Référence : 31269
– Les Pouilles d’Elie PESATORI
Hommage à Martina FRANCA
1988, format : 220×305, 48 pages, nb. coul. & N&b. ill. cartonné avec jaquette
Dédicace de l’auteur + encart de 8 pages sur les « Pouilles »
POUR MARTINA-FRANCA
ELIE PESATORI
Témoin impartial de notre temps, homme lucide qui ne fait pas de concession. Un monde dont l’expression réfléchie a traduit par un phénomène psychologique qui donne la traduction de l’expression humaine des personnages.
EL1E PESATORI se situe un très curieux peintre, dont l’œuvre nous dévoile une énergie sourde et vivante aux couleurs sonores d’où se dégage une authentique grandeur ; peintures représentant une ou plusieurs personnes ramassées ; repliées ; courbées ; pour entrer dans les dimensions de la toile, qui donnent un sentiment étonnant de présence ; de proximité immédiate.
Parisien, d’origine italienne, né à Salsomaggiore, Province de Parme, en 1923 ; venu à Paris avec ses parents à l’âge de huit mois, Elie Pésatori travaille à Maisons-Alfort, puis à Paris, Faubourg Saint- Antoine où il a acquit, l’activité, la nervosité et le don de son art.
La liberté que Pésatori a maintenue dans sa vie, il la manifeste dans la spontanéité lucide de son œuvre. Non un monde de séduction, mais un univers de travail, de pensées, de lutte perpétuellement recommencée, où l’être humain balloté durant toute son existence, atteint par la lente patience, par l’effort, à une grandeur sans emphase et sans illusions, mais malgré tout forte de sa droiture d’où sont issus tous ses personnages qui sont de partout. RAYMOND CHARMET – PARIS
(Extrait)
Je n’ai pas trouvé d autres moyens, que la peinture et le travail pour supporter et conjurer les coups du sort qui m’ont été destinés.
De ma palette, je vois les bleus du ciel, l’horizon, le firmament où passent tous les plus beaux oiseaux du monde, la liberté, l’espoir qui me ressuscite du néant où j’étais condamné.
Couleur, ton esprit me fait imaginer, découvrir la vie avec plus de subtilité, voir les êtres plus beaux, les femmes plus belles, les objets désuets les plus simples deviennent, par la pensée, des splendeurs à mes yeux émerveillés. Mes personnages humbles, mais dignes me tiennent compagnie, je dialogue avec eux.
Je ne crains plus la solitude.
ELIE PESATORI
POUR MARTINA-FRANCA
ELIE PESATORI
Témoin impartial de notre temps, homme lucide qui ne fait pas de concession. Un monde dont l’expression réfléchie a traduit par un phénomène psychologique qui donne la traduction de l’expression humaine des personnages.
EL1E PESATORI se situe un très curieux peintre, dont l’œuvre nous dévoile une énergie sourde et vivante aux couleurs sonores d’où se dégage une authentique grandeur ; peintures représentant une ou plusieurs personnes ramassées ; repliées ; courbées ; pour entrer dans les dimensions de la toile, qui donnent un sentiment étonnant de présence ; de proximité immédiate.
Parisien, d’origine italienne, né à Salsomaggiore, Province de Parme, en 1923 ; venu à Paris avec ses parents à l’âge de huit mois, Elie Pésatori travaille à Maisons-Alfort, puis à Paris, Faubourg Saint- Antoine où il a acquit, l’activité, la nervosité et le don de son art.
La liberté que Pésatori a maintenue dans sa vie, il la manifeste dans la spontanéité lucide de son œuvre. Non un monde de séduction, mais un univers de travail, de pensées, de lutte perpétuellement recommencée, où l’être humain balloté durant toute son existence, atteint par la lente patience, par l’effort, à une grandeur sans emphase et sans illusions, mais malgré tout forte de sa droiture d’où sont issus tous ses personnages qui sont de partout. RAYMOND CHARMET – PARIS
(Extrait)
Je n’ai pas trouvé d autres moyens, que la peinture et le travail pour supporter et conjurer les coups du sort qui m’ont été destinés.
De ma palette, je vois les bleus du ciel, l’horizon, le firmament où passent tous les plus beaux oiseaux du monde, la liberté, l’espoir qui me ressuscite du néant où j’étais condamné.
Couleur, ton esprit me fait imaginer, découvrir la vie avec plus de subtilité, voir les êtres plus beaux, les femmes plus belles, les objets désuets les plus simples deviennent, par la pensée, des splendeurs à mes yeux émerveillés. Mes personnages humbles, mais dignes me tiennent compagnie, je dialogue avec eux.
Je ne crains plus la solitude.
ELIE PESATORI
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