Le rosier des chiens – Provins

couverture seule avec piqures, en l’état.
…Dans le pays des sourds, j’ai promené ma lyre; J’ai chanté sans échos et, pris d’un noir délire, J’ai brisé mon luth, puis de l’ivoire sacré,
J’ai jeté les débris au vent… et j’ai pleuré.
H. M. 1837 (La Voulzie)
Porte de Jouy, Tour-aux-Engins, ô mes doux remparts de Provins, métamorphose au mois des coeurs de brume en ciel, de pierre en fleurs.
Brèche aux Anglais, Tour aux Pourceaux, Porte St-Jean, Tour du Bourreau, métamorphose au mois des a bises » de la bise en brises exquises.
Pinacle et Tour du Luxembourg, Tour de César, la Grande Tour, métamorphose au mois de mai des gouttes de pluie en muguets.
Tours, tourelles et tourillons (métamorphose en tourterelles, bouquets de fiancés, ma belle !), Panorama sur le Donjon.
Tour du Trou-au-Chat, Porte-au-Pains, ô mes doux remparts de Provins, à la Poterne Faneron nous en aurons fait tout le rond.
Métamorphose au mois d’amour « d’aime un peu » en « aime toujours ».Paul FORT – Les Ballades Provinoises