Référence : 31509
– l’Angélus des artistes barbizonnais et japonais
BARBIZON 2010
2010, format : 210×300, 40 pages, 28 coul. ill. broché,
L’Angélus – Jean-François MILLET – 1814-1875 – Musée d’Orsay
COMMUNE DE BARBIZON
le Village des Peintres
L’ANGÉLUS A150 ANS
Musée Rousseau du 1er mai au 31 juillet 2010 • Exposition des Artistes • – Barbizonnais • – Japonais
Commémorer le 150ème anniversaire de l’une des œuvres les plus emblématiques de l’Ecole de Barbizon, l’Angélus de Jean-François Millet, sans que des artistes japonais y soient associés aurait été une faute.
Les relations qui unissent Barbizon et le Japon depuis le milieu du XIXème siècle ont été établies, depuis leur origine, sur la base de véritables échanges culturels : les artistes japonais découvraient en Occident une expression artistique proche de leur sensibilité et, de leur côté, les artistes de Barbizon découvraient un art libéré des conventions.
Des peintres comme Jean-François Millet ou Théodore Rousseau collectionnaient déjà à leur époque des œuvres d’artistes japonais.
Ils les collectionnaient car ils s’en inspiraient.
La commune de Barbizon a souhaité donner une nouvelle dynamique à cette relation historique avec le Japon en officialisant un premier partenariat avec la ville d’Asago, partenariat qui a permis à des artistes de nos 2 communes de se retrouver l’an dernier et travailler ensemble.
Je me réjouis, qu’à l’occasion de l’exposition du 150ème anniversaire de la création de l’Angelus, des œuvres d’artistes japonais, en particulier de la ville d’Asago, et d’artistes barbizonnais puissent être présentés, ensemble, en un même lieu prestigieux, le Musée Rousseau, qui fut l’atelier du célèbre peintre.
Et quel symbole plus représentatif que d’illustrer de manière aussi vivante cette amitié entre Barbizon et le Japon en rassemblant des artistes contemporains dans un lieu aussi chargé d’histoire, le lieu de l’un des artistes qui fut précisément à l’origine de cette amitié.
Nous sommes tous les héritiers d’un patrimoine dont nous avons maintenant la responsabilité vis-à-vis de nos enfants, responsabilité de respecter et de faire vivre dans le respect d’ouverture qui a caractérisé depuis l’origine cette relation entre Barbizon et le Japon.
Pierre BEDOUELLE, Maire de Barbizon
COMMUNE DE BARBIZON
le Village des Peintres
L’ANGÉLUS A150 ANS
Musée Rousseau du 1er mai au 31 juillet 2010 • Exposition des Artistes • – Barbizonnais • – Japonais
Commémorer le 150ème anniversaire de l’une des œuvres les plus emblématiques de l’Ecole de Barbizon, l’Angélus de Jean-François Millet, sans que des artistes japonais y soient associés aurait été une faute.
Les relations qui unissent Barbizon et le Japon depuis le milieu du XIXème siècle ont été établies, depuis leur origine, sur la base de véritables échanges culturels : les artistes japonais découvraient en Occident une expression artistique proche de leur sensibilité et, de leur côté, les artistes de Barbizon découvraient un art libéré des conventions.
Des peintres comme Jean-François Millet ou Théodore Rousseau collectionnaient déjà à leur époque des œuvres d’artistes japonais.
Ils les collectionnaient car ils s’en inspiraient.
La commune de Barbizon a souhaité donner une nouvelle dynamique à cette relation historique avec le Japon en officialisant un premier partenariat avec la ville d’Asago, partenariat qui a permis à des artistes de nos 2 communes de se retrouver l’an dernier et travailler ensemble.
Je me réjouis, qu’à l’occasion de l’exposition du 150ème anniversaire de la création de l’Angelus, des œuvres d’artistes japonais, en particulier de la ville d’Asago, et d’artistes barbizonnais puissent être présentés, ensemble, en un même lieu prestigieux, le Musée Rousseau, qui fut l’atelier du célèbre peintre.
Et quel symbole plus représentatif que d’illustrer de manière aussi vivante cette amitié entre Barbizon et le Japon en rassemblant des artistes contemporains dans un lieu aussi chargé d’histoire, le lieu de l’un des artistes qui fut précisément à l’origine de cette amitié.
Nous sommes tous les héritiers d’un patrimoine dont nous avons maintenant la responsabilité vis-à-vis de nos enfants, responsabilité de respecter et de faire vivre dans le respect d’ouverture qui a caractérisé depuis l’origine cette relation entre Barbizon et le Japon.
Pierre BEDOUELLE, Maire de Barbizon
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