Decauville. En plus des nombreuses notes qui apportent des précisions nourrissant le récit, croquis, documents d’époque, photos inédits viennent illustrer cet ouvrage qui a sa place non seulement dans une bibliothèque ferroviaire, mais également dans celle des techniques.
SOMMAIRE
Préface et Avant-Propos – Avant le porteur Decauville • Chapitre I Un grand Nom, une longue histoire • Chapitre II Le chemin de fer Decauville est né dans une ferme • Chapitre III Le système de Chemin de Fer Decauville • Chapitre IV Les Usines et les sociétés • Chapitre V La consécration du chemin de fer Decauville: l’Exposition Universelle de 1889 • Chapitre VI Les plus belles années • Chapitre VII Le baptême du feu • Chapitre VIII Les catalogues Decauville • Chapitre IX Près de deux mille locomotives ont porté l’écusson Decauville • Chapitre X Les autorails Decauville • Chapitre XI Les locotracteurs Decauville • Chapitre XII Les automotrices électriques et autres fabrications ferroviaires • Chapitre XIII Une fascinante énignme : les automobiles Decauville • Chapitre XIV Autres fabrications entreprises par les établissements Decauville au fil des années et aujourd’hui-
Annexes – Les jouets et modèles réduits d’inspiration Decauville – Le petit train de L’Exposition Coloniale de Paris (1931) – Sur la vue générale de l’usine de Corbeil, au début du siècle – Dernières précisions et le Logo de la Lilloise – Plan de l’usine en 1930 – Locomotives construites par la société Decauville et encore existantes en novembre 1985 – Locomotives Decauville classées « Monuments historiques » 1884, Chemins de fer de promenades publiques et aujourd’hui chemins de fer touristiques . . . – La dernière grande cheminée de l’Usine de Corbeil

Poids 1090 g
Dimensions 210 × 300 mm

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